Différents Formalismes de Représentation des Connaissances

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LA LANGUE DES SIGNES ALGERIENNE

Un projet de texte relatif à la création d’un premier outil pédagogique pour la Langue des signes Algérienne (LSA) destiné aux personnes sourdes sera présenté prochainement au gouvernement, a annoncé hier à Alger, le ministre de la Solidarité nationale, M. Djamel Ould Abbès. «Je présenterai prochainement au gouvernement un projet de texte relatif à la création d’un premier outil pédagogique officiel pour la langue des signes algérienne qui est une langue gestuelle destinée aux personnes sourdes», a déclaré le ministre lors séminaire atelier national sur la langue des signes. Ould Abbès a expliqué que ce projet sera réalisé au cours des travaux du séminaire. [LE CARREFOUR D’ALGÉRIE MARDI 1ER AVRIL 2008]
Le Ministre de Solidarité Nationale prévoit en 2007, d’atteindre, avec ces nouvelles réalisations, 64 écoles réparties sur 33 wilayas. M. Ould Abbes a annoncé qu’un projet de texte relatif à la création d’un premier outil pédagogique pour la langue des signes algérienne (LSA) destiné aux personnes sourdes sera présenté prochainement au gouvernement. Affirmant que ce projet sera réalisé au cours des travaux du séminaire, il a indiqué que cet outil sera expérimenté dès la rentrée 2008-2009 auprès des élèves sourds en institution ou en établissement scolaire ordinaire. D’après lui, l’adoption de cet outil débouchera sur l’inscription de la langue des signes algérienne aux examens (brevet d’enseignement fondamental et baccalauréat) . Sur un autre chapitre, cet outil permettra, souligne -t-il encore, de créer des diplômes spécifiques ou des attestations de compétence, à l’instar de tout ce qui existe pour les langues vivantes dans le monde développé. Il est signalé que ce projet s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi du 8 mai 2002 relative à la protection et à la promotion des Personnes handicapées.
Parmi les objectifs assignés, par ailleurs, à cette rencontre, affirme Ould Abbes, le développement de la langue des signes en Algérie et l’ouverture de nouvelles perspectives dans la prise en charge des personnes sourdes-muettes. Le ministre regrette la suppression de l’apprentissage de la langue des signes de l’enseignement spécialisé destinés aux jeunes auditifs, allant jusqu’à désigner d’«injustice ancienne» cette suppression. Notons que les organisateurs de ce séminaire de deux jours tablent sur la perspective de dégager une méthodologie d’introduction officielle de l’enseignement de la langue des signes et la création de l’école algérienne de la langue des signes. L’occasion y sera idoine pour des spécialistes dans la prise en charge des personnes présentant un handicap auditif, éducateurs, pédagogues et encadreurs des écoles de sourds-muets ainsi que des représentants d’associations, de dresser un état des lieux afin d’explorer les voies et moyens de développer la langue des signes en Algérie. A cet effet, trois ateliers ont été constitués. Ils auront également la tâche de se pencher sur l’enseignement de la langue des signes en Algérie, la formation pour l’introduction de la langue des signes et les moyens à mettre en œuvre pour l’introduction de cette langue.

LA SURDITE EN ALGERIE (Source Fédération Nationale des sourds d’Algérie F.N.S.A http://www.sourdinet.dz/)

Le nombre des sourds muets en Algérie est estimé à plus de 400.000 (*) Sourds, repartis sur tout le territoire National, bien sur que les autorités publiques essaye d’apporter leur soutien mais ce n’est pas encore suffisant car il y a beaucoup de manque en matière de prise en charge et il reste encore à faire, surtout pour la scolarisation, le nombre d’écoles est que de 39, ce qui engendre les problèmes suivants :
– Scolarisation (liste d’attente/conséquences)
– L’inadéquation des programmes
– L’absence d’équipement et de matériel didactique
– L’appareillage collectif (amplification)
* le chiffre officiel donné par le Ministre de la Solidarité Nationale est de : 71 800
– Le manque de formateurs spécialistes
– Les difficultés liées à la langue
– Les classes intégrées (politique d’intégration)
– Le contenu de la formation spécialisée (refonte pédagogique)
– La guidance parentale (accompagnement des parents pour tous les déplacements)
– Le soutien pédagogique.
Bien sure l’aspect chirurgicale est pris en compte, d’ailleurs, une enveloppe financière d’un milliard de dinars est allouée pour la mise en œuvre du programme de lutte contre la surdité par le ministère de la Santé. Ce programme, qui a débuté en 2007, a pour objectif la création de 15 centres spécialisés dans le dépistage de cas de surdité pour une prise en charge de façon précoce et rigoureuse des individus atteints, ainsi que l’achat et la mise en place de 400 implants. En Algérie et à l’instar des pays voisins, 30 cas sont traités par l’implantation cochléaire  » Ces opérations nécessitent une haute technicité chirurgicale et consistent à introduire un appareil électronique à l’intérieur de la cochlée de l’oreille pour exciter le nerf et stimuler l’audition. Cet appareil qui coûte près de 20.000 euros, donc 2 millions de dinars, a pour but de remplacer la cochlée déficiente », expliquent les spécialistes qui insistent sur l’importance du suivi du patient après cette intervention chirurgicale.

RECONNAISSANCE LEGALE ET SOUTIEN JURIDIQUE

Seules quelques-unes de la centaine de langues des signes dans le monde, ont obtenu une reconnaissance légale, les autres ne bénéficiant d’aucun statut officiel. Aujourd’hui encore, faute d’information, de nombreuses personnes sourdes ou parents de sourds ne connaissent pas l’existence des langues des signes et considèrent avant tout la surdité comme un handicap. Il semble nécessaire d’avoir une approche différente de la simple vision curative de la surdité et de prendre en considération la réalité sociale et linguistique des langues des signes. De nombreux pays souhaitent avant tout un épanouissement des personnes et développent l’accès en langue des signes aux lieux publics, aux universités, etc.
En France En 2005 : la loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées reconnaît officiellement la LSF.

RECONNAISSANCE DES LANGUES DES SIGNES (Source wikipédia.org)

– En Australie, Auslan est reconnue officiellement en 1987 et en 1991 par le Gouvernement d’Australie.
– En Autriche, la langue des signes autrichienne est reconnue officiellement le 1er septembre 2005 – la Constitution d’Autriche est modifiée afin d’inclure „§8 (3) Die Österreichische Gebärdensprache ist
– als eigenständige Sprache anerkannt. Das Nähere bestimmen die Gesetze.“ (« La langue des signes autrichienne est reconnue comme langue indépendante ». Pour plus d’informations voir http://www.oeglb.at/.
– En Belgique la langue des signes belge francophone est reconnue officiellement le 21 octobre 2003 par le parlement de la Communauté française de Belgique. En Flandre, la langue des signes flamande est reconnue le 26 avril 2006 par le parlement flamand Decreet houdende de erkenning van de Vlaamse Gebarentaal.
– Au Brésil, la langue des signes brésilienne (LIBRAS) est reconnue officiellement en 2002 dans la domaine de l’éducation. Il est statué que chaque enfant sourd a le droit d’apprendre en sa propre langue et d’avoir le portugais comme 2e langue.
– Dans la République tchèque, la langue des signes tchèque est reconnue en 1998 – voir la législation ici (en tchèque).
– Au Canada, la province du Manitoba est la première à reconnaître officiellement la langue des signes américaine comme celle des communautés sourdes en milieu anglophone (1988), suivi de l’Alberta qui reconnaît l’ASL comme langue optionnelle dans l’enseignement (1990); l’Ontario reconnaît l’ASL et la LSQ comme langues d’enseignement (1993).
– Le Parlement européen a approuvé une résolution concernant les langues des signes le 17 juin 1988. La résolution demande à tous les états-membres la reconnaissance de sa langue des signes comme langue officielle des sourds.
– En Finlande, la langue des signes finnoise est reconnue dans la Constitution de Finlande en août 1995.
– En Espagne, seulement les communautés autonomes de Catalogne, Andalousie et Valence reconnaissent des langues des signes.
– Aux États-Unis, American Sign Language est reconnue dans plusieurs états en tant que langue étrangère.
– En France, dans l’article 75 du code de l’éducation, la langue des signes française est reconnue à part entière dans le domaine de l’enseignement sous la loi du 11 février 2005 (Art. L. 112-2-2 du Code de l’éducation, inséré par la Loi n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées).
– En Norvège, la langue des signes norvégienne est reconnue. Une émission quotidienne Nyheter på tegnspråk (Actualités en langue des signes) est diffusée chaque jour sur la chaîne de télévision de Norsk rikskringkasting.
– En Nouvelle-Zélande, la langue des signes de la Nouvelle-Zélande est la prémière langue des signes à devenir, le 6 avril 2006, une langue officielle. C’est la 3e langue officielle du pays, après l’anglais et le māori.
– En Ouganda, la langue des signes d’Ouganda est reconnue dans la constitution.
– Au Portugal, la langue des signes portugaise est reconnue dans la domaine de l’éducation sous la constitution de Portugal.
– En Slovaquie, la langue des signes slovaque est reconnue en 1995 dans la loi « Zákon o posunkovej reči nepočujúcich osob 149/1995 Sb » – « La loi de langue des signes des sourds 149/1995 ».
– En Thaïlande, la langue des signes thaïlandaise est reconnue le 17 août 1999.
– Au Venezuela, la langue des signes vénézuélienne est reconnue le 12 novembre 1999 dans la constitution.

MORPHOLOGIE DES SIGNES ET REPRESENTATION SEMANTIQUE

Malgré que la langue des signes ait eu son propre lexique et ses propres règles de construction de syntaxe, cela n’empêche pas que l’origine des signes est basé sur une sémantique iconique, prenons l’exemple du signe « ﺰﱢﺌﻤﺸﻣُ | dégouté» le sens porté par ce signe ressemble au sens d’une mouvaise odeur d’un objet et la main éloignée du visage dans la deuxième image avec un changement de la configuration donne le sens d’un rejet de l’objet (main ouverte).

DIFFERENTES CLASSES DE SIGNES.

La langue des signes est composée de deux classes de signes à savoir :
– Les Signes Standard (SS) : sont les signes admis par les communautés sourdes pour signifier certains mots. Ils forment un dictionnaire compréhensible par tous ceux qui le connaissent.
– Structures de grande iconicité (SGI): Les traces structurales résultant de la mise en jeu d’une visée iconicisatrice, lorsque la dimension intentionnelle du comme ça est présente, et regroupe fonctionnellement l’ensemble des structures de grande iconicité en opérations dites de transfert. Selon [C.Cuxac 2001] Les SGI se composent en :
a. Transfert de Taille et de Formes (TTF) : Ces structures permettent de représenter la taille et/ou la forme, partielle ou globale, de lieux, d’objets, ou encore de personnages.
Ces formes (ou ces tailles, parfois, les deux mêlées) que le locuteur réalise manuellement représentent et qualifient des actants particuliers (et non des types), participant au procès de l’énoncé. Les spécifications de taille et/ou de forme sont composées simultanément :
– d’une configuration de la main (ou des mains) indiquant une forme de base,
– d’un mouvement et d’une orientation de la main (ou des mains) signifiant le déploiement de cette forme dans l’espace,
– d’un emplacement qui peut être
 ou un endroit du corps du locuteur,
 ou l’espace neutre situé devant lui,
 ou bien un signe du lexique standard précédemment émis,
 ou enfin, et c’est le cas le plus fréquent, la main dominée figurant une forme de base à partir de laquelle la forme décrite par la main dominante se déploie, par exemple : une forme tubulaire à partir d’une surface plate, ou une rangée de formes plates et verticales, ou encore un empilement, les unes dans les autres, de formes creuses et cylindriques.
Le mouvement s’inscrit dans le continu et rend compte du déploiement – au sens spatial, non temporel-de la forme dans l’espace, (s’amenuisant, se terminant en pointe, sinueux, etc.).
Pour spécifier une forme, les successions d’événements se présentent dans cet ordre :
1- mouvement préparatoire de la ou des mains antérieur à la stabilisation spatiale de la forme à construire ;
le regard fixe un point dans l’espace, l’activant en quelque sorte ;
en fin de mouvement préparatoire, la ou les mains se stabilisent durant une ou deux images dans la portion d’espace activée par le regard.
Ce temps de stabilisation des mains dans l’espace, avant qu’un mouvement vienne caractériser le déploiement d’une forme, est extrêmement bref, mais systématique : une ou deux images, pas plus ; c’est à dire un temps de stabilisation antérieur au mouvement à venir d’un maximum d’un dixième de seconde. Soulignons que le caractère systématique de cette « pause » entre mouvement préparatoire et non pertinent, mouvement sémiologique et pertinent puis, comme on le verra par la suite, d’effacement et de liaison avec un autre mouvement préparatoire, revêt, sans doute, un caractère structural indispensable, au moins pour ce qui concerne la bonne réception d’un message. Cela fait partie des compétences inconscientes des locuteurs natifs : en effet, de nombreux locuteurs entendants présentent une tendance à lier directement, sans temps d’arrêt les signes les uns après les autres. Les locuteurs sourds natifs disent avoir beaucoup de difficultés à comprendre ces personnes, sans d’ailleurs en expliciter la raison. La configuration de départ de la forme à décrire est donc supportée par le regard du narrateur. Ensuite vient le déploiement proprement dit de la forme, selon un mouvement de la ou des mains. Ce mouvement est accompagné par le regard du narrateur, jusqu’à la fin du déploiement à valeur descriptive de la forme. La fin du déploiement est, elle aussi, caractérisée par un arrêt du mouvement, et par une stabilisation dans l’espace de la ou des mains ayant participé à la construction de cette forme.
Comme pour le début de la description, le temps d’arrêt du mouvement, avant que le narrateur continue la suite du récit (sauf si la forme qu’il vient de construire, par exemple comme locatif stable, participe, elle aussi à la suite de la narration), est extrêmement bref, tout au plus, la durée correspondant à trois images vidéo successives c’est à dire un maximum d’un huitième de seconde.
Il y a donc une coordination oeil/main, geste/regard, d’une grande précision. Vraisemblablement, mouvement du regard et mouvement des mains partent simultanément, l’arrêt du regard sur une portion d’espace que, par la même occasion, il « active », précède de très peu l' »installation » de la ou des mains comme forme à construire dans cette portion d’espace. La forme se déploie et est à son tour « activée » pendant toute la durée du déploiement, sous et par le mouvement du regard du narrateur. Le regard a, pourrait- on dire, comme fonction, de faire signifier le geste en train d’être émis dans un « ici » (préalable) suivi d’un « comme ca ». [Iconicité et mouvement des signes en langue des signes française Christian Cuxac.

Transfert Situationnel (TS):

Le locuteur vise à reproduire iconiquement dans l’espace situé devant lui des scènes qui figurent le déplacement spatial d’un actant par rapport à un locatif stable fonctionnant comme repère.
La main dominée représente le locatif structurellement obligatoire, la main dominante figure l’action en cours d’accomplissement. [C.Cuxac 1997]
« Le locuteur vise à reproduire iconiquement dans l’espace situé devant lui des scènes qui figurent généralement un déplacement spatial d’un actant du procès de l’énoncé par rapport à un locatif stable. La main dominée représente le locatif structurellement obligatoire. Les locatifs, seuls exemples de signes de la L.S.F. à ne pas être inscrits dans un mouvement, consistent en une simple configuration de la main. L’action effectuée par la main dominante est aussi un paradigme restreint de configurations; le mouvement qui représente la nature du déplacement inscrit l’ensemble de la structure de transfert situationnel dans du continu. Aussi, dans un traitement de données image par image, on assiste à la séquence articulatoire suivante :
– un positionnement orienté de la main dans l’espace associé à une configuration puis à un mouvement (aboutissant à un emplacement qui termine la séquence). Lorsque, comme c’est le cas pour les énoncés de transferts situationnels, où chaque paramètre de formation peut avoir une signification d’une relative autonomie, on a la séquence :
(1) configuration du locatif par la main dominée,
(2) configuration de l’agent par la main dominante,
(3) mouvement effectué par la main dominante,
(4) emplacement d’arrivée (positionnement terminal de la main dominante par rapport à la main dominée).

MODÉLISATION DE L’ESPACE DE SIGNATION DANS LE TRAITEMENT DES LS

Toute production signée évolue dans l’espace et au cours du temps. La spatio-temporalité est une propriété essentielle aux langues des signes qui doit se traduire dans les descriptions des signes [L. Kervajan 2007]. L’espace de la signation est la portion de l’espace dans laquelle sont articulés la majorité des signes. Il peut servir à créer des repères (Proformes où Loci), des marqueurs auxquels on se réfère tout au long du discours. IL suffit de pointer du doigt ou du regard l’endroit pour « l’activer » et y faire référence dans le discours. C’est en quelque sorte un usage spatial du pronom.
Le proforme désigne le paramètre manuel ‘configuration’ dans les structures de grande iconicité. Le proforme est une forme générique (ex : forme plate), mais en contexte, il vise à spécifier une forme particulière, « cette forme -là ». Par ailleurs les transferts désignent l’ensemble des SGI. Ce sont des opérations cognitives dont le but est de spécifier (décrire, représenter, figurer) la forme. Ainsi, c’est le terme de transfert qui a remplacé celui de classificateur puis de spécificateur dans la terminologie de Cuxac.[M.Sallendre 2003]

Modélisation des énoncés en Langue des Signes

Une phrase en langue des signes est une séquence de signes, appelés aussi syntagmes gestuels ou gloses (gloss en anglais). Les LS ont leurs propres règles morphologique, syntaxiques et sémantiques déférentes des règles des LV (langues vocales), c’est pourquoi les structures syntaxique SVO (Sujet-Verbe-Objet) pour le français, l’anglais où VSO (Verbe-Sujet-Objet) pour l’arabe ne permettent pas une représentation syntaxique correcte des LS.

Représentation des Connaissances

La connaissance est la représentation symbolique des aspects d’un univers de discours. Ainsi, une parcelle de connaissance est considérée comme le modèle d’un certain aspect d’un certain univers, cet univers peut être l’univers actuel, un univers futur, un univers de fiction.
Dans le domaine de l’informatique linguistique (TALN, TAL), La représentation des connaissances est l’un des problèmes que le domaine de l’Intelligence Artificielle essaie de résoudre afin de trouver des formalismes et/où modèles permettant l’encapsulation du sens d’un énoncé. Ces formalismes où modèles doivent représenter le sens voulu d’un énoncé sans ambigüité. Dés les débuts de l’histoire de l’informatique, les chercheurs en IA ont voulus mettre en ouvre des systèmes informatique capables de comprendre et de générer des énoncés en langue naturelle, leurs efforts ont été heurté aux problèmes de la représentation de la signification de la phrase, où Les mots ont des significations possibles différentes, mais en contexte, ils ont un sens, qui peut être complexe. Les modèles logiques de la sémantique ont été insuffisants pour remplir leur rôle d’interprétation, d’où l’orientation de leurs recherches vers les modèles et formalismes de représentation des connaissances qui peuvent faire face aux ambigüités lexicales, syntaxiques, sémantique, pragmatiques d’un énoncé en Langage naturel (Figure III-1).

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Table des matières

CHAPITRE I Aperçu sur la langue arabe
Historique1 Ecriture
L’Alphabet
Accessoires Orthographiques :
Le mot arabe :
Conclusion
CHAPITRE II La Langue des Signes
Introduction
Historique
La langue des signes algerienne
La surdite en algerie
Caracteristiques de la langue des signes
Differentes classes de signes
La différence entre le Nom et le Verbe en LS
Modélisation de l’espace de signation dans le traitement des LS.
Modélisation des énoncés en Langue des Signes
Représentation du Temps en Langue des Signes
Systèmes de Transcription
Conclusion
CHAPITRE III Représentations Sémantiques Conceptuelles
Introduction
Représentation des Connaissances
Différents Formalismes de Représentation des Connaissances
Le Frame
Sémantique cognitive
Théories Linguistiques de la représentation sémantique
Théorie de dépendance conceptuelle de R.Schank
Les scripts
Approche conceptuelle R. Jackendoff
Représentation sémantico-cognitive d’un texte
Analyse sémantique verbale
Conclusions
Ressources Linguistiques (pour le Traitement Automatique du Texte Arabe)
Introduction
WordNet
Relations dans WordNet
Réseau des Mots Arabes Arabic WordNet -AWN-
Architecture de « Arabic WordNet »
VerbNet
Conclusions
CHAPITRE V Environnement Virtuel
Introduction
LE VRML
LE VRML ET LE LANGAGE JAVA
LA NORME X3D
Visualisation des scènes X3D
Les Spécifications X3D
Animation des objets X3D
Éditeurs supportant du X3D
Le format d’encodage XML
Modélisation du Personnage virtuel (signeur)
Le Standard H-ANIM pour les personages virtuels
Conclusions
CHAPITRE VI Etat de l’Art
Le Projet DePaul University American Sign Language
Generating American Sign Language classifier predicates
ViSiCAST
Le projet TESSA
Le projet «Auslan Tuition System»
Vcom3D
Translation of the Arabic Text to Arabic Sign Language
Un système basé sur un modèle sémantico-cognitif
Conclusions
CHAPITRE VII Présentation du Système Développé
Un Environnement de Traduction Automatique du Texte Arabe vers la Langue des Signes Algérienne (LSA)
Utilisation de la base Lexicale AWN
Représentation Sémantique Conceptuelle des Verbes
Processus de Traduction d’une Phrase Arabe vers la Langue des Signes
Analyse Lexicale, Syntaxique et Sémantique de la langue Arabe
Modèle morphologique du Mot Arabe
Modèles de Phrases Arabes
Etapes de l’Analyse de la phrase Arabe
Representation interne de la phrase arabe
Transfert Sémantique
Génération d’une Phrase Gestuelle (Animation de l’Avatar)
Plateforme de Développement
Conclusions
Evaluation comparative
Travaux futurs

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