DE LA PRATIQUE DU JARDINAGE A L’APPROPRIATION DES ENJEUX ASSOCIES A LA « NATURE EN VILLE »

La TVB, vers un aménagement soutenable du territoire national

   Conformément à l’objectif n°5 de la SNB 2011-2020 (annexe 1), 73ème engagement du Grenelle Environnement, la trame verte et bleue, en tant qu’outil d’aménagement durable du territoire ayant pour objectif de mettre en réseau les milieux permettant aux espèces de circuler et d’interagir librement, est caractérisée par des réservoirs biologiques reliés les uns aux autres par des corridors écologiques. Les réseaux d’échanges ainsi constitués permettraient d’assurer une certaine continuité (ou connectivité) écologique (schéma et définitions des notions en annexe 2). La TVB se décline donc en deux composantes qui forment ensemble un tout indissociable trouvant son expression notamment dans les zones d’interface (bandes végétalisées le long de cours et masses d’eau par exemple). Sa composante verte est caractérisée par les milieux dits naturels et semi-naturels terrestres (grands ensembles naturels, réservoirs de biodiversité reliés par des corridors) ; sa composante bleue représente les réseaux aquatiques et humides. La mise en œuvre d’une TVB nationale cohérente et efficiente s’établit tout d’abord à l’échelle de chaque Région à travers l’élaboration d’un nouveau schéma d’aménagement du territoire et de protection de certaines ressources naturelles : le SRCE. Celui-ci est établi conjointement par l’Etat (la DREAL) et la Région, en concertation ou co-construction avec les acteurs locaux (ateliers thématiques ou territoriaux) et en association avec les comités régionaux trames verte et bleue. Proposant une façon nouvelle de concevoir les territoires, spécifique et adaptée à leurs enjeux, la TVB traduit la volonté étatique de rassembler « préservation de la nature » et « développement économique et social ». Enclenchant une dynamique collective à toutes les échelles, ce dispositif se décline donc dans un jeu d’échelles multiples :
– L’Etat fixe le cadre de travail et veille à sa cohérence sur l’ensemble du territoire. Il préconise un renforcement de l’action publique en faveur de la réalisation de continuités écologiques et de TVB notamment en milieu urbain.
– L’Etat et les Régions élaborent conjointement les SRCE. Ces documents de planification respectent les orientations nationales et identifient la TVB à l’échelle régionale en intégrant notamment les enjeux de la nature en ville pour l’analyse des interactions entre les activités humaines et la biodiversité.
– Les départements pilotent la politique des grands espaces verts et des espaces naturels sensibles qui contribuent à la TVB et peuvent également mener des projets de restauration des continuités écologiques. C’est notamment le cas du département de Seine-Saint-Denis qui s’est engagé au titre de son projet département « Trame verte et bleue en Seine-SaintDenis : de la réalité scientifique aux déclinaisons opérationnelles ».
– La prise en compte des continuités écologiques au niveau local (intercommunal et communal) se traduit par :
• la prise en compte des SRCE dans les Schémas de Cohérences Territoriales (ScoT), les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) et les cartes communales;
• la mobilisation d’outils contractuels permettant d’intégrer la biodiversité aux projets de territoires à diverses échelles.
– Les entreprises peuvent agir en aménageant leur site pour préserver des continuités écologiques et veiller à réduire leur impact sur l’environnement. C’est le cas par exemple de l’entreprise Immobilière 3F qui a pour objectif d’augmenter la quantité et la qualité d’espaces verts dans ces lotissements. Nous développerons ce point dans la seconde partie de ce mémoire.
– Les agriculteurs et les forestiers jouent un rôle positif dans le maintien des continuités écologiques à conditions qu’ils pratiquent une gestion soutenable des sols et des ressources (agroécologie).
– Le citoyen qui, par ses pratiques, a les moyens d’agir à son échelle, notamment à travers la pratique du jardinage. Qu’ils soient familiaux ou collectifs, les jardins ont de multiples fonctions : tant écologiques dans la mesure où ils peuvent être utilisables par les espèces (lieu de transit ou lieu de vie), qu’économiques lorsque les jardins sont le produit d’une agriculture urbaine à fonction alimentaire, ou encore sociales en étant alors le support de rencontres ou de retrouvailles, de création et d’expression, de détente et de récréation. Parce que les aires urbaines françaises concentrent plus de 80% de la population du pays en 2007, la ville est au cœur des enjeux de développement et d’un aménagement durable national. C’est pourquoi, dans le cadre de la SNB et dans la continuité du Grenelle Environnement, le gouvernement français s’est engagé à promouvoir des villes « plus vertes », en s’appuyant sur l’outil innovant que représente la trame verte et bleue déclinée à l’échelle du milieu urbain. C’est ainsi que le plan « Ville durable » est présenté en Conseil des Ministres en octobre 2008.

La végétalisation de la ville au cœur de la « Ville Durable »

   Volet transversal du plan « Ville durable », le programme « Restaurer et valoriser la nature en ville », repris dans la loi de programme du 3 août 2009 dite Grenelle I, concrétise le 76ème engagement du Grenelle Environnement. Initié par le secrétariat d’Etat à l’Ecologie et au Développement Durable, ce programme est d’abord sujet à une conférence nationale de lancement, « Nature en ville, vers un plan d’actions dès 2010 », tenue à Paris en juin 2009. La démarche s’est poursuivie avec la mise en œuvre de quatre ateliers de travail thématiques réunissant élus, experts, chercheurs, entrepreneurs, agriculteurs, représentants des milieux associatifs et professionnels. La conférence de restitution tenue à Paris en février 2010 présenta les principales propositions d’actions visant à valoriser la nature en ville, à la connecter aux systèmes en périphérie et à améliorer de façon significative la qualité de vie en ville. Le « Plan Nature en Ville » est coproduit entre avril et juin 2010 par un groupe représentatif des acteurs de la ville et composé des cinq collèges du Grenelle Environnement qui a identifié les priorités et les actions à mener en partenariat. Le plan est ensuite officiellement lancé en novembre 2010 par le Ministère de l’Ecologie, des Transports et du Logement (METL) et par le MEDDE. Il comprend 37 actions regroupées en trois axes stratégiques et seize engagements. Le premier axe intitulé « ancrer la ville dans sa géographie et son milieu naturel » recouvre les quatre premiers engagements. Rassemblant les engagements cinq à onze, le second axe vise à « préserver et développer les espaces de nature en quantité et en qualité ». Le dernier axe du plan tend à « promouvoir une culture et une gouvernance partagées de la nature ». Enjeu de la « Ville Durable », la végétalisation de la ville recouvre trois grands aspects. Le premier est d’ordre écologique en permettant une meilleure mobilité et distribution des espèces. Le second concerne la dimension climatique car il s’agit d’adapter la ville aux variations climatiques, notamment grâce aux services écosystémiques de régulation (hydrique, thermique etc.) des paramètres de l’écosystème urbain qu’offre la présence de la nature en ville (abaisser les températures élevés propres aux îlots de chaleur, réduire les risques d’inondation par le maintien de sols perméables en favorisant l’infiltration des précipitations, réduire les pollutions etc.). Enfin, la végétalisation de la ville recouvre un troisième aspect qui est d’ordre social, psycho-social et culturel au regard de l’impact des espaces vert sur la qualité du cadre de vie, de l’importance symbolique de la nature dans la définition d’une « qualité de vie » et de celle des espaces végétalisés sur la santé (aspects récréatifs, de socialisation, de santé, de circuits court voire d’autosuffisance alimentaire). Elle intègre le besoin citadin de se reconnecter à son lieu de vie via la présence de nature dans son espace- vécu : la voir, la sentir, la toucher, voire parfois même la goûter (Bergeoënd, Blanc, Clergeau et al, 2013). De prime abord, la « Nature en Ville » est une ambition politique qui souhaite développer une nouvelle forme d’organisation spatiale de la ville qui incorpore le volet environnemental du développement durable à travers les nécessités économiques et sociales que requiert la durabilité. Car en effet, dans sa dimension sociale, le projet de végétalisation de la ville s’articule autour d’une recherche d’amélioration de la qualité du cadre de vie à travers une meilleure accessibilité aux espaces verts par exemple, afin de proposer une alternative aux préférences résidentielles périurbaines. Il est donc question d’amélioration de la santé publique (qualité de l’air, détente), de création et/ou renforcement du lien social (rôles des espaces verts, jardins familiaux et collectifs urbains) et de reconnexion de l’homme à la temporalité (saisons, variations climatiques). La pérennité d’un projet passant très souvent par la sécurité (ou protection) qu’il propose, l’ambition de la « Nature en Ville » est aussi de toucher la sphère économique en se proposant source d’emplois, notamment à travers l’agriculture périurbaine, l’entretien des espaces verts, la gestion de l’eau ou encore en menant des actions pédagogiques liées à sa valorisation. Concept politique que chaque agglomération est appelé à décliner, définir et construire, la « Ville durable » rassemble des acteurs dont les portées d’actions sont à différentes échelles : institutionnels (Etat, collectivités), professionnels (aménagement, urbanisme, bâtiment, gestionnaires d’espaces verts etc.), société civile et citoyens. Pour ce faire, la déclinaison des TVB à l’échelle de la ville apparaît comme un outil dont les bénéfices sont doubles. D’une part, cela permettrait de préserver une biodiversité déjà présente mais que l’environnement urbain morphologiquement fragmenté fragilise plus qu’il ne renforce, d’autre part ce serait une réponse à une demande citadine croissante d’amélioration de la qualité de leur cadre de vie, notamment via la « réapparition » de formes de « nature » dans la ville. Déclinant ainsi la TVB à l’échelle de la ville, il ne s’agit pas ici nécessairement de préserver des fonctions écosystémiques d’approvisionnement mais plutôt les services de régulation (hydrique, thermique) et des services sociaux, psycho-sociaux et culturels de la présence de nature en ville, services qui participent à un ensemble d’aménités et de services socio- culturels (diminution du stress, détente, activités ludiques ou sportive, lien social etc.). La présence de nature en ville est donc au cœur du modèle de la « ville dense mais soutenable » dont l’objectif global est de conduire au développement d’un nouveau mode urbain capable de rapprocher emplois, logements, commerces, loisirs et de favoriser la mixité et la cohésion sociales.

Les bouleversements économiques et sociaux changent le rapport aux espaces verts

   La volonté de créer ou restaurer des espaces de nature dans ville n’est pas récente. Elle s’inscrit dans le courant hygiéniste du 19ème siècle avec la manifestation des médecins qui, face aux transformations induites par les révolutions industrielles, dénonçaient des conditions de vie urbaines misérables, l’entassement, l’insalubrité et leurs effets néfastes sur la santé et la morale. L’hygiénisme préconisait alors l’ouverture des villes, qui étaient jusqu’alors délimitées par d’anciennes fortifications, afin de favoriser une meilleure circulation de l’air et de réduire la densité de population. Il s’agissait ainsi d’aérer et d’embellir la ville, notamment en y faisant « entrer » la nature. Au 20ème siècle, on voit que l’approche hygiéniste ne désempli pas, elle est même reprise et prolongée par deux grands mouvements. Le premier est le concept de cité-jardin. Théorisé par l’urbaniste Ebenezer Howard dans son ouvrage « Tomorrox, a peaceful path to real reform » (1898), la cité-jardin se propose comme une alternative à la ville industrielle qui devait permettre de profiter des avantages de la ville tout en habitant à la campagne. Appliqué à l’échelle de quartiers et non à celle de villes en périphérie, ce concept inspira de nombreuses villes européennes qui constituèrent de nouveaux quartiers appelés alors à tort « cité-jardin » porteurs toutefois de certains principes du concept fondateur en s’attachant à associer un habitat social, des services, des commerces et des espaces verts. Le second est le concept de la ville verte qui devait rassembler les objectifs hygiénistes et une architecture des logements axée autour de la place laissée à la nature et ses composantes que sont le soleil, l’air et la verdure. Avec le développement urbain qui s’intensifie et se généralise à la moitié du 20ème siècle, il semblerait que plus la campagne s’éloigne, plus les signes de « nature » se développent dans les villes (ex : jardins publics, arbres dans les immeubles etc.). En effet, après la ville industrielle qui constitua un monde ouvrier fait d’anciens paysans dépaysés, la ville de la fin des Trente Glorieuses atteint une « zonecritique » (Lefebvre 1970, d’après Lethierry, 2011) caractérisée par la concentration urbaine, l’exode rural, l’extension du tissu urbain et la subordination complète de l’agraire à l’urbain avec, en France, environ 65% de la population qui est urbaine au début des années 1970 (La Banque Mondiale, 2013). Le phénomène urbain pose alors la question de la relation ville/campagne où l’urbain est pris à la fois entre le rural (espaces verts, zones pavillonnaires) et l’industriel (barres d’immeubles, trajets obligatoires entre travail et domicile, voisinage imposé). Outre ses caractéristiques physico-chimiques aux impacts négatifs (îlots de chaleur, pollutions sonore, lumineuse, atmosphérique etc.), le système urbain laisse également place à d’autres formes de détériorations telles que celle des rapports humains, que ce soit dans les grandes métropoles ou dans les villes de taille plus modeste (Plan « Restaurer et valoriser la Nature en Ville », novembre 2010). Afin de trouver des éléments de réponse à ce type de problématique, nous nous référons à la sociologie urbaine, initiée dans les années 1950 par Henri Lefebvre dont le cadre de travail était le suivant : l’urbain a émergé à partir d’une dégradation du rural. Dans son ouvrage « Le droit à la ville » (1968), il constatait déjà la dégradation du vivre social dans l’habité (c’est-à-dire incluant le rapport au voisinage et pas seulement à l’habitat construit selon des visées productivistes d’après-guerre), mettant en avant le fait qu’au lieu d’instaurer une socialité, la ville déstabilise. En tant que réponse à ce type déstabilisation provoquée par le mode de vie en « non campagne », on observe que déjà à la moitié du 19ème siècle (premiers exodes ruraux après la première révolution industrielle), ce que l’on appelle un « système de résilience » commençait à apparaître sous la forme de jardins ouvriers (appelés alors « champs des pauvres »). En effet, alors que la ville industrielle happe les paysans hors de leur campagne natale, la doctrine terrianiste puis le paternalisme social, voulaient que le jardin soit à la fois un complément de ressource et élément de structuration de la famille (renforcement des liens de filiation). A la faveur du courant hygiéniste et précédant de peu l’urbanisme des cités-jardins (habitées principalement par des classes ouvrières) des années 1920, la pratique du jardinage en tant que système de résilience se développa massivement tout au long du 20ème siècle et connu un nouvel essor en France au début du 21ème siècle avec l’apparition de jardins collectifs partagés. Ayant pour point commun l’amélioration de la qualité de son cadre de vie, l’ouvrier et le citadin ont vu et voient encore aujourd’hui le jardin comme un outil de reconnexion. L’étude sociale de ces jardins, et plus généralement du besoin de cultiver, se penche alors vers la problématique suivante : une reconnexion … à qui, à quoi ? Retraçant leurs racines, inspirations et définitions, multiples et complexes, les « jardins collectifs » recouvrent différentes réalités. D’une parcelle familiale à une série de parcelles cultivées de manière individuelle ou collective, du jardin ouvrier français du 19ème siècle à la reconquête des friches new-yorkaise des années 1970, les essors et déclins des jardins traduisent tout autant l’évolution des sociétés (tantôt en crise tantôt dans la prospérité) qui les cultivent que celle des législations qui les englobent.

Entre les jardinières avec la a création et l’appartenance à un groupe spécifique ?

   Lors du tournage du documentaire (disponible en annexe), les jardinières ont voulu montrer une image particulièrement positive du jardin et d’elles-mêmes en présentant le jardin avant tout comme un lieu de sociabilité, c’est-à-dire, un lieu où l’on donne de soi, où s’échanges des coups de mains et des savoir-faire. Même si elle est plus nuancée dans leurs réponses aux questionnaires, récoltées dans les thèmes abordant les systèmes de relations des jardinières entre elles, avec leur famille et/ou les habitants du quartier, cette caractéristique socialisante du jardin se retrouve aux questions suivantes « pourquoi vous-êtes vous inscrite dans ce jardin ? », « que vous apporte-t-il ? » et « quelle fonction lui attribuez- vous ? », organisées dans le tableau suivant (tableau 5). Il apparaît alors les liens que suscitent les usages, pratiques et représentations du jardin par les jardinières s’articulent notamment autour de la création et de l’appartenance à un groupe spécifique. En effet, pour la majorité des femmes de l’échantillon interrogé, soit onze jardinières sur quatorze, le jardin a une fonction essentiellement relationnelle. C’est par ailleurs un groupe spécifique dans la mesure où il est composé exclusivement de femmes qui utilisent le jardin comme un lieu où elles peuvent « se retrouver et être ensemble » voire même « ne pas être seule ». Le collectif de jardinières est aussi un groupe particulier qui questionne sur sa capacité à se différencier des autres groupes/communautés du quartier avec la réponse d’une jardinière qui précise qu’elle aime faire partie « du » groupe.

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Table des matières

Introduction
I. LA PLACE DES JARDINS PARTAGES DANS LES ENJEUX DE « NATURE EN VILLE » 
1. Une double réflexion sur la fonction de la présence de « nature » dans les villes denses
1.1 Des mesures phares du Grenelle Environnement
1.2 La domestication de la nature, une réponse sociale à la dégradation du lieu de vie
1.3 Les principes de la « Nature en Ville » en expérimentation en Seine-Saint-Denis
2. Un stage qui s’inscrit dans une série de partenariats 
2.1 Une collaboration entre le MNHN et l’ODBU
2.2 Le quartier du Moulin Neuf, un « site-pilote » propice aux actions de médiations
3. Méthodologie 
3.1 Liste des entretiens
3.2 Questionnaires
3.3 Difficultés rencontrées
II. PRATIQUES ET USAGES : DE LA PERCEPTION ET L’APPROPRIATION 
1. Des profils relativement homogènes 
2. Quel lien social ? 
2.1 Entre les jardinières, avec la création et l’appartenance à un groupe spécifique ?
2.2 Entre les habitants ?
2.3 L’interaction intergénérationnelle, un lien présent mais encore relatif
3. Quelles perceptions pour quelles formes d’appropriation ? 
3.1 Des perceptions à dominante idéelle ?
3.2 Des modalités d’appropriation différentes selon le statut des acteurs ?
4. Une médiation aux enjeux de Nature en Ville effective ? 
4.1 Le rôle du jardin sur la perception et la pratique d’espaces de nature en ville
4.2 Le jardin, un outil de sensibilisation…
Conclusion
Bibliographie
Annexes

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