Soutenance mémoire
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Microsoft office 2010
L’usage du Microsoft est primordial. Pour ce faire « Ms office 2010 » a été utilisé. Microsoft Office Word 2010 est le logiciel de traitement de texte pour la saisie des données et des informations nécessaires pour l’élaboration de l’ouvrage en version écrite. Il nous aide à créer des documents de qualité professionnelle en fournissant un ensemble complet d’outils de création et de mise en forme présentés par une nouvelle interface. Et le Microsoft Office Excel est utilisé pour le traitement des données et de leur dépouillement automatique.
Les questionnaires d’enquête
« Le questionnaire est un entretien standardisé utilisé d’une manière systématique auprès d’une fraction de la population pour déceler, analyser et mesurer les attitudes de cette population. »5. C’est une des techniques qui peut conduire notamment à l’objet de l’étude sur des faits précis ou notamment sur des opinions. Ainsi, durant cette recherche, nous avons le plaisir de rédiger un ensemble de questions pouvant nous servir de guide afin d’exploiter l’objectif fixé. Effectivement, le questionnaire joue un grand rôle dans la recherche des informations voulues.
Entretien semi-directif
« Cet entretien appelé également « entretien centré ou entretien structuré » est une interview au cours de laquelle l’enquêteur après avoir proposé à l’enquêté une consigne de départ, doit obtenir les réactions de l’enquêté sur un certain nombre de thèmes6. Autrement dit, dans ce type d’entretien, il y a un véritable échange entre l’interviewer et l’interviewé, ce dernier pouvant librement exprimer ses perceptions, opinions ou interprétations d’un événement. L’utilisation de cet entretien facilite l’obtention d’information plus ou moins bonne pour notre recherche. Il est stimulé et aborde des thèmes qui auraient été pratiqué impossibles à traiter par le questionnaire. Ainsi, l’entretien semi directif fut choisi car il semblait le plus adapté à la présente situation.
Les supports théoriques de l’étude
Cette section s’intéresse plutôt au côté théorique de notre étude. Il essaye de décrire successivement le contexte de l’étude, les matières de recherche qui sont généralement la l’innovation et la performance.
Stratégie
Il existe une multitude de définitions de la stratégie. Voici quelques définitions avancées par des auteurs connus.
Définition de la stratégie :
La définition de la stratégie la plus répandue celle de Chandler:
« La stratégie est la détermination des buts et objectifs à long terme d’une entreprise et le choix des actions et de l’allocation des ressources nécessaires pour les atteindre ».
La stratégie d’entreprise (ou management stratégique ou politique générale) est « Le pilotage des modifications de relations du système entreprise avec son environnement et de la frontière de ce système avec ce qui n’est pas lui. »(Igor ANSOFF ,1965) 7
C’est « la fixation des objectifs en fonction de la configuration de l’environnement et des ressources disponibles dans l’organisation, puis l’allocation de ces ressources afin d’obtenir un avantage concurrentiel durable et défendable. » (F.Leroy, 2004)8
Pour STRATEGOR (1997): « Elaborer une stratégie c’est choisir les domaines d’activité dans lesquels l’entreprise entend être présente et allouer les ressources de façon à ce qu’elle s’y maintienne et s’y développe. »
La stratégie d’innovation:
Dans un contexte d’internationalisation, la motivation majeure de la recherche de gain est à l’origine dans les entreprises. Les performances de l’entreprise se mesurent par l’attraction des prix mais aussi par la compétitivité, elle provient de la quantité des produits, de la différenciation par rapport aux concurrents. L’accélération du progrès technique, la diffusion rapide des informations conduisent l’entreprise à lancer des nouveaux produits en permanence.
L’entreprise innovante d’un avantage concurrentiel (Schumpeter) qui se traduit par profit. L’entreprise doit anticiper les solutions et modifier son environnement. Cette volonté stratégique se traduit par l’innovation. La stratégie d’innovation est une stratégie d’anticipation à l’idée, au produit, et au marché.
a)Anticiper l’idée: l’expérience de l’entreprise, compétences humaines, l’étude de marché
b) Anticiper le produit: l’expérience de l’entreprise, la technologie, le management, les ressources humaines, les ressources financières.
c)Anticiper le Marché: l’expérience de marketing, les distributeurs, les clients, la publicité, les prix.
L’innovation :
Dans un contexte concurrentiel et face aux perpétuels changements de l’environnement, l’entreprise mène une réflexion sur l’innovation qui est essentielle pour assurer sa croissance et son développement.
Définition
L’innovation comme le moment de la réalisation de nouvelles combinaisons de moyens: une innovation est la mise en oeuvre d’une solution nouvelle (pour l’entreprise) visant à améliorer sa position concurrentielle, sa performance, ou son savoir-faire. Le critère majeur est celui de la nouveauté. (Schumpeter ,1911)
« L’innovation (créative innovation) est le principal challenge à relever pour améliorer la productivité à l’échelle globale. Comme à son habitude, Porter insiste sur le rôle central de la productivité dans la compétitivité et la prospérité d’un pays et rappelle que la clé d’une productivité satisfaisante est la valeur générée par ces 20 dernières tirées d’une conférence donnée par Porter lors d’une conférence sur la productivité mondiale à Edinburgh en 1999 » (Michael Porter ,1999)9
Processus d’innovation
Le processus d’innovation se déroule en 3 étapes : L’idée, de l’idée au projet et du projet à la réalisation.
L’idée :
Les idées innovantes ont d’autant plus de chance de germer dans une entreprise qu’un terrain favorable leur est ménagé. Il consiste à : développer et entretenir une culture de l’innovation, à organiser l’émergence, la collecte et le foisonnement d’idées nouvelles dans l’entreprise à être à l’écoute permanente de son environnement et à sélectionner les idées collectées.
De l’idée au projet :
Pour transformer une idée en projet, il y a lieu de procéder aux démarches suivantes : vérifier la liberté d’exploitation, établir un plan d’action, identifier les facteurs risques et de réussite, désigner un chef de projet, définir des tableaux de bord, engager une démarche de protection de l’innovation.
Du projet à la réalisation :
La mise en oeuvre du projet nécessite : étude technique et développement du projet et dans certains cas faire recours à des partenaires externes. La phase d’accès au marché peut être réalisée, en mobilisant les propres ressources de l’entreprise et/ou en confiant tout ou partie de ces opérations à des partenaires extérieurs, cette phase est caractérisée par trois étapes : le pré-lancement., lancement industriel et commercial, fracturation et déclinaison de l’innovation.10
Catégories d’innovation
Il existe plusieurs types d’innovations tel que l’innovation des produits, l’innovation des procédés, l’innovation de l’organisation, et l’innovation de commercialisation.
L’innovation de produit :
Une innovation de produit correspond à l’introduction d’un bien ou d’un service nouveau ou sensiblement amélioré sur le plan de ses caractéristiques ou de l’usage auquel il est destiné. Cette définition inclut les améliorations sensibles des spécifications techniques, des composants et des matières, du logiciel intégré, de la convivialité ou autres caractéristiques fonctionnelles. Les innovations de produit peuvent faire intervenir des connaissances ou des technologies nouvelles, ou s’appuyer sur de nouvelles utilisations ou combinaisons de connaissances ou de technologies existant déjà. Le terme « produit » couvre à la fois les biens et les services. Les innovations de produit incluent l’introduction de nouveaux biens et services et les améliorations sensibles des caractéristiques fonctionnelle ou d’utilisation de biens et de services existants.
L’innovation des procédés :
L’innovation de procédé est « la mise en oeuvre d’une méthode de production ou de distribution nouvelle ou sensiblement améliorée (cette notion implique des changements significatifs dans les techniques, le matériel et/ou le logiciel). Les changements ou les améliorations mineurs, un accroissement des moyens de production ou de service par l’adjonction de systèmes de fabrication ou de systèmes logistiques qui sont très analogues à ceux déjà en usage, la cessation de l’utilisation d’un procédé, le simple remplacement ou l’extension de l’équipement, les changements découlant uniquement de variations du prix des facteurs, la production personnalisée, les modifications saisonnières régulières et autres changements cycliques, le commerce de produits nouveaux ou sensiblement améliorés ne sont pas considérés comme des innovations. »
L’innovation d’organisation :
Une innovation d’organisation est la mise en oeuvre d’une nouvelle méthode organisationnelle dans les pratiques, l’organisation du lieu de travail ou les relations extérieures de la firme. Les innovations d’organisation peuvent avoir pour but d’améliorer les performances d’une firme en réduisant les coûts administratifs ou de transaction, en améliorant le niveau de satisfaction au travail et en augmentant la productivité), en accédant à des biens non marchands (comme le savoir extérieur non codifié) ou en réduisant les coûts des approvisionnements. Elle peut aussi se définir comme un processus d’adoption de nouvelles pratiques ayant trait aux ressources humaines, au management, au processus liés à l’organisation des moyens et des ressources. Elle se traduit par la mise en place d’une nouvelle organisation de travail, la création de réseaux, l’amélioration des connaissances, la diffusion de l’information en temps réel, etc. Le champ d’application de l’innovation organisationnelle est très vaste, il inclut en outre des éléments technologiques et non technologiques. L’innovation organisationnelle peut concerner tout ou partie de la structure et peut même aller au-delà : elle peut jouer sur les partenariats, améliorer les relations clients/fournisseurs, etc…Il s’agit souvent de repenser le mode de fonctionnement ainsi que la gestion de l’entreprise qui conduit à terme vers un partage des gains, une transparence de l’information, une stratégie connue, formalisée et adoptée par l’ensemble du personnel
L’innovation de commercialisation :
Une innovation de commercialisation est la mise en oeuvre d’une nouvelle méthode de commercialisation impliquant des changements significatifs de la conception ou du conditionnement, du placement, de la promotion ou de la tarification d’un produit. Les innovations de commercialisation visent à mieux satisfaire les besoins des consommateurs, ouvrir de nouveaux marchés ou positionner d’une manière nouvelle un produit de la firme sur le marché afin d’augmenter les ventes. Ce qui distingue l’innovation de commercialisation des autres changements dans les instruments de marketing d’une firme est la mise en oeuvre d’une méthode de commercialisation que cette firme n’utilisait pas auparavant. La nouvelle méthode de commercialisation peut être soit mise au point par la firme innovante soit importée d’une autre firme ou organisation et adoptée. La mise en oeuvre de nouvelles méthodes de commercialisation peut concerner des produits nouveaux ou déjà existants.
Innovation et compétitivité :
Selon l’OCDE, la compétitivité est « la latitude dont dispose un pays évoluant dans des conditions marché libre et équitable pour produire des biens et services qui satisfont aux normes internationales du marché tout en maintenant et en augmentant simultanément les revenus réels de ses habitants dans le long terme ». Pour l’entreprise, la compétitivité désigne la capacité à vendre et fournir durablement ou plusieurs biens ou services marchands sur un marché donné en situation de concurrence. Les pays compétitifs sont donc ceux qui vendent comparativement plus que les autres (à l’export comme à domicile) et augmentent durablement la richesse à domicile.
Les différents types de performance:
Il existe plusieurs types de performance telle que la performance économique et financière, la performance organisationnelle et sociale.
Performance financière et économique :
La performance financière et économique peut faire référence aux points d’évaluations suivants : Le rendement et la rentabilité de l’entreprise qui est l’efficacité économique et financière de l’entreprise se lit dans ses résultats tels que les présentes la comptabilité. Les comptes permettent d’appréhender plusieurs niveaux d’analyse économique ;
La production qui représente à la fois la mesure de l’importance de l’entreprise sur le marché pouvant conduire au calcul de la part de marché, l’appréciation de l’utilisation de son potentiel productif et enfin la mesure de l’efficacité de l’utilisation des ressources de l’entreprise.
La valeur ajoutée est la production d’une unité ne mesure pas réellement la valeur véritablement produite par celle-ci puisque cette valeur comprend des consommations intermédiaires nécessaires à la fabrication des biens et services. Pour mesurer la contribution exacte d’une unité à la création de richesses(PIB), il convient donc de retenir la différence entre la valeur de la production et le montant des biens et services utilisé dans le processus de fabrication. Cette différence est appelée « valeur ajoutée ».
L’excédent brut d’exploitation qui mesure la performance globale de l’entreprise au travers de l’exploitation de ses moyens en hommes et en matériels. C’est un indicateur de richesse produite par l’entreprise et mesure aussi sa capacité de financement.
Le bénéfice net est la mesure finale de la rentabilité de l’entreprise qui permet d’en apprécier la performance vue de l’extérieur notamment par les actionnaires ou les analystes financiers. Il représente le profit distribuable des apporteurs de capitaux.
L’efficience est le choix entre diverses options qui produit le meilleur résultat pour l’application des possibilités de données. L’idée d’optimum est ainsi incluse dans l’idée de l’efficience. L’efficience se réfère au coût et rythme auquel les interventions sont transformées en résultats. Elle se mesure par la comparaison des coûts et des résultats et signifie l’utilisation optimale des ressources dans la production des outputs, c’est l’économie dans la poursuite des objectifs.
Performance organisationnelle et sociale
C’est un concept multidimensionnel et complexe, ne se limitant pas aux seuls résultats financier et dont l’évaluation ne peut se faire que par la mesure de plusieurs résultats organisationnels et sociaux, externes et internes. La performance est une forme de réussite, de succès de l’entreprise. L’attention portée aux relations sociales dans les entreprises est devenu un facteur essentiel du bon fonctionnement des organisations modernes. Une analyse plus profonde de l’entreprise laisserait entrevoir une appréciation moins académique et plus réaliste de la réalité sociale et organisationnelle de l’entreprise. Il s’agit donc d’un résultat positif d’une action .On peut faire référence aux points d’évaluations suivants :
L’importance des conflits et crises sociales (nombre, gravité, dureté…) ; Le niveau de satisfaction des employées (Apprécier par des enquêtes d’opinions internes) qui comprend l’absentéisme et les retards au travail signent de démotivation ou de travail ennuyeux ou difficile, le climat social de l’entreprise apprécié par l’ambiance au sein de l’entreprise et des groupes qui la composent, le fonctionnement des institutions représentatives du personnel tel que le comité d’entreprise ou d’établissement, le fonctionnement, le nombre et les résultats d’actions des cercles de qualité et la participation aux décisions. 13
Le respect de la structure formelle : Le non-respect de la structure formelle traduit un disfonctionnement au sein de l’organisation même si l’écart entre structure formelle et structure réelle peut être considérée comme un phénomène normal d’adaptation.
Les relations entre services : Le souci de la direction est de réduire, voire de résoudre les conflits pouvant apparaître entre services et qui mettent en question la coordination nécessaire à l’efficacité.
La qualité de la circulation de l’information est en quelque sorte le fil conducteur de la communication et de la prise de décision.
La flexibilité de la structure est l’aptitude de la structure organisationnelle à se changer elle-même pour s’adapter aux contraintes de l’environnement ou pour anticiper sur l’évolution de la stratégie.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : MATERIELS ET METHODES
Chapitre 1 LES MATERIELS
Section 1 Présentation de la zone d’étude
Section 2 Les supports matériels de l’étude
2.1 Type de documents
2.2 Microsoft office 2010
2.3 Les questionnaires d’enquête
2.4 Entretien semi-directif
Section 3 Les supports théoriques de l’étude
3.1 Stratégie
3.1.1 Définition de la stratégie
3.1.2 La stratégie d’innovation
3.2 L’innovation
3.2.1 Définition
3.2.2 Processus d’innovation
3.2.3 Catégories d’innovation
3.2.3.1 L’innovation de produit
3.2.3.2 L’innovation des procédés
3.2.3.3 L’innovation d’organisation
3.2.3.4 L’innovation de commercialisation
3.3 Innovation et compétitivité
3.3.1 Compétitivité prix
3.3.2 Compétitivité hors-prix
3.4 Performance
3.4.1 Définition
3.4.2 Les différents types de performance
3.4.2.1 Performance financière et économique
3.4.2.2 Performance organisationnelle et sociale
3.4.3 Les indicateurs de performances
3.4.4 Les facteurs clés de performance
Chapitre 2 LES METHODES
Section 1 La méthodologie
1.1 La documentation
1.2 L’élaboration des questionnaires utilisés
1.2.1 Questions ouvertes
1.2.2 Questions à choix multiples
1.2.3 Questions à l’échelle de Likert
1.3 Traitement de données et méthode d’analyse utilisée
1.4 Modélisation théoriques des variables
Section 2 Les limites de l’étude et les difficultés rencontrées
Section 3 Le chronogramme des activités menées
DEUXIEME PARTIE : RESULTATS
Chapitre 1 : Résultats obtenus des questions administrées
Section 1 : Résultats d’enquête sur l’innovation
1.1 Résultats d’enquête sur l’innovation en générale
1.2 Résultats d’enquête sur l’innovation organisationnelle
1.3 Résultats d’enquête sur l’innovation des produits
Section 2 : Résultats d’enquête obtenus sur la performance
2.1 Résultats d’enquête sur la performance organisationnelle
2.2 Résultats d’enquête sur la performance financière
Chapitre 2 : Présentation des résultats selon la méthode statistique
Section 1 : Présentation des résultats de la première hypothèse
Section 2 : Présentation des résultats de la deuxième hypothèse
TROISIEME PARTIE : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Chapitre 1 : Discussions
Section 1 : Discussions sur les résultats
1.1 Discussions sur l’innovation organisationnelle
1.1.1 Existence de la formation du personnel
1.1.2 Impact de la formation sur le travail du personnel
1.1.3 Discussions sur l’application de la recherche et développement
1.1.4 Discussions sur l’impact de l’innovation organisationnelle sur la structure de l’organisation
1.2 Discussions sur l’innovation des produits
1.2.1 Discussions sur la qualité des produits
1.2.2 Discussions sur la création des produits à caractères particulières
1.2.3 Discussions sur l’utilisation des techniques spécifiques
1.3 Discussions sur la performance organisationnelle
1.3.1 Discussions sur l’atteinte de la productivité
1.3.2 Discussions sur la réduction des couts administratifs par l’innovation de l’organisation
1.3.3 Discussions sur la satisfaction au travail
1.4 Discussions sur la performance financière
1.4.1 Discussions sur l’atteinte de la rentabilité financière…
1.4.2 Discussions sur l’atteinte du rendement financier
1.4.3 Discussions l’efficacité de l’innovation des produits…
1.4.4 Discussions sur l’évolution du chiffre d’affaires
Section 2 : Validation des hypothèses
2.1 Concernant l’hypothèse 1
2.2 Concernant l’hypothèse 2
Chapitre 2 : Recommandations
Section 1 : L’analyse des forces, faiblesses, opportunités et menaces
1.1 Forces
1.2 Faiblesses
1.3 Opportunités
1.4 Menaces
Section 2 : Solutions proposées
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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