Correction de continuité de Yates (CISIA CERESTA)

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Pédologie

Dans le PNR, le sol est en général acide et de faible fertilité naturelle (Rasamoelina, 1993)57. Un sol humifère noirâtre est constaté dans les zones forestières du parc, dû à la décomposition des déchets végétaux et animaux. Un sol ferralitique rouge, jaune est également constaté dans certaines parties dégradées du parc. La géologie de la région est dominée par des gneiss et des migmatites précambriens et constitués par des migmatites à biotite, parfois à hornblende, intercalés par des micaschistes. Ces formations sont traversées par des filons et des lentilles granitiques (Besairie, 1973)7.

Hydrographie

La forêt du PNR est le plus grand réservoir hydraul ique du Sud- Est de Madagascar. De multiples petits cours d’eau prennent leur source dans la forêt, formant ensuite des petites rivières qui tombent en cascades pour rejoindre les basses terres.
Les trois grandes rivières sont : la Faraony au Sud, la Namorona au Centre et la Mananonoka au Nord. La Namorona, à cause de la forte déclivité fait tourner la centrale Hydroélectrique de Ranomafana.

Les composantes biotiques

A cause de la grande superficie du Parc, la presque totalité de la biodiversité faunistique et floristique reste encore à déterminer (Grenfell, 1995)22.

Flore

D’après Humbert. H et Cours .D .G, 1965 29, deux types de végétations naturelles y ont été trouvées :
· Entre 400 à 800m d’altitude : forêts primaires de basses altitudes constituées par la forêt dense ombrophile de basse altitude à s érie d’Anthostema (MYRISTICACEAE).
· Entre 800 à 1374m d’altitude : forêts denses ombro philes de moyenne altitude à série de Weinmannia bojeriana (CUNONIACEAE) et Tambourissa tricophilla (MONIMIACEAE). En raison de l’intense activité humaine et de l’exploitation sélective de bois, la végétation est remplacée progressivement par une forêt de type secondaire à dominance de bambous et de goyaviers Psidium cattleyanum (MYRTACEAE). (Nicoll et Langrand, 1989)41.
A Talatakely, la végétation est caractérisée par une forêt secondaire ayant subi une forte exploitation sélective avant 1988. Cette forê t est constituée par trois strates:
· une strate arborée supérieure constituée par des arbres allant jusqu’à une hauteur de 14-18 m.
· une strate arborée moyenne constituée d’arbres ayant une hauteur de 8-12m .
· une strate arbustive ayant une hauteur de 4-6m.
La canopée a une hauteur de 18-20m.
Les espèces prédominantes sont : Weinmania bojeriana (CUNONIACEAE), Cryptocaria acuminata (LAURACEAE), Tambourissa tricophilla (MONIMIACEAE), Psidium cattleyanum (MYRTACEAE) et Cephalostachyum viguieri, Cephalostachyum perrieri (POACEAE). Les épiphytes comme les fougères et orchidées sont aussi abondantes.

Faune

D’après les résultats donnés par Grenfell, 199522 dans le plan de gestion du parc, 26 espèces de Mammifères et 96 espèces d’Oiseaux ont été dénombrées, ainsi que d’autres groupes (Reptiles et Batraciens).
Les Mammifères : parmi les Primates, 12 espèces de lémuriens ont été répertoriées dont 7 diurnes et 5 nocturnes.
Les espèces diurnes sont :
· Prolemur simus.
· Hapalemur aureus.
· Hapalemur griseus griseus.
· Propithecus edwardsi.
· Eulemur fulvus rufus.
· Eulemur rubriventer.
· Varecia variegata variegata.
Les espèces nocturnes sont :
· Microcebus rufus.
· Cheirogaleus major.
· Lepilemur microdon.
· Avahi laniger laniger.
· Daubentonia madagascariensis.
On peut trouver d’autres Mammifères comme les carnivores dont les plus abondants sont : Fossa fossana, Cryptoprocta ferox, Galidia elegans ainsi que Eupleres goudoti, Galidictis fasciata fasciata ; des rongeurs dont Nesomys audeberti, Gymnuromis roberti, Limnogale mergulus et des Brachyuromis betsileoensis, des insectivores comme le Tenrec ecaudatus et des Chiroptères comme Rousetus madagascariensis
Les Oiseaux : l’avifaune est très riche avec quelques espèces rares comme Accipiter henstii, la majorité des espèces d’oiseaux dans la régionsont endémiques.
Les Reptiles: beaucoup d’espèces sont connues à Ranomafana comme Sanzinia madagascariensis, Calumma oshaughnessyi.

Les ethnies de Ranomafana

La zone périphérique du parc est définie comme une zone comprise dans les 3 km à vol d’oiseau à partir des limites du parc. Elle a une superficie de 80600 ha et compte 24881habitants (octobre 1998). Ces habitants sont répartis dans environ 117 hameaux et villages. Deux groupes ethniques dominent cette zone :
· Betsileo 55% venant des Hauts plateaux .
· Antanala 42% venant des basses altitudes .
· Les 3% restants viennent des différentes provinces
Dans la ville de Ranomafana, il y a environ 5000 habitants. Le périmètre du parc mesure 254 km. (PCD de Ranomafana).

Répartition géographique

La découverte des fossiles de crâne de Prolemur simus (subfossiles) a permis de dire que les Prolemur simus ont eu une large répartition à Madagascar, incluant Anjohibe et le massif d’Ankarana dans le Nord, les grottes du Tsingy de Bemaraha dans l’Ouest, et même dans le haut plateau à Ampasambazimba (Godfrey et coll., 2004 ; Godfrey et Vuillaume-Randriamanantena, 1986 ; Simson, 1997; Wilson et coll., 1988)21-20-67-81. En utilisant la datation au Carbone 14, les Prolemur simus d’Andrafiabe à Ankarana est daté de 4 560 ±70 ans BP (Simson et coll., 1995)66. Les mesures et la morphologie dentaire des espèces actuelles (Glander et coll., 1992 ; Meier et coll.,1987 ;Tan, 1999)19-36-75 ont mis en évidence que ces subfossiles sont similaires, du point de vue de la taille des dents, à celle des Prolemur simus vivants et suggèrent que leur comportement et leur écologie sont aussi similaires ( Jernivall et coll., sous press).
Mittermeier et coll, en 199440 pense que le Prolemur simus est seulement présent dans quelques petits lambeaux de forêts tro picales humides près de la côte Est . Les populations des Prolemur simus sont très peu distribuées et limitées à la partie sud centrale des forêts tropicales oriental es du pays, y compris celles de Kianjavato, parcs nationaux de Ranomafana et d’Andringitra (et le corridor), Evendra (près d’Ivato, sud-est d’Andringitra), Karianga (près de Vondrozo), et probablement au sud dans des fragments de forêt d’Ifanadiana (Meier et Rumpler 1987; WRIGHT et coll. 1987; Sterling et Ramaroson 1996;)36-82-73. Un grand groupe de Prolemur simus ont été trouvé dans une plantation de café à Mahasoa dans la Commune rurale d’Ivato (Sud Est d’Andringitra) (Wright et coll. 2008)84. Des rapports non publiés récents confirment également sa présence dans les forêts de Karianga, nord-ouest de Manombo (la COMM. de Jr. pers. de E. E. Louis.) et du nord jusqu’ à la région de Moramanga (Dolch et coll. 2004; Rakotosamimanana et coll. 2004)12-54. La disponibilité réduite de l’eau potable due au changement climatique a été également citée comme facteur limitant la distribution des espèces (Wright et coll. 2008)84.

Description et mode de vie

Prolemur simus est le plus grand de tous les lémurs mangeurs de bambou. Son poids est compris entre 2,2 à 2,5 kg (Tan, 1999 ; Mittermeier et coll., 2006 ; Glander et coll., 1989 ; Meier et coll., 1987 ; Balko, 1997 ; Wright, 1997 ; Atsalis et coll., 1998)75-41-19-36-82-5. Il n’y a pas de dimorphisme sexuel concernant le poids corporel (Tan, 1999)75. La longueur du corps peut atteindre 850 à 900 mm avec une queue de longueur assez élevée 450 à 480 mm (Garbut, 1999)18. La face est large et émoussée, le museau large mais court (Rowe, 1996 ; Garbutt, 1999)62-18.
Prolemur simus est de couleur « brun vert » avec le dessus de la t ête et le haut du dos gris brun avec légèrement une teinte roussâtre (Garbutt, 1999) 18. Il présente une tâche ocre sur la région sacrée. La queue est de la même couleur que le corps, mais son extrémité est brun noir (Petter et coll., 1977)48, ou gris (Garbutt, 1999)18. Cette espèce peut être facilement distinguée de ses congénères par sa couleur, sa grande taille et surtout la présence de poils blancs assez longs au niveau de ses oreilles (Ratelolahy, 2002)58.
La structure sociale de Prolemur simus est très variable (Rowe, 1996)62. Il peut être unimâle ou l’unité sociale de base compte plusieurs femelles adultes et ses  jeunes ainsi qu’un mâle reproducteur. Elle peut êtr e multimâle où plusieurs mâles adultes peuvent êtres reproducteurs au même moment (Ratelolahy, 2002)58.
Ils vivent en groupe de 4 à 12 individus et même de plus de 30 (Rowe, 1996)61 ou de 7 à 11 animaux (Sterling et Ramaroson 1996; Tan 1999, 2000)73-75-76. Leur répertoire vocal est très étendu avec sept appels distincts en relation avec la taille du groupe (Bergey et Patel 2008)6. Il occupe un territoire assez grand de 60 à 100 ha ou même plus (Sterling et Ramaroson 1996; Tan 1999, 2000 ; Rowe, 1996 ; Dolch et coll. 2008)73-75-76-62-13 selon la distribution des plantes de bambou et la disponibilité en eau potable pendant la saison sèche (Wright et coll 2008)84. Des observations d’animaux sauvages et en captivité suggèrent que Prolemur simus est cathemeral (Tan 1999, 2000)75-76 et que son cycle d’activités ne dépend pas du niveau de lumière ambiante de la nuit (Tan, 2000)76. La distance journalière parcourue est de 366 à 914 m (Wright, 1987)82 ou même plus de 1000m quand le groupe change de no urriture. L’accouplement se fait entre mai et juin, la gestation d’un seul petit par portée dure environ 149 jours (Tan, 1999)75. La mise bas a lieu à partir du mois de novembre (Tan, 2000 ; Rowe, 1996)76-62 et se produit tous les ans.

Mode d’observation

Durant les observations, les lémuriens sont repéréssoit par leurs cris, soit par les bruits de leurs sauts ou par des objets qu’ils laissent tomber comme les restes d’aliments fraîchement rejetés que les petites mouches noires sucent encore ; il y a aussi l’odeur de l’urine et des excréments. Pour les repérer, il suffit de suivre la piste où ces restes sont rencontrés. Au repos, ils sont détectés par leurs excréments ou par leurs odeurs spécifiques.

Collecte des données

Nous avons adopté la méthode « Scan sampling » d’ALTMANN qui consiste à noter les principales activités, le niveau fréquenté et la nature du support pendant le déroulement des activités de l’ensemble du groupe (Altmann, 1974)2. Cette méthode est la plus appropriée pour comparer les activités des différents individus et aussi pour avoir la durée consacrée par chaque individu, à chaque type d’activités (Colgan, 1978)10. On a relevé tous les 5 minutes les activités de tous les membres du groupe chaque jour. La fiabilité des données obtenues dépend de l’intervalle de temps choisi, c’est à dire plus l’intervalle de temps est court, plus les données sont fiables (Dunbar, 1976 ; Simpson et coll, 1977)16-66, l’enregistrement des données se fait par intervalle de 5 minutes (Martin et Bateson, 1986)34.
Pour faciliter la prise de notes , nous avons établi une fiche de collecte des données sous forme de tableau (voir annexe 1) avec le nom de l’espèce de l’animal à suivre sur l’entête à gauche ensuite la date de s uivi, les noms des guides et le type de climat. En bas, sont notées les grandes catégories d’activités de chaque individu du groupe :
· Les activités de chaque individu observé sont regroupées en 4 grandes catégories telles que : Repos : c’est synonyme d’inactivité. Pendant ce temps, le lémurien n’a aucune activité ; il se relaxe complètement. Il peut être endormi ou éveillé, solitaire ou avoir des contacts corporels avec les membres du groupe qui ont des affinités réciproques avec lui.
Alimentation : elle commence dès que l’animal cherche de la nourriture autant sur les arbres que sur le sol jusqu’à la cueillette et la mastication.
Déplacement : c’est l’action de se déplacer : l’animal est en déplacement lorsqu’il va, d’un lieu à un autre, d’un arbre à un autre.
Activités sociales : c’est l’ensemble des interactions sociales entre les individus du groupe. Elles peuvent être soit attrac tives soit répulsives comme :
Toilettage : si l’animal fait du toilettage c’est à dire un soin de propreté donné au corps. Pendant cet état, l’animal fait le démêlage, l’arrangement de la fourrure à l’aide de ses peignes dentaires avec léchage :
– Auto toilettage.
– Toilettage réciproque c’est-à-dire il y a échange entre deux ou plusieurs individus.
Jeu: si les individus du groupe jouent.
Marquage du territoire.
· Les noms des plantes avec les parties consommées :
Moelle (Culm pith) : la partie interne de la tige Feuilles matures (mature leaves).
Feuilles jeunes (Young leaves) Jeunes pousses (Shoot).

Signification du test

Le test de χ2 permet de tester l’hypothèse nulle H0. Pour ce fait, il est nécessaire de comparer la valeur calculée de χ2 à celle lue dans la table, correspondant à la valeur du seuil de sécurité α= 0,05.et celle du degré de liberté ddl.
· Si χ2 calculé < χ2 table : l’hypothèse nulle (H0) est acceptée, la différence entre les deux populations, s’il y en a, n’est pas significative au seuil de sécurité α.
· Si χ2 calculé > χ2 table : l’hypothèse nulle H0 est refusée, et il y a une différence significative entre les deux populations au seuil de sécurité α . Nous utilisons ce test dans le but de comparer des fréquences ou proportions des variables de deux échantillons.

One-way ANOVA (N. Lehner, 2003; Sokal & Rohlf, 1981)70

C’est un test permettant de comparer trois ou plusieurs échantillons indépendants. C’est un test paramétrique, le calcul est donc basé sur des caractères mesurables. Il permet de comparer deux à deux à la fois les différents échantillons. L’analyse de la variance à une dimension permet de tester l’influence d’un facteur sur plusieurs échantillons indépendants.
Dans le one-way ANOVA, il y a la variable dépendante (c’est-à-dire la variable à comparer) et les facteurs (critères de comparaison). Dans ce test, l’hypothèse nulle est comme suit :
H0 : le facteur n’a pas d’effet sur la variable.

Variation du rythme d’activité selon la partie consommée

Le rythme d’activité peut varier en fonction de la partie consommée Pourcentage(%).
D’après le tableau (voir annexe 6), on a constaté que l’alimentation occupe la moitié de l’activité du Prolemur simus suivi du repos quand il mange le tronc de bambou tandis que le contraire quand il mange le jeunes pousses c’est-à-dire le repos occupe presque la moitié de son activité journalière suivi de l’alimentation. Pour savoir si les différences entre les fréquences sont significatives, le test chi carrée de Pearson a été utilisé en posant comme hypothèse nulle :
H0 : il n’y a pas de différence significative entre l’activité de l’animal selon la partie consommée. Le résultat du test chi carrée montre que la valeur de χ2 c= 13,923; ddl=3 est plus grande que celle de la table χ2 T=7,81 au seuil de sécurité α=0,05. L’hypothèse nulle H0 est rejetée et on accepte l’hypothèse alternative H1 qui est « les différences de fréquence entre les activités selon la partie consommée sont significatives ».
D’après le tableau (voir annexe 6), l’alimentation et le repos présentent des valeurs respectives de chi carrée χ2 c= 13,480 ; ddl=1 et χ2 c= 7,061 (ddl=1) qui sont supérieures à celles lue sur la table (χ2 T=3,84) au seuil de sécurité α=0,05. Prolemur simus dépense plus de temps à consommer le tronc (51%) que quand il consomme les jeunes pousses (39,6%). En conséquence le temps de repos est plus court s’il consomme le tronc que s’il consomme les jeunes pousses (38,5%- 46,5%). Pour les deux autres activités c’est-à-dire le déplacement et les autres χ 2 0,232 ; ddl=1 ; χ 2 2,929 ; activités, les valeurs de chi carrée calculées ( c= c= ddl=1) sont inférieures à celle de la table χ2 T=3,84) au seuil de sécurité α= 0.05.
Cela veut dire que Prolemur simus consacre autant de temps pour le déplacement et que pour les autres activités quelque soit la partie consommée.

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Table des matières

MATERIEL ET METHODES
I. Présentation du milieu d’étude :
1. Le Parc National Ranomafana (PNR)
1.1. Historique :
1.2. Situation géographique
1.2.1. Localisation
1.2.2. . Division des Parcelles
1.3. Composantes physiques
1.3.1. Topographie
1.3.2. Climat
1.3.3. Pédologie
1.3.4. Hydrographie
1.4. Les composantes biotiques
1.4.1. Flore
1.4.2. Faune
1.5. Les ethnies de Ranomafana
II. Généralité sur le Prolemur simus
1. Position systématique
2. Historique
3. Répartition géographique
4. Description et mode de vie
5. Les prédateurs
6. Statut de conservation de l’espèce
III. Méthodologie sur terrain
1. Matériel de travail
2. Matériel biologique
3. Période d’étude
4. Mode d’observation
5. Collecte des données
6. Classification des niveaux occupé par l’animal selon les activités
IV. Méthode de calcul
1. Calcul de pourcentage
2. Test CHI-CARRE ou CHI-DEUX de Pearson
2.1. Définition
2.2. Hypothèses
2.3. Calcul de Chi carré ( 2
2.4. Signification du test
2.5. Correction de continuité de Yates (CISIA CERESTA)
3. Test de FISCHER-SNEIDECOR ou test « F »
4. Test « t » de STUDENT
5. One-way ANOVA
RESULTATS ET INTERPRETATION
I. Rythmes d’activités de Prolemur simus
1. Variation des fréquences des activités
2. Fréquence des activités selon le temps
2.1. Alimentation
2.2. Repos
2.3. Déplacement
2.4. Autres activités
3. Variation mensuelle des activités
3.1. Alimentation
3.2. Repos
3.3. Autres activités
3.4. Déplacement
4. Variation du rythme d’activité selon la partie consommée
5. Variation de l’activité selon le sexe
II. Variation de la hauteur fréquentée
1. Variation de la hauteur selon les activités
2. Variation de la hauteur selon le sexe
3. Niveau fréquenté selon les conditions météorologiques
III. Activités de la femelle avant et après mise bas
IV. Proximité de la femelle et du juvénile avant et après mise bas
V. Proximité de la femelle et du mâle adulte avant et après mise bas
DISCUSSION
1. Rythme d’activité
2. Variation mensuelle des activités
2.1. Alimentation
2.2. Repos
2.3. Déplacement
2.4. Autres activités
3. Variation des activités suivant le sexe
4. Fréquentation des différents niveaux forestiers
5. Variation de l’activité de la femelle avant et après mise bas.
6. Proximité de la femelle et du juvénile avant et après mise bas
7. Proximité de la femelle et du mâle avant et après mise bas
RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE

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