DYNAMIQUE RELATIONNELLE ET TRANSFORMATION RÉCIPROQUE

une prise de conscience

   Conscient des problèmes et des travers de la coopération, je cherche donc à faire différemment: je veux que le projet parte d’eux, qu’il soit leur projet, leur volonté et que je devienne un technicien à leur service. Je veux aussi que nos échanges servent à raffermir leur identité et non l’inverse. Mon désir est de faire selon LEURS décisions. Je ne veux pas ingérer, alors je reste prudent dans mon approche. Pour cela, dès le départ, je décide seulement de répondre aux sollicitations et aux demandes qu’on me fait. Le groupe du jardin me sollicite d’abord, car la culture de tomates en cours se porte mal. J’y fais un dépistage, dOime mes conclusions et propose quelques interventions. Mais je me garde bien de leur dire quoi faire. Pendant quelques semaines, j’affermis mon contact avec ce groupe et prends conscience de leurs préoccupations. Le 5 décembre, à leur demande, je fais une première réunion avec tout le comité du jardin pour bien me présenter et présenter l’agriculture biologique. Après cette présentation sur ce qu’ est ce mode d’agriculture, le pour et le contre, le travail que cela implique, les différentes écoles, etc. nous décidons de nous engager ensemble dans ce processus d’apprentissage et de création d’une parcelle démonstrative biologique. Nous ne pourrons pas transformer entièrement le jardin, d’ailleurs une culture est en cours. L’objectif du groupe est que la prochaine culture se fasse sans intrants autant que possible. La formation et le travail débutent sur une bonne lancée, avec des gens très motivés, mais comme dans bien des projets de coopération, cela ne dure pas. La présence diminue et les décisions prises en groupe ont de moins en moins de suites. Le groupe est au départ très motivé; il y a des ateliers éducatifs chaque semaine sur l’agriculture biologique, mais ils se font plus ou moins régulièrement.  Le développement de cette section est basé sur mon expérience de coopérant. Elle se réfère à mon journal personnel tenu tout au long de ce projet. Nous travaillons aussi à la planification et à l’organisation du travail à faire pour arriver aux transformations voulues et nous faisons des rencontres au jardin pour prendre conscience du milieu et avoir une dimension pratique. Aussi, on’ échange beaucoup informellement. En priorité, on devra s’occuper de la fertilisation. Un composteur est fabriqué puis … déjà, la motivation faiblit. Certains membres du groupe sont de moins en moins présents. Les plans de travail sur plus de six semaines ne sont jamais respectés entièrement. Beaucoup de choses restent au niveau des paroles et ne se transforment pas en actions. Des décisions prises ne sont pas appliquées. Par exemple, tout l’engrais vert semé sera dévoré par les mules d’un des membres du groupe. Finalement, le niveau de participation aux activités que nous planifions devient très faible. Le désengagement face au projet et les problèmes qui surviennent me préoccupent. Je n’en prends pas tout de suite conscience, mais la courte durée de mon séjour me contraint et je suis aussi poussé par des impératifs de faire, de réussite et d’efficacité. Ma formation en gestion ainsi que mon appartenance à la culture occidentale me portent vers l’analyse des problèmes et leur résolution dans un souci d’efficacité. Pourtant, bien que les problèmes préoccupent aussi d’autres membres du groupe avec qui je discute informellement, je prends, inconsciemment, la direction de la situation et je l’envisage selon ma façon de voir.Ainsi, je vois les problèmes et je les expose au groupe. Je propose aussi des solutions. Malgré ce que j’en pense sur le moment, je suis en pleine interférence. Je cherche à répondre à mon besoin de compétence en utilisant mes capacités d’analyse, mes connaissances, mon imagination pour résoudre des problèmes qui, en somme, ne sont pas les miens. Est-ce que je les incite à puiser dans leurs ressources avec tout ces Je? Je n’ai pas conscience que se joue un « pouvoir culturel », je n’ai pas conscience que se joue, pour moi aussi, une relation inégalitaire au niveau de l’autorité, que mon opinion, mes propositions pèsent plus dans la balance I4 .

ORIGI NE SOCIOCULTURELLE OU PROBLÈME: DE LA DOMINATION STATIQUE À L’ACCEPTATION DE SE REFAIRE AU REGARD DE L’AUTRE

  Aucune culture, tradition, idéologie ou religion ne peut aujourd’hui parler pour l’ensemble de l’humanité, à plus forte raison résoudre ses problèmes. Le dialogue et les relations menant à une fécondation mutuelle sont nécessaires. Raimundo Panikkar Bien que le questionnement soit d’origine personnelle, le problème, lui, demeure beaucoup plus vaste, car il touche de façon générale tous les domaines de l’accompagnement et même, fondamentalement, il englobe toute notre vie relationnelle, car il émane du paradigme culturel porté par l’Occident moderne et influence nos façons de voir et de faire le monde. La pertinence sociale de cette recherche tient du fait que notre rapport à l’autre est imprégné de notre histoire culturelle, histoire qui n’a pas appris à écouter, à recevoir et à respecter des réalités différentes de la sienne et qui a imposé son hégémonie sur le monde. D’une manière globale, au cours des 500 dernières années, l’Occident s’est construit sur un rapport à l’étranger plutôt malsain. Les groupes sociaux issus de l’Europe, poussés par la quête de richesses, de ressources et de prise de pouvoir les uns sur les autres ont très vite établi leur dominance sur l’Amérique et ailleurs dans le monde. Les rapports qui se sont établis alors entre les cultures indigènes et les colonisateurs sont des relations de conquêtes (du territoire, des richesses, des peuples et même de leurs âmes par l’évangélisation). Ces rapports sont devenus au fil du temps des rapports de peur, de méfiance et de domination, des rapports où notre culture, la culture moderne occidentale issue de l’Europe, s’est présentée aux autres comme le modèle de référence, comme la détentrice de «La vérité» (religion et spiritualité, mode de vie, éducation, économie, savoirs, etc., tous considérés comme supérieurs, ou du moins, plus civilisés). Depuis 60 ans, la culture occidentale moderne s’est de nouveau imposée à la face du monde en s’affirmant comme « lieu de rencontre» des différentes cultures, comme étant le langage que tous doivent utiliser pour être compris ou même « pris au sérieux ». C’est à l’intérieur du cadre de notre vision du monde, de nos conceptions, que toute rencontre et tout dialogue doivent se faire. Par conséquent, on a cessé de laisser de la place à l’autre, pour l’autre. Cette manière d’aborder l’étranger s’est transmise au cours des générations et s’est perpétuée dans notre modernité envers ceux qui sont différents, mais aussi dans la plupart de nos rapports à l’autre et dans nos relations d’accompagnement. À l’intérieur de notre propre groupe social, nos rapports individuels à l’autre sont de même construits sur cette violence. Nos relations sont influencées par ce bagage culturel inconscient. Nous établissons avec les autres des rapports où l’on reste, chacun, enfermé dans sa propre conception des choses, où le pouvoir est un facteur prépondérant, où il faut gagner, garder la face et où la méfiance est présente. Notre système politique est un bon exemple de cette façon de faire: les partis sont toujours en confrontation et en négociation, pour ne pas dire carrément en opposition et en dénigrement. Ce n’est nullement une dynamique de concertation qui prévaut. Quant à nos pratiques éducatives (qui sont des pratiques d’accompagnement du changement), elles ne nous apprennent pas à créer la connaissance, mais à la recevoir passivement dans une relation hiérarchique où le savoir est source de dominance; elles ne nous apprennent pas, non plus, à maintenir des relations créatrices et épanouissantes, à nous autogérer, à faire des choix, à voir clair dans la réalité (Freire, 1978, 1983; Paquette, 1985). Freire (1983) utilise le vocable de « conception bancaire de l’éducation » où le savoir est déposé dans des objets passifs que sont les élèves, détruisant leur pouvoir créateur et leur sens critique qui leur permettraient de s’insérer dans le monde comme agents transformateurs. Ils deviennent plutôt des objets qui tendent à s’adapter à la réalité et aux exigences de la société. Notre système est basé sur des modèles naturels de compétition, de confrontation et d’opposition et non sur ceux d’entraide (le  commensalisme et la symbiose) dont nous commençons à peine à reconnaître l’importance en écologie. Arun Gandhi (Rosenberg, 2005 : 7), quant à lui, affirme que « Tout ce que nous faisons est conditiormé par des motivations égoïstes – ce que nous avons à gagner – et plus encore dans une société à dominante matérialiste qui tire sa force d’un individualisme ». Tout cet héritage culturel, nous le portons en nous, comme individu. Ainsi pris dans notre « paradigme-prison » et dans la croyance qu’il est porteur de réponses pour tous, qu’il est la seule vérité, nous allons ailleurs prêcher la voie du bonheur, la paix, la démocratie, le partage et l’entraide, toujours selon notre modèle unique. Pourtant, nous sommes dans l’incapacité de reconnaître le droit à la différence.

PERTINENCE SOCIALE

   La pertinence sociale d’une telle réflexion est déjà énorme au niveau de la coopération internationale, car si cette démarche porte ses fruits, la coopération pourrait commencer à offrir les siens . De plus, l’augmentation à prévoir du phénomène de la migration et les problématiques sociales qui en résultent vont demander de plus en plus d’accompagnement et la mise en place de processus d’adaptation, d’insertion dans la commnauté d’accueil et de dialogues interculturels. Il me semble, de plus, que les relations . La coopération internationale et l’effolt de développement ont donné au cours des ans des résultats mitigés et très critiquables. Un artic le du New York Times International publié en 2004 (Dugger, 2004) sur l’influence de l’aide au développement se résume ainsi: il y a 55 milliards de dollars (US) par an de dépensés en aide internationale par les organismes internationaux et les nations riches. Pourtant, des évidences démontrent que tous ces projets ne font pas de différence réelle. Les défis écologiques qui caractérisent notre siècle, en commençant par les conséquences des changements climatiques sur les populations déjà défavorisées, font prévoir aux experts des mouvements de populations de plus en plus nombreux et massifs. avec les premières nations au sein de notre territoire même pourraient bénéficier d’une telle approche. Mais cette réflexion semble être tout aussi utile pour tout autre type d’accompagnement, même moins interculturel. Je crois donc que la recherche d’alternative à ce qui se fait actuellement représente un intérêt social certain. Au-delà de la recherche de résultats positifs liés à l’accompagnement, d’autres pertinences sociales existent: celle de l’adaptation de notre propre société aux défis du XXle siècle et celle de notre propre adaptation individuelle au monde en perpétuelle mouvance. En effet, d’une part, nous prenons de plus en plus conscience de la dégradation écologique de notre planète et, en corollaire, des désastres humanitaires qui y sont liés. Nous prenons aussi peu à peu conscience que ces désastres sont la conséquence du mode de vie des populations occidentales et de la fuite en avant de notre système mondialisé. D’autre part, il y a nos modes relationnels individuels qui nous amènent souvent vers un certain immobilisme et un repli sur soi, sur nos croyances et nos impressions. On semble souffrir, dans nos sociétés, de troubles de communication comme l’affirment plusieurs (Portelance, 1994; Monbourquette, 1997; Rosenberg, 2005). L’un et l’autre sont les reflets d’un même paradigme culturel et ils nous amènent à penser qu’un changement profond est nécessaire au sein de nos sociétés et demandent sérieusement de revoir nos façons de faire actuelles. La question se pose au niveau culturel, mais surtout au niveau individuel, car la culture se manifeste par les individus qui en sont porteurs. Chaque individu porte en lui sa culture, dans sa psychologie, dans ses gestes et ses actions, dans son rapport au monde. Les transformations nécessaires doivent donc passer par des transformations au niveau de l’individu. Le mahatma Gandhi disait qu’à moins que nous ne devenions le changement que nous souhaitons voir dans le monde, aucun changement n’aura jamais lieu (Rosenberg, 2005 : 7). Effectivement, cette construction culturelle, que nous venons d’explorer, tend à rigidifier les êtres et nous empêche de nous renouveler comme individu et comme société, car elle nous prive des savoirs, des sagesses et des expériences de nos interlocuteurs.

PERTINENCE SCIENTIFIQUE : DE LA RELATION INTERPERSONNELLE AU COACCOMPAGNEMENT

   L’accompagnement débute sur les bases de la relation interpersonnelle. C’est-à-dire que l’accompagnateur part de ce qu’il est; il est son premier outil relationnel d’accompagnement. De manière générale, les relations interpersonnelles sont rarement tout à fait saines; chacun de nous les aborde avec son « ombre », ses enjeux, ses désirs, etc. En témoignent une quantité d’ouvrages . En fait, très peu d’entre nous, au cours de notre développement d’enfant et d’adolescent, apprennent à communiquer et à entrer en relation de manière saine (voir note 23). On apprend auprès de nos proches, plus souvent qu’autrement par imitation et observation. Par la suite, nos relations évoluent sur ces modèles intégrés. Ils ont leurs limites et leurs inadéquations (complexes, enjeux, transferts). Nous devrions donc, plus tard, les remettre en questions : « se déformer » et « se reformer » – Jung dit à ce propos que nous passons les 30 premières années de notre vie à former des complexes et les 30 suivantes à s’en libérer (Monbourquette, 1997) – ce qui demande beaucoup d’investissement de soi et d’humilité. Plus souvent qu’autrement, nous vivons donc nos relations avec nos limites et beaucoup d’entre nous finissent par associer les problèmes relationnels à l’interlocuteur. (II semble que nos sociétés n’ont pas jugé bon d’investir à ce niveau lors de notre éducation de base.) Ces pièges relationnels deviemment plus périlleux en accompagnement, car l’accompagnateur a dans cette relation une grande responsabilité, celle d’influencer et de former.

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Table des matières

REMERCiEMENTS
AVANT-PROPOS
RÉSUMÉ
ABSTRACT
INTRODUCTION
PARTIE 1: PROBLÉMATIQUE, CONCEPTS ET MÉTHODE
CHAPITRE 1 : PROBLÉMATIQUE: IMPACT D’UNE VISION DU MONDE SUR LA RELATION D’ACCOMPAGNEMENT, SU R LES ACTEURS DE LA RELATION ET SUR LE DÉVELOPPEMENT SOCiAL
1.1 De l’origine personnelle de ce projet
1.1.1 Comment je ne peux me séparer de mon bagage culturel et personnel: une prise de conscience
1.2 Origine socioculturelle du problème: de la domination statique à l’acceptation de se refaire au regard de l’autre
1.3 Pertinence professionnelle: accompagner ou aider; un biais socioculturel
1.3.1 La coopération internationale
1.4 Pertinence sociale
1.5 Pertinence scientifique: de la relation interpersonnelle au coaccompagnement
1.5.1 Piste de solutions
1.6 Problème de recherche
1.7 Question de recherche
1.8 Objectifs de recherche
1.8.1 Objectif général
1.8.2 Objectifs spécifiques
CHAPITRE 2: CADRE CONCEPTUEL
2.1 La Transformation
2.1.1 Transformation personnelle
2.1.2 S’engager dans sa transformation
2.1.3 L’engagement permanent dans sa propre transformation
2.1.4 Transformation collective
2.2 Interaction, relation et rencontre: une échelle vers un monde commun
2.2.1 La relation et la dynamique relationnelle
2.2.2 La rencontre: une relation de transformation réciproque
2.2.3 L’engagement dans la relation
2.2.4 La relation de coopération
2.3 Le renouvellement des pratiques relationnelles
2.4 L’interculturalité
2.4.1 Le fossé culturel
2.4.2 La rencontre interculturelle ou la variable culturelle dans les relations humaines
2.4.3 Le dialogue interculturel
2.5 L’accompagnement
2.5.1 La relation d’accompagnement
2.5.2 L’empowerment
CHAPITRE 3 : CHOIX ÉPISTÉMOLOGIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES 
3.1 D’un choix de programme de formation aux choix épistémologiques
3.2 Pour une épistémologie compréhensive et interprétative
3.2.1 Une démarche de recherche qualitative
3.3 Un praticien-chercheur en émergence
3.3.1 Une recherche de type praxéologique au service d’un projet de renouvellement des pratiques et du praticien
3.3.2 Le dialogue interculturel : un nouveau paradigme en soi
3.4 Méthodes de recherche biographique
3.4.1 Récit de voyage
3.4.2 Récit de pratique
3.5 Le terrain de recherche: de Dakar à Rosemont; un chemin de formation
3.5.1 Expérience sénégalaise au sein de l’ONG : ENDA/GRAF Sahel
3.5.2 Les Jardins collectifs de Rosemont
3.6 Outils de collecte de données
3.6.1 Journaux de recherche
3.6.2 L’analyse praxéologique
3.6.3 Pratiques dialogiques
3.7 Méthodes d’analyse qualitative des données de recherche
3.7.1 L’examen phénoménologique
3.7.2 L’analyse en mode d’écriture
PARTIE Il : DONNÉES, ANALYSE ET DISCUSSION
CHAPITRE 4: UN RÉCIT DE TRANSFORMATION: UN TERRAIN INFORMEL À DAKAR, AU SÉNÉGAL (RÉcIT DE VOYAGE)
4.1 Un choix de terrain à l’étranger
4.2 Récit de voyage: Déroulement du séjour
4.3 Premier Je me souviens: Pape Sali
4.4 Deuxième je me souviens: Rencontre d’analyse des pratiques
CHAPITRE 5 : UNE PRATIQUE D’ENGAGEMENT DANS SA TRANSFORMATION : L A COORDINATION DES JARDINS COLLECTIFS DE ROSE MONT
5.1 Récit de pratique: La coordination des Jardins collectifs
CHAPITRE 6: ANALYSE DU RENOUVELLEMENT D’UNE PRATIQUE D’ACCOMPAGNEMENT
6.1 Regard préliminaire sur le praticien-chercheur en relation: Qu’est-ce que mes expériences de coordonnateur des Jardins collectifs et de voyage en Afrique me révèlent quant à mon fonctionnement relationnel?
6.1.1 Mes façons de faire et d’être en relation; valeurs, attitudes et comportements
6.1.2 Mes enjeux personnels et leur rôle dans mes relations
6.2 L’engagement du praticien à se transformer dans et par la relation
6.2.1 Les signes de l’engagement du praticien à se transformer dans et par la relation
6.2.2 Outils et conditions favorisant la transformation du praticien
6.3 La transformation du praticien et de sa pratique relationnelle
6.3.1 Comment le praticien vit sa transformation et ce qui change chez lui
6.3.2 Comment les nouveaux acquis du praticien renouvellent-ils sa pratique relationnelle d’accompagnateur?
6.4 La transformation des partenaires relationnels
6.4.1 Y a-t-il changement et engagement relationnel chez les partenaires de la relation?
6.4.2  En quoi l’attitude du praticien et son engagement dans sa transformation ont-elles favorisé le processus de transformation des coaccompagnées et de la relation?
CONCLUSION
ANNEXE 1
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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