Dimensions déterminant le comportement langagier du bilingue

Dimensions déterminant le comportement langagier du bilingue

Recherches sur les facteurs socio-psychologiques liés à l’expression identitaire

Plusieurs théories dans le domaine de la psychologie sociale (Clément, 1984; Giles et Byrne, 1982; Hamers et Blanc, 2000 ; Lambert, 1978; Landry et Allard, 1985;), ainsi que plusieurs recherches sur l’apprentissage et l’usage des langues (Clément et Bourhis, 1996; Fox, 1995; Gardner, Tremblay et Masgoret, 1997; Hamers, 1994 ; Hamers, 1997 ; Hamers, 1998 ; Hamers, Blomart, Da Silveira, et Faye, 1998 ; Hogg et Rigoli, 1996; Landry et Allard, 1990; 1994b; 1997; Landry et Allard, 2000; Landry, 2001; Phinney, Ferguson et Tate, 1997) avancent l’existence d’un lien entre l’identité et le choix langagier d’une part, et d’autre part, un lien entre l’identité et la compétence linguistique et les attitudes langagières. Certaines de ces recherches font ressortir l’importance du langage comme déterminant de l’identité du bilingue, le représentant comme un usager habile et un apprenant efficace des langues. D’ailleurs, dans plusieurs de leurs travaux Landry et Allard (1985; 1988; 1997; 2000) ont insisté sur le fait, qu’un bilinguisme équilibré sera du type additif si l’individu acquiert un haut niveau de compétence dans les deux langues, s’il garde son identité ethnolinguistique propre et une attitude positive envers les deux langues L1 et L2, et s’il peut continuer à utiliser sa langue dans les fonctions langagières importantes même s’il doit recourir assez fréquemment à sa langue seconde.À cet égard, nous allons faire un survol de quelques recherches menées dans un contexte minoritaire et qui ont démontré la relation entre les variables socio-psychologiques et langagières et l’expression identitaire.
Lambert, Just et Segalowitz (1970) ont mené une étude auprès de jeunes francoaméricains issus de groupes minoritaires en Louisiane. Le but de leur étude était d’examiner chez ces jeunes la relation entre leur niveau de compétence linguistique dans les deux langues (français et anglais), ainsi que leur motivation à utiliser et à apprendre l’anglais et leur appartenance ethnolinguistique soit à la communauté francophone ou à la communauté américaine. Les instruments de mesure utilisés sont : un test d’autoévaluation des quatre habiletés langagières dans les deux langues (orale, écrite, lecture, compréhension) dans le but de mesurer leur niveau de compétence linguistique; un test de perception ethnique pour mesurer leur appartenance ethnolinguistique. Finalement, les auteurs ont fait appel à une version du questionnaire issue des travaux de Gardner et son équipe, le Attitude/Motivation Test Battery ou AMTB pour mesurer leur degré de motivation et d’attitude face à l’utilisation et à l’apprentissage de l’anglais.
De façon générale, les résultats de cette recherche indiquent une corrélation entre le niveau de compétence dans les deux langues et l’appartenance ethnolinguistique aux deux groupes culturels. Plus spécifiquement, ces résultats suggèrent que les enfants qui sont plus attachés aux valeurs de la culture américaine qu’à celle de la culture francolouisianaise, s’intéressent peu à la langue française, étaient plus compétents en anglais qu’en français et plus motivés à améliorer leur anglais. Par contre, ceux qui s’identifiaient comme des Francophones de Louisiane avaient une plus grande compétence en français. Aussi, ils ont observé que ceux qui avaient un conflit d’identité n’étaient pas compétents ni dans l’une ni dans l’autre langue. En revanche, ceux qui s’identifiaient aux deux groupes ethnolinguistiques (Franco-Louisianais et Américains) étaient ceux qui possédaient une meilleure compétence dans les deux langues (le français et l’anglais). D’ailleurs, cette appartenance ethnolinguistique aux deux cultures manifestée chez les individus issus du groupe minoritaire ou majoritaire, est analogue à ce que Lambert (1974) qualifie de « bilinguisme additif ».
De même, Young et Gardner (1990) ont mené une recherche dont le but principal était d’examiner la relation qui pourrait exister entre les variables attitudinales, la compétence linguistique en L1 (le chinois) et en L2 (l’anglais) et l’identité ethnique des étudiants chinois fréquentant l’Université d’Ottawa en Ontario. Les instruments de mesure utilisés étaient analogues à ceux utilisés dans des recherches précédentes (Lambert, Just et Segalowitz 1970, Lambert, 1974). Il s’agit d’une version du questionnaire issu des travaux de Gardner et son équipe le Attitude/Motivation Test Battery ou AMTB; un test d’auto-évaluation évaluant la compétence linguistique dans les deux langues en lecture, en écriture, en communication orale et en compréhension écrite et finalement un test de perception ethnolinguistique.
Les résultats de cette recherche ont montré en effet, un lien entre les variables attitudinales, les indices de l’identification ethnique et la compétence linguistique en L1 et en L2. Ces résultats sont intéressants en ce sens qu’ils indiquent que l’identification avec le groupe majoritaire et la compétence linguistique en langue seconde ne suppose pas nécessairement qu’il y a assimilation au groupe majoritaire. Contrairement à cela, dans cette recherche, les sujets chinois qui se sont identifiés au groupe majoritaire (les Canadiens) se considèrent compétents non seulement en anglais mais aussi en langue chinoise. De plus, certains sujets s’identifient au groupe majoritaire, sans nécessairement être compétents en anglais, mais se perçoivent comme étant compétents dans les deux langues (L1 et L2). Par contre, ceux qui ont peur d’être assimilés, s’évaluent moins compétents en chinois, rejettent la société d’accueil et se sentent déchirés entre deux cultures (chinoise et canadienne), ne sont même pas capables d’identifier à quelle communauté ils appartiennent. C’est dans ce sens que Lamy (1977) précise que l’identité individuelle peut être considérée comme un reflet de l’intégration ou de l’assimilation. Il affirme aussi que le rapport entre le degré de bilinguisme et l’identité ethnique est réciproque. Le bilinguisme influence l’identité ethnique et cette dernière influe sur le développement du bilinguisme.

Recherches sur le statut ethnolinguistique et la langue liés à l’expression identitaire

Plusieurs travaux émanant du champ de la cognition sociale ont étudié les processus qui portent sur les cognitions individuelles liées au statut des individus appartenant aux groupes au prestige différent. (Voir à ce propos les travaux de Bornman et Appergryn, 1997 de Fiske, 1992 de Hogg et Rigoli, 1996 de Landry et Bourhis, 1997 et de LorenziCioldi, 1993). Ces travaux ont montré, entre autres, qu’il existe un lien entre le statut des individus et leur perception d’appartenance, notamment leur manière de s’identifier ou de se différencier par rapport à leur groupe et aux autres groupes. En se basant sur la théorie de l’identité sociale de Tajfel et Turner (1986), certains chercheurs, telles que, Allard et Landry (1994), Amiot et Bourhis (1999), Berry (1990; 1996; 1997), Powell-Thompson et Hopson (1992) et Yee et Brown (1992) ont constaté que les groupes minoritaires s’identifient beaucoup plus aux groupes majoritaires.
En examinant de prés quelques-unes de ces recherches, nous allons voir comment les auteurs sont arrivés à conclure des liens qui existent entre le statut ethnolinguistique et la langue et l’identité des groupes qui sont en situation de contact des langues.

Guide du mémoire de fin d’études avec la catégorie Identité dans une perspective sociolinguistique

Étudiant en université, dans une école supérieur ou d’ingénieur, et que vous cherchez des ressources pédagogiques entièrement gratuites, il est jamais trop tard pour commencer à apprendre et consulter une liste des projets proposées cette année, vous trouverez ici des centaines de rapports pfe spécialement conçu pour vous aider à rédiger votre rapport de stage, vous prouvez les télécharger librement en divers formats (DOC, RAR, PDF).. Tout ce que vous devez faire est de télécharger le pfe et ouvrir le fichier PDF ou DOC. Ce rapport complet, pour aider les autres étudiants dans leurs propres travaux, est classé dans la catégorie La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires où vous pouvez trouver aussi quelques autres mémoires de fin d’études similaires.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport gratuit propose le téléchargement des modèles gratuits de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction
2 Chapitre 1 Problématique de la recherche
2.0 Introduction
2.1 Les liens entre le statut ethnolinguistique et les facteurs socio-psychologiques et langagiers dans l’expression identitaire
2.1.1 Le statut ethnolinguistique et l’expression identitaire
2.1.2 Les facteurs socio-psychologiques et langagiers et l’expression identitaire
2.2 Conclusion
2.3 Questions de recherche
2.4 Importance et originalité de la recherche
3 Chapitre 2 Cadre théorique de la recherche
3.0 Introduction
3.1 Dimensions déterminant le comportement langagier du bilingue
3.1.1 Dimension sociologique
3.1.1.1 Les usages langagiers
3.1.1.2 Le statut ethnolinguistique
3.1.1.3 Le statut ethnolinguistique des groupes et l’expression identitaire
3.1.2 Dimension socio-psychologique
3.1.2.1 Les attitudes langagières
3.1.2.1.1 Approche mentaliste de la notion d’attitude
3.1.2.1.2 Approche comportementale (béhavioriste) de la notion d’attitude.64
3.1.2.1.3 Approche socio-psychologique de la notion d’attitude
3.1.2.2 L’expression identitaire
3.1.2.2.1 Identité dans une perspective anthropologique : Identité individuelle versus identité collective
3.1.2.2.1.1 Identité individuelle ou personnelle
3.1.2.2.1.2 Identité collective ou sociale
3.1.2.2.2 Identité dans une perspective socio-psychologique
3.1.2.2.2.1 La théorie des « stratégies identitaires» (SI) : Quelques tendances
3.1.2.2.2.2 La « théorie de l’identité sociale » (TIS) de Tajfel (1974)
3.1.2.2.2.3 La théorie de «l’autocatégorisation » (TAC) de Turner (1981; 1988)
3.1.2.2.3 Identité dans une perspective structuraliste
3.1.2.2.4 Identité dans une perspective sociolinguistique
3.1.2.2.5 Identité dans une perspective ethnographique /interactionnelle
3.2 Modèles du comportement langagier du bilingue
3.2.1 Modèle de Lambert (1974a) sur le bilinguisme additif et soustractif
3.2.2 Modèle socio-éducatif de Gardner (2001b)
3.2.3 Modèle socio-psychologique de Clément (1984)
3.2.4 Modèle du développement bilingue de Landry et Allard (1990)
3.2.5 Modèle socio-cognitif du développement du langage (Hamers et Blanc, 2000)
3.3 Conclusion
4 Chapitre 3 Revue des écrits
4.0 Introduction
4.1 Recherches sur les liens existant entre les différents facteurs sociopsychologiques
4.2 Recherches sur les facteurs socio-psychologiques liés à l’expression identitaire
4.3 Recherches sur le statut ethnolinguistique et la langue liés à l’expression identitaire
4.4 Synthèse et hypothèses de recherche.
4.5 Schémas des questions et des hypothèses de recherche
5 Chapitre 4 Méthodologie de la recherche
5.0 Introduction
5.1 La démarche méthodologique
5.2 L’échantillon
5.2.1 La langue maternelle des sujets
5.2.2 Les usages langagiers des sujets
5.3 L’instrumentation utilisée
5.3.1 Partie 1 du questionnaire : les renseignements de base et les usages langagiers
5.3.2 Partie 2 du questionnaire: les habitudes linguistiques et culturelles
5.3.3 Partie 3 du questionnaire : l’auto-évaluation de la compétence linguistique
5.3.4 Partie 4 du questionnaire : les attitudes langagières
5.3.5 Partie 5 du questionnaire : l’identité culturelle
5.4 La mise à l’essai de l’instrument
5.5 Le cadre général de la cueillette des données
5.5.1 Première période de cueillette des données
5.5.1.1 La cueillette des données à Montréal
5.5.1.2 La cueillette des données à Bruxelles
5.5.2 Deuxième période de cueillette des données.
5.5.2.1 La cueillette des données au Maroc
5.6 Le plan de l’analyse statistique
5.6.1 Analyse de consistance interne
5.6.1.1 Résultats de la consistance interne chez les Marocains arabisés
5.6.1.2 Résultats de la consistance interne chez les Marocains francisés
5.6.1.3 Résultats de la consistance interne chez les Marocains de Montréal
5.6.1.4 Résultats de la consistance interne chez les Marocains de Bruxelles
5.6.1.5 Résultats de la consistance interne chez les Québécois de Montréal
5.6.1.6 Résultats de la consistance interne chez les Belges de Bruxelles
5.6.2 Analyse descriptive
5.6.3 Analyse de contingence : le chi-carré
5.6.4 Analyse de variance : ANOVA
5.6.5 Analyse d’échelonnage multidimensionnel (MDS)
6 Chapitre 5 Résultats des analyses descriptives
6.0 Introduction
6.1 Les usages langagiers
6.1.1 Synthèse
6.2 Les habitudes linguistiques et culturelles
6.2.1 Les langues auxquelles les sujets étaient exposés dans les médias
6.2.2 La fréquence à laquelle les sujets étaient exposés aux activités de littératie
6.2.3 La fréquence à laquelle les sujets participaient à certaines activités culturelles
6.2.4 La possession des ressources linguistiques (livres, journaux et bandes dessinées)
6.2.5 Synthèse
6.3 L’auto-évaluation de la compétence linguistique
6.3.1 Synthèse
6.4 Les attitudes langagières
6.4.1 Synthèse
7 Chapitre 6 Vérification des hypothèses de recherche
7.0 Introduction
7.1 Section 1 : Les liens entre les échelles des attitudes langagières et les mesures des usages langagiers et de la perception de la compétence linguistique au moyen de l’analyse de contingence (le X2)
7.1.1 Les liens entre les attitudes langagières et les usages langagiers chez les sujets minoritaires (H1)
7.1.2 Les liens entre les attitudes langagières et les usages langagiers chez les sujets majoritaires (H3)
7.1.3 Les liens entre les attitudes langagières et le niveau perçu de compétence linguistique chez les sujets minoritaires (H2)
7.1.4 Les liens entre les attitudes langagières et le niveau perçu de compétence linguistique chez les sujets majoritaires (H4)
7.1.5 Synthèse : Section 1
7.2 Section 2 : La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des attitudes langagières, de la perception de la compétence linguistique, des usages langagiers et des habitudes linguistiques au moyen de l’analyse de variance (ANOVA)
7.2.1 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des attitudes langagières (H5)
7.2.1.1 Les attitudes envers l’apprentissage et l’utilisation de la langue maternelle (les Marocains majoritaires et les Marocains minoritaires) (H5a)….253
7.2.1.2 Les attitudes envers les gens qui parlent leur langue maternelle (les Marocains majoritaires et les Marocains minoritaires) (H5a)
7.2.1.3 Les attitudes envers l’apprentissage et l’utilisation du français (L2) (les Marocains majoritaires et les Marocains minoritaires) (H5b)
7.2.1.4 Les attitudes envers les gens qui parlent le français (L2) (les Marocains majoritaires et les Marocains minoritaires) (H5b)
7.2.1.5 Les attitudes envers l’apprentissage et l’utilisation de la langue maternelle (les Marocains minoritaires et les Francophones majoritaires) (H5c)
7.2.1.6 Les attitudes envers les gens qui parlent leur langue maternelle (les Marocains minoritaires et les Francophones majoritaires) (H5c)
7.2.2 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes du niveau perçu de leur compétence linguistique (H6)
7.2.2.1 Le niveau perçu de compétence en langue maternelle (les Marocains minoritaires et les Marocains majoritaires) (H6a)
7.2.2.2 Le niveau perçu de compétence en langue seconde (les Marocains minoritaires et les Marocains majoritaires) (H6b)
7.2.2.3 Le niveau perçu de compétence en langue maternelle (les Marocains minoritaires et les Francophones majoritaires) (H6c)
7.2.2.4 Le niveau perçu de compétence en langue seconde (les Marocains minoritaires et les Francophones majoritaires) (H6d)
7.2.3 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des usages langagiers (H7)
7.2.4 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des habitudes linguistiques (H8)
7.2.4.1 Les habitudes linguistiques (les Marocains de Montréal et les Marocains de Bruxelles) (H8a)
7.2.4.2 Les habitudes linguistiques (les Marocains arabisés et les Marocains francisés) (H8b)
7.2.4.3 Les habitudes linguistiques (les Marocains minoritaires et les Francophones majoritaires (H8c)
7.2.5 Synthèse : Section 2
7.3 Section 3 : L’examen de l’expression identitaire chez les sujets minoritaires et les sujets majoritaires au moyen de l’analyse d’«échleonnage multidimensionnel ».281
7.3.1 Description des profils de distance sociale au moyen de l’échelonnage multidimensionnel
7.3.1.1 Les Marocains de Montréal
7.3.1.2 Les Marocains de Bruxelles
7.3.1.3 Les Marocains arabisés
7.3.1.4 Les Marocains francisés
7.3.2 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes de l’expression identitaire (H9)
7.3.3 La différence entre les deux groupes minoritaires en termes de l’expression identitaire (H10)
7.3.4 La différence entre les deux groupes majoritaires en termes de l’expression identitaire (H11)
7.3.5 Synthèse : Section 3
7.4 Tableau récapitulatif des résultats des hypothèses
8 Chapitre 7 Discussion des résultats et conclusion générale
8.0 Introduction
8.1 Discussion des résultats des hypothèses de recherche
8.1.1 Section 1 : Les liens entre les échelles d’attitude langagières et les mesures d’usages langagiers et de la perception de la compétence linguistique
8.1.1.1 Les liens entre les attitudes langagières et les usages langagiers chez les sujets minoritaires et majoritaires (H1 et H3)
8.1.1.2 Les liens entre les attitudes langagières et le niveau perçu de compétence linguistique chez les sujets minoritaires et les sujets majoritaires (H2 et H4)
8.1.2 Section 2 : La différence entre les minoritaires et les majoritaires en termes de leurs attitudes langagières, leurs usages langagiers leur perception de la compétence linguistique et leurs habitudes linguistiques
8.1.2.1 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des attitudes langagières (H5a à H5c)
8.1.2.2 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes de leur niveau perçu de compétence en LM et en L2 (H6a à H6d)
8.1.2.3 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des usages langagiers (H7)
8.1.2.4 La différence entre les sujets minoritaires et les sujets majoritaires en termes des habitudes linguistiques (H8a à H8c)
8.1.3 Section 3 : L’examen de l’expression identitaire chez les sujets minoritaires et les sujets majoritaires
8.1.3.1 La différence entre les groupes minoritaires et les groupes majoritaires en termes de l’expression identitaire (H9)
8.1.3.2 La différence entre les deux groupes minoritaires en termes de l’expression identitaire (H10)
8.1.3.3 La différence entre les deux groupes majoritaires en termes de l’expression identitaire (H11)
8.2 Exploration de la correspondance entre l’expression identitaire et les facteurs socio-psychologiques associés à la langue
8.2.1 Les Marocains de Montréal
8.2.2 Les Marocains de Bruxelles

Télécharger le rapport completRapport PFE, mémoire et thèse PDF

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *