Diagramme Ombrothermique de Bangnouls et Gaussen

Diagramme Ombrothermique de Bangnouls et Gaussen

Diagramme

Ombrothermique de Bangnouls et Gaussen Pour déterminer l’écologie de certaines plantes il est important de connaitre la période de sécheresse. La sécheresse n’est pas nécessairement l’absence totale des pluies, mais elle se manifeste quand les faibles précipitations conjuguent avec des fortes chaleurs (Bangnouls et Gaussen, 1953). Concernant la zone d’étude et selon la figure N°12, on constate deux période de croissance, la première période est celle du printemps qui s’étale de la mi-Mars jusqu’au début de Mai ce qui permet à l’arbre de produire le bois initiale et la deuxième période celle de l’automne du début d’Octobre jusqu’au début de Décembre ce qui permet à l’arbre de produire le bois d’automne. Nous notons que la période de croissance du printemps est réduite par rapport à celle de l’automne cela signifie que la largeur des cernes du printemps est mince par rapport à ceux de la deuxième période (automne). Ce diagramme montre aussi que la durée de la saison sèche s’étale sur 6 mois (de mi-Avril à début d’Octobre).

Généralité sur les pins

Les pins sont des gymnospermes (grand conifères) ont un feuillage persistant composé des aiguilles, ont des rameaux courts porteurs de deux à sept aiguilles (suivant l’espèce) enserrées à leur base par une gaine écailleuse. Les pins se reconnaissent aisément à leur port et à leurs aiguilles, longues et réunies en faisceaux et surtout à tour souvent indispensables pour la détermination précise Les conifères sont des espèces résineuses, composé de plusieurs familles, ce sont les plus utilisées dans les reboisements en Algérie et les pays limitrophe d’autre part elles sont couramment utilisées par l’industrie locale, il existe 800 espèces de pin. (Debazac, 1977 in Kaboura, 2011) Les arbres sont en générales des essences de lumière, peu exigeantes a tous points de vue mais ayant un grand pouvoir d’expansion et craignant la concurrence, ils sont très utilisé comme essences de reboisements. (Rol, 1965 in Kaboura, 2011)t une humidité relative avoisinant 65 %.

Échantillonnage (méthodes) 

L’échantillonnage vise à établir le contenu moyen d’une unité de sondage. Dans le contexte de cet échantillonnage, la population est constituée de la superficie totale de l’unité de sondage à inventorier, alors que l’échantillon est représenté par un ensemble des unités d’échantillonnage permettant d’atteindre le niveau de précision désirée pour les principaux éléments de décision. La mesure de chaque unité d’échantillonnage dépend de son emplacement et correspond à une placette, une grappe de microplaquettes, un transect, un point ou un ensemble de points. Son emplacement est établi de façon aléatoire, selon la méthode d’échantillonnage choisie. Elle vise à mesurer les différentes caractéristiques forestières en vue de répondre aux objectifs du plan de sondage. Les méthodes d’échantillonnage en milieu forestier incluent les différentes méthodes aléatoires, soit les méthodes aléatoires simples, systématiques et aléatoires stratifiées. En foresterie, les méthodes les plus utilisées sont l’échantillonnage aléatoire stratifie et les inventaires systématiques sur grille (ex. : les inventaires de diagnostic). Dans le cas de l’échantillonnage stratifie, les strates sont définies pour séparer des éléments hétérogènes dans la population statistique. Généralement, le poids des strates est fonction de la superficie de chaque strate, mais peut aussi être défini selon d’autres critères forestiers (Méthot et al, 2014).

Structure élémentaire irrégulière (Franclet 1972 in Jdaidi, 2009) a montré que cette structure n’est pas reconnue comme une structure naturelle, elle est en effet très artificielle et provient d’exploitation ou de conditions très particulières. (Letocart 2002 in Jdaidi, 2009) a révélé que la structure irrégulière offre de nombreux avantages d’ordre écologique et économique et elle a rendu les peuplements plus résistants aux divers dangers; elle a garanti une couverture permanente du sol et favorise la régénération. Et d’après (Méthot et al, 2014), Un peuplement de structure irrégulière est un peuplement boitage ou multi-étage, dont les arbres sont habituellement repartis dans deux à quatre classes d’âge, et possédant une structure diamétrale déséquilibrée. Les jeunes peuplements de structure irrégulière sont âges de 80 ans ou moins. Ils sont composes d’arbres de tous les âges; les plus vieux ayant 80 ans, a l’exception des vétérans.

Peuplement de structure régulière et d’âge inéquien Un peuplement ≥ 7 m de hauteur est de structure régulière et d’âge inéquien lorsque la majeure partie de sa surface terrière est constituée de tiges appartenant aux étages des dominants et codominants, mais composé de tiges réparties dans au moins 3 classes d’âge (chaque classe d’âge étant suffisamment représentée : au moins 25 % de la surface terrière totale du peuplement pour chacune d’elle). Il faut distinguer les jeunes des vieux peuplements d’âge inéquien. Les jeunes peuplements de structure régulière et d’âge inéquien sont ceux âgés ≤ 80 ans. Ils sont composés de tiges de tous âges dont les plus vieilles sont âgées de 80 ans (dont les vétérans). Les tiges de plus de 80 ans font moins de 25 % de la surface terrière du peuplement. Les vieux peuplements de structure régulière et d’âge inéquien sont ceux âgés > 80 ans. Ils sont composés de tiges de tous âges dont les plus vieilles ont plus de 80 ans (dont les vétérans). Les tiges de plus de 80 ans doivent faire plus de 25 % de la surface terrière du peuplement). (D I F, 2016) Selon (Méthot et al, 2014) on distingue les jeunes et les vieux peuplements inéquienne. Les jeunes peuplements inéquiennes (Jin) de structure régulière sont âges de 80 ans ou moins. Ils sont composes d’arbres de tous les âges; les plus vieux ayant 80 ans (a l’exception des Vétérans, s’ils constituent moins de 25 % du couvert). Les vieux peuplements inéquiennes de structure régulière sont âges de plus de 80 ans. Ils sont composes d’arbres de tous les âges; les plus vieux ayant plus de 80 ans (à l’exception des vétérans, s’ils constituent moins de 25 % du couvert).

Cheminement sur le terrain

Le GPS offre une grande souplesse de cheminement sur le terrain mais Suppose que le chef d’équipe d’inventaire est formé à son utilisation. Les GPS permettent de stocker en mémoire des coordonnées de points et proposent une fonction pour atteindre un point de coordonnées connues. Il suffit alors de mettre en mémoire au préalable les coordonnées de tous les points d’inventaire. Pour atteindre un point d’inventaire, il suffit ensuite de le sélectionner dans le GPS et d’utiliser la fonction « atteindre un point ». Le GPS indique alors la direction à suivre et la distance restant à parcourir. Lorsque cette distance est nulle, le point d’inventaire est atteint. On peut ainsi cheminer de proche en proche sur chacun des points d’inventaire. L’avantage de cette méthode est qu’il n’est pas nécessaire de suivre des transects, et qu’on peut pratiquement se passer de points de repère.

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Table des matières

Remerciements
Table des matières
Liste des figures
Liste des tableaux
Liste des photos
Liste des abréviations
Introduction
1.Présentation de la zone d’étude
1.1. Site de Cap-Ivi
1.1.1. Dénomination
1.1.2. Situation géographique
1.1.3. Situation administrative
2.Milieu physique et caractéristiques de la zone d’étude
2.1. Relief et topographie
2.2. Exposition générale
2.3. L’altitude
2.4. La pente
2.5. Hydrographie
2.6. L’infrastructure
Infrastructure routière
Les tranchées par feu
Les postes vigie
3.Etude les facteurs écologiques
3.1. Cadre édaphique
3.1.1. le sol
3.2. Etude climatique
3.2.1. Introduction
3.2.2. Définition
3.2.3. Choix de station
3.2.4. Les facteurs climatiques
3.2.4.1. Les précipitations
3.2.4.1.1. Précipitations annuelles
3.2.4.1.2. Les Précipitations moyennes mensuelles de chaque année
3.2.4.1.3. Régime saisonniers
3.2.4.2. La température
3.2.4.3. L’humidité
3.2.4.4. Le vent
3.2.4.5. Siroco
3.2.5. Synthèse climatique
3.2.5.1. L’indice d’aridité de Martonne
3.2.5.2. Insolation
4.Diagramme Ombrothermique de Bangnouls et Gaussen
Conclusion
1.Généralité sur les pins
2.Le pin d’Alep
2.1. Définition
2.2. Nom scientifique
2.3. Caractéristique
2.4. Répartition en Algérie
2.5. Le Sol
2.6. Les Cônes
2.6.1. Les graines
2.7. Les aiguilles
2.8. Les incendies
2.9. Caractéristique dentrologique
2.9.1. L’écorce
2.9.2. Les bourgeons
2.9.3. L’enracinement
2.9.4. La résine
2.9.5. Le bois
3.L’écologie de pin d’Alep
3.1. Température
3.2. L’altitude
3.3. L’association végétale
3.4. Régénération
3.5. Problème de régénération
3.6. Croissance de pin d’Alep
3.7. Baisse de la capacité de reproduction
3.8. Sylviculture
3.8.1. Dépressage
3.8.2. Élagage
3.8.3. Éclaircies
Généralité sur l’inventaire
1.Introduction
2.Définition de l’inventaire
2.1. Type d’inventaire
2.1.1. Inventaire pied par pied
2.1.2. Inventaire statistique
2.2. Evolution dans le temps
3.Échantillonnage (méthodes)
3.1. Définitions de base
3.2. Plan de sondage
3.3. Taille de la placette (ou de la microplacette)
Conclusion
Généralité sur les structures d’un peuplement
1.Introduction
2.Etude de la structure
2.1. Structure horizontale
2.2. Structure verticale
2.3. Structure d’âge
2.4. Classes d’âge et structure du peuplement
2.5. Structure élémentaire
2.5.1. Structure élémentaire régulière
2.5.2. Structure élémentaire jardinée
2.5.3. Structure élémentaire irrégulière
Peuplement inéquienne de structure régulière
Peuplement de structure régulière et d’âge équien
Peuplement de structure régulière et d’âge inéquien
Peuplement de structure étagée
La description des peuplements
Composition des peuplements
Type de couvert
Introduction
1.Moyen et matériel utilisé
1.1. Les documents utilisés
1.2. Les instruments de travail
1.3. Les besoins humains (L’équipe d’inventaire)
2.Réalisation de l’inventaire
2.1. Le choix de la méthode de l’inventaire
2.2. Échantillonnage
2.2.1. Choix type d’échantillonnage
2.2.2. Taux d’échantillonnage
2.3. Réalisation de l’inventaire
2.3.1. La préparation de l’inventaire sur carte à partir d’un logiciel
2.3.2. Matérialisation sur le terrain
2.4. Repérage des placettes d’échantillons
2.5. Détermination le nombre des placettes à réalisent
2.6. Forme et dimension des placettes d’échantillonnage
2.7. L’emplacement des placettes d’échantillonnages sur une image Satellitaire de la zone d’étude
2.7.1. Position des échantillons
2.7.2. Cheminement sur le terrain
2.8. Numérotation des échantillons
2.9. Délimitation des placettes
2.10. Le Rayon d’une placette
2.10.1. La Pente
3.Travail sur la placette
3.1. Saisie des données
4.Mesure et caractéristique dendrométrique (traitement du donné)
4.1. Mesure de circonférence
4.2. La lecture
5.Mesure de Diamètre
5.1. Méthode de comment déterminer le DHP
5.2. Cas spéciaux pour le mesurage du DHP
5.2.1. Diamètre à hauteur de souche (DHS)
5.2.2. Diamètre à hauteur de poitrine (DHP
5.2.3. Méthode pour déterminer l’endroit précis où mesurer le DHP
5.2.4. Calculer de diamètre moyen
5.3. Hauteur du peuplement
5.3.1. Description du dendromètre Blum-Leiss
5.3.2. Hauteur moyen
5.3.3. La hauteur dominant
5.4. Âge d’un arbre ou d’un peuplement
5.4.1. Âge d’un arbre
5.4.2. Âge d’un peuplement
5.5. La Surface terrière (g
5.5.1. La surface terrière de la placette
5.5.2. La surface terrière pour chaque arbre
5.5.3. La surface terrière totale du peuplement
5.5.4. La surface terrière moyenne arithmétique ( )
5.5.5. La Surface terrière résiduelle optimale
5.6. Calculé la densité (nombre de tige par hectare)
5.6.1. La Densité du peuplement
6.Le taux de recouvrement
7.Le Volume
7.1. Le Volume marchand brut
7.2. Le Volume marchand net
Volume par hauteur de pressler
Composition floristique
Conclusion
Introduction
1.Caractéristique dendrométrique de la forêt
2.Calcul de La variance des observations
3.Etude de la structure générale de la forêt
3.1. Exemple sur les placettes étudiée
3.1.1. Placette N° 30
3.1.2. Placette N°17 exemple de peuplement mélangé
Conclusion générale
Référence et bibliographie
Annexes

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