CONTROVERSE ENTRE LA LOGIQUE PAYSANNE ET LA LOGIQUE DES TECHNICIENS CONCLUSION PARTIELLE

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RATIONALITE PAYSANNE VIS-A-VIS DE L’EXPLOITATION DES RESSOURCES NATURELLES

La commercialisation des ressources naturelles constitue un enjeu économique important et joue un rôle significatif dans l’usage des ressources naturelles. Elle marque également les interactions entre les paysans et la forêt. Ici, la situation est plus complexe. Puisqu’on a souvent tendance à réduire les pratiques paysannes à de simples problèmes de « mentalité ». On les taxe de gens « irréfléchis, sans scrupule ». Mais en réalité, nous devons être très objectifs. Nous devons aller jusqu’au fond de leurs pratiques pour pouvoir apprécier, à juste, mesure la teneur.
Les paysans pénètrent dans la Montagne des Français avec une raison précise. Soit, ils veulent chercher des bois pour les constructions, des plantes médicinales ; soit, ils veulent fabriquer des charbons de bois. Pendant, les mauvaises récoltes, ils sont contraints de créer des revenus monétaires pour pouvoir acheter des nourritures et des produits nécessaires à leur survie. Depuis, cinq ans environ, les problèmes de la production agricole deviennent de plus en plus menaçants pour leur subsistance. A l’épuisement des sols cultivés s’ajoutent des catastrophes naturelles et climatiques (inondations, sècheresse…).
Face à cette situation, les paysans sont obligés de trouver des solutions rapidement, parmi lesquelles se trouve l’exploitation des charbons de bois.
Actuellement, la commune de Mahavanona est une grande productrice de charbon. Elle approvisionne, presque, à 75%(estimation) des besoins de la ville d’Antsiranana En effet, deux facteurs méritent d’être signales. D’une part, l’augmentation incessante de la demande de la part de la ville d’Antsiranana sur le marché du charbon pourrait assurément augmenter l’exploitation. Il est vrai qu’en ce moment l’activité de carbonisation ne constitue pas une activité principale. Mais, on fabrique du charbon secondairement pour compenser l’insuffisance des récoltes. D’autre part, le besoin en revenu monétaire augmente de plus en plus, en raison du phénomène de la monétarisation des campagnes.
Les paysans voient dans cette activité un moyen efficace pour surmonter le problème de financement en milieu rural. Avec des gains financiers procurés par la vente des charbons, ils peuvent s’acquitter de leurs dettes, financer la scolarisation de leurs enfants, leurs soins de santé, etc.
En matière d’exploitation des charbons de bois, la capacité de coupe (arbre) d’un individu est extrêmement élevée par rapport à celle d’un individu dans l’usage domestique.
Les enquêtes ont permis de calculer, à base d’estimation bien sûr, la capacité de coupe par individu en situation d’exploitation des charbons de bois. En moyen, un charbonnier peut produire 40 sacs de charbon par mois. Il pratique cette activité après les récoltes jusqu’au moment de la préparation des rizières. Cela fait donc 6 mois environ, du mois de mais jusqu’au moi d’octobre. Cependant, afin de produire 40 sacs, le charbonnier doit couper et préparer 10 arbres de 40 cm de diamètre(Tronc). Alors, Cci/an=10*t Cci/an=10*6 Cci/an=60 pieds.
Annuellement, un charbonnier peut abattre 60 pieds d’arbre. Là, on peut déjà imaginer l’importance de ce phénomène sur la dégradation des forêts. Donc, pour 100 charbonniers, ça fait déjà 6000 arbres abattus par an. Certes, c’est beau coup, mais nous ne sommes pas en mesure de calculer la capacité de charge de cette forêt. Alors, nous n’avons pas pu effectuer un constat réel des pressions et les menaces anthropiques sur la dégradation de cette forêt. Dans cette optique, on pourra peut-être trouver la réponse à partir de :
L’évolution de l’usage des ressources naturelles par la communauté riveraine permettrait de retracer les enjeux suivant :
– l’amélioration du système de production agricole .
– renforcement de la capacité d’autonomie des campagnes vis-à-vis des villes.
Comme dans toutes les campagnes malgaches, les zones périphériques de la Montagne des Français exercent l’agriculture associée à l’élevage comme activité principale. Mais quant aux activités secondaires, on peut caractériser la zone d’étude en deux zones bien distinctes. La zone de Ramena se spécialise, surtout dans l’exploitation des produits halieutiques ; Tandis que la zone de Mahavanona s’oriente grandement ces derniers temps vers l’exploitation des charbons de bois. En effet, ces précisions constituent le fondement même de notre réflexion sur les attentes de la communauté vis-à-vis de l’exploitation des ressources naturelles. Pourquoi dans le côté de Ramena les paysans sont plutôt réticents à l’égard de l’exploitation des charbons de bois ? Est-ce qu’ils ont une autre alternative ? Nous allons essayer d’apporter quelques éléments de réponse à ces questions.

CARACTERISATION CULTURELLE DE LA SOCIETE PAYSANNE

Cette incompatibilité est liée aux différents éléments de la société : les caractéristiques culturelles de la société paysanne, l’évolution du système culturel, les rapports des paysans avec la nature, les situations économiques, sociaux…
Les aspects culturels d’une société sont étroitement liés à sa composition tribale. Puisque, étant donné, l’identité culturelle de la société malgache, certaines particularités sont indétachables à chaque tribu. En effet, les deux communes sont différemment peuplées. La commune de Mahavanona tient sa singularité à l’histoire de sa formation tribale. Réputée pour sa potentialité d’accueil pour les étrangers,, elle intéressait différentes tribus, venues de différents horizons. Il y a trois décennie environ, des immigrants en provenance de Fianarantsoa (Atesaka), Toliary (Bara) et de Toamasina (Betsimisaraka) étaient venus à Mahavanona pour y résider (selon les anciens). Ils étaient attirés par la potentialité agricole de cette localité et s’y sont installés pour former, avec les tribus « autochtones »,
Sakalava et Antakarana, le peuplement local.
Les tribus Atesaka et Bara sont estimés à 80% de la population totale, suivie de Betsimisaraka à 8%. Les tribus autochtones ne forment que les 10% de l’ensemble. Par contre, dans commune de Ramena, les tribus Sakalava et Antakarana sont à 83%.
Cette composition tribale des zones périphériques pèse énormément, à travers la culture, sur les interactions entre la population et les ressources naturelles, les forêts.
Les Antesaka et les Bara sont venus avec leurs mœurs, leurs croyances et leurs « us et coutumes » pour former le peuplement de la commune de Mahavanona. Ici, se constitue le point de départ de l’évolution du système culturel local. Cette évolution est étroitement liée à la logique de cette migration massive, mais également au « métissage culturel » que cela a donné. En effet, les Bara sont connus pour une forte tradition pastorale. Mais, les deux (Antesaka et Bara) ne fréquentaient pour traditionnellement les forêts.
Par contre, la commune de Ramena ne connaissait pas profondément ce flux migratoire. Donc, c’est la culture « autochtone » à l’état original qui prévaut dans cette localité.
Dans l’ensemble, l’identité culturelle malgache se manifeste à travers l’importance de la parenté (Fihavanana) et le respect des ancêtres. Quelles que soient les différences culturelles qui peuvent se rencontrer dans les différentes tribus malgaches, les cultures malgaches se fondent toujours sur une même logique (logique malgache) et leur fonctionnement s’inscrivent toujours dans le but de vivre ensemble dans une communauté d’interdépendance. Les Malgaches essaient toujours dans toutes leurs actions de préserver cette vie communautaire.
Du côté de Mahavanona, ce « métissage culturel » se fonde toujours sur cette logique de parenté. Les Antesaka et les Bara étaient venus à Mahavanona pour former une communauté culturelle à part entière. Les croyances, les coutumes, les pratiques se sont fusionnées progressivement. Ces immigrants ont su adapter leurs traditions d’origines avec les traditions locales. Et ceci s’est manifesté par une « harmonie culturelle ». La commune n’a jamais connu des affrontements d’ordre culturel. Par exemple, dans les cultes des ancêtres, on pratique actuellement le « Jôro » de la même manière. En effet, dans la pratique, on rencontre des apports des traditions étrangères (des immigrants). Actuellement, la pratique de « Jôro » dans cette communauté ne constitue plus la pratique traditionnellement héritée des ancêtres Sakalava et Antakarana. Il y a d’un côté des apports de la culture Bara, issus des pratiques dans les cultes de « Hazomanga ». Avant, les Sakalava priaient les ancêtres dans la nature (forêts), au pied d’un arbre( surtout tamariniers). Mais, actuellement, la pratique de « Jôro » se fait dans un coin dans la cours, souvent au pied d’un poteau érigé volontairement ou au pied d’une stèle. Les pratiques deviennent donc « métissées ». La couleur rouge ne se voyait dans les rituels des Sakalava (au Nord) de temps d’avant. Aujourd’hui, on utlise des morceaux de tissus rouges, accrochés sur les tamariniers sacrés. On peut donc constater sur ce rituel des apports de plusieurs tribus (Sakalava, Antesaka, Bara). Ce rituel n’appartient plus aux Sakalava ni aux Antesaka ni aux Bara. C’est une pratique typiquement locale, « Culrure mahavanonais ».
Par ailleurs, du côté de Ramena, c’est la culture Sakalava qui prédomine. L’évolution culturelle locale est due simplement aux influences du milieu. Le manque de revenus monétaires incite la majorité de la population à abandonner certaines pratiques culturelles, jugées trop onéreux.. La situation de cette commune, en tant un lieu touristique, lui apportait un grand changement culturel. Elle entretient des contacts permanents avec les gens de la ville(Antsiranana) et les touristes étrangers.
En tout cas, Malgré le conservatisme, des paysans, la culture ne pourrait jamais être figée. Elle évolue ; elle change de forme et elle subit au quotidien toutes les interactions du milieu.
En milieu urbain, la notion de la nature s’interprète d’une façon très hétérogène, très différente. Les citadins n’assignent pas de grande importance à ce terme. Les avis divergent quant à sa définition. Certains la définissent simplement comme quelque chose qui nous entoure et formée par l’ensemble de l’univers. C’est quelque chose de sans valeur ; mais c’est l’homme qui a donné à la nature une valeur, notamment une valeur marchande. Les relations des citadins avec la nature se traduisent très souvent par des rapports purement économiques ou financiers.
Par contre, en milieu rural, la nature est considérée d’une manière très différente de celle que l’on rencontre en milieu urbain. En effet, les paysans définissent la nature, d’abord, comme quelque chose qui existe dans l’univers grâce à l’intervention d’un créateur. Ici la notion d’un « créateur de la nature » est très significative. Ensuite, elle constitue selon les paysans un grand ensemble formé par des êtres vivants et des choses qui entourent la campagne. Les arbres, les forêts, les animaux, les eaux, …sont considérés comme des éléments qui constituent la nature.
Dans cette optique, examiner les rapports qui existent entre les paysans et la nature pourrait révéler des informations capitales dans la compréhension de la perception des paysans vis-à-vis des ressources naturelles. Nous allons donc essayer de chercher les relations logiques qui nouent les paysans avec la nature.

CONTROVERSE ENTRE LA LOGIQUE PAYSANNE ET LA LOGIQUE DES TECHNICIENS

Ce qui frappe aujourd’hui c’est que les débats sur la comparaison contre la logique paysanne et la logique des forestiers, des écologies et des environnementalistes ne prennent pas une ampleur assez considérable. A Madagascar, les instances de conservation sont réticentes à ce sujet. Elles campent sur sa position. Elles s’investissent énormément dans la conservation de la diversité biologique (faune et flore) à travers la préservation des ressources naturelles. Et la lutte continue et continuera encore. En effet l’importance des problèmes de la dégradation frontière, affecte, actuellement, en première position, les paysans, mais aussi les pouvoirs publics malgaches. A cet égard, d’importants dispositifs ont été mis en place, il y a jusque 20 ans, à travers la concertation entre les gouvernements locaux, les organisations internationales et non gouvernementales. D’importantes activistes ont été également consacrées à la reconstitution forestière par des renouvellements des ressources naturelles renouvelables (reboisement).
Mais, face à l’immense tâche qui reste à entreprendre et à la persistance du phénomène (dégradation forestière), certains techniciens veulent toujours garder les modalités de lutte contre ce phénomène, à travers les mêmes méthodes et techniques qu’ils ont établies, il y a 20 ans auparavant. Et la question qui se pose aujourd’hui est de savoir si ces dispositifs évoluent selon les mouvements de la perception paysanne.
La plupart des organismes « spécialisés » dans la préservation de la biodiversité ne sont pas satisfaits des résultats de leurs projets. Toutefois, de tas de mesures ont été prises. On interdit l’intrusion dans les périmètres protégés. On crée un système de zonage établissant des zones réservées
à l’exploitation humaine, mais égalent à la protection de la biodiversité. Des aires ont été aménagées afin de gérer « rationnellement » les ressources naturelles telles que les forêts, les eaux, etc. Les gouvernements successifs ont vu passer divers programmes environnementaux : PE1, PE2 et PE3. Mais, toutes ces actions paraissent inefficaces.
Face à ce constat, certains penseurs ont ouvrent les débats sur la notion de la perception paysanne.. L’œuvre de Gérard BUTTOUD est très enrichissante dans ce sens (La forêt et l’Etat en Afrique sèche et à Madagascar, 1995). Dans cet ouvrage, il attire l’attention des techniciens de l’environnement sur l’importance de la compréhension mutuelle entre les paysannes, d’un côté et les techniciens, de l’autre. « La logique qui prévaut dans l’élaboration et la mise en œuvre de l’action publique, notamment dans le domaine forestier, est loin d’être compatible avec celle qui guide les choix paysans », a affirmé BUTTOUD (La forêt et l’Etat en Afrique sèche et à Madagascar, p.163).
A présent, nous allons donc essayer d’appréhender ce fait en scrutant tous les éléments qui peuvent entrer interaction avec la perception paysanne. En effet, l’individu entre nécessairement en contant, d’abord, avec son milieu, puis avec ses semblables.
Il existe divers éléments qui forment avec l’homme un système social total. Les plus importants de ces éléments sont ceux qui sont constitués, par l’économique, le social, le politique et le culturel. Maintenant, nous allons analyser le mécanisme qui forme la perception paysanne des ressources, à travers ces microcosmes.
Avec l’évolution de la société rurale, l’économie devient fondamentale pour la survie des paysans. A l’époque où la société paysanne n’était pas encore monétarisée, le poids de l’économie sur la vie, sur le mode de pensé des paysans était encore moins ressenti. Actuellement, les choses ont changé. La monnaie devient vitale pour les paysans, même au plus profond des campagnes.

LA DYNAMIQUE DE VIE EN MILIEU RURAL

De nos jours, les paysans mènent une vie très mouvementée, surtout avec la dégradation du système de production agricole, l’accentuation des mouvements migratoires, mais aussi avec l’acculturation accélérée, due à l’intrusion des citations dans les milieux ruraux.
Aujourd’hui encore, les campagnes malgaches continuent toujours de s’engouffrer dans une pauvreté extrême. Selon le Fonds monétaire international, 71% de la population malgache vivent en-dessous du seuil de pauvreté, soit un dollar par jour (Banque Mondiale, Profil de Madagascar, 2004). Mais, ce qui est sûr c’est qu’actuellement, on assiste de plus en plus à la paupérisation des paysans. Ils sont marginalisés sur tous les points de vue : économique, social, politique, culturel,… Maintenant, avec la dégradation continuelle du système agricole, dans les communes rurales de Ramena et de Mahavanona, les populations locales sont très septiques quant à l’amélioration de leurs conditions de vie (augmentation de revenus monétaires, augmentation des taux d’accès à l’éducation des enfants et aux soins sanitaires de base, etc.).
Cependant, de ce constat, relève un questionnement de savoir si un jour la situation va s’améliorer, et que les paysans seront, enfin satisfaits de leur production agricole. En tout cas, la question la plus pertinente et plus réaliste est de se demander quels sont les facteurs qui alimentent cette dégradation du système agricole dans l’ensemble des campagnes malgaches. A partir des réponses à cette question, on pourrait peut-être trouver quelques éléments de réponse à cette crise.
Il importe de signaler toutefois que les deux communes pratiquent toujours des activités agricoles, à savoir la riziculture, malgré leurs spécificités respectives. La commune rurale de Mahavanona est plutôt à vocation agricole ; tandis que la commune rurale de Ramena s’initie beaucoup plus dans l’exploitation des produits halieutiques.
Mais, en tout cas, les deux communes sont confrontées aujourd’hui à de graves problèmes de l’agriculture.
Le secteur agricole tient toujours une place très importante dans le fonctionnement des sociétés rurales. L’agriculture ne constitue pas en réalité une source principale des revenus. A cet égard, il importe de signaler que la société rurale malgache demeure toujours dans l’économie traditionnelle d’autosubsistance. D’où l’importance de la culture de riz (puisqu’il constitue la principale alimentation des malgaches).
La première cause de la dégradation du système de production agricole réside, d’abord, au niveau des infrastructures de production. Les infrastructures agricoles sont insuffisantes. Les outils et techniques demeurent encore traditionnels. Les principaux techniques et outils de travail sont formés par l’homme, la bêche, et les bœufs. Viennent, ensuite, s’ajouter à cela, l’absence de barrage d’irrigation, l’insuffisance de personnel d’encadrement et la réduction des temps de culture, en raison des problèmes de maîtrise d’eaux.
Puis, la production agricole se trouve confrontée aux problèmes fonciers ; les litiges fonciers entre les héritiers, mais également entre les voisins diminuent souvent la capacité de production des deux parties. Ce problème se traduit par d’énormes pertes en temps de travail ; au lieu de s’occuper des champs ils consacrent la majeur partie de leur temps et de leurs argents pour faire le « va et vient » au tribunal. De plus, l’insuffisance des terres cultivables rend encore les choses plus difficiles. Les paysans ne peuvent occuper que des petites parcelles de terre (50 à 60 a par ménages).

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Table des matières

NOTES METHODOLOGIQUES
INTRODUCTION
CHAPITRE I : ANALYSE DE LA COMPATIBILITE ET DE L’INCOMPATIBILITE DE LA PERCEPTION PAYSANNE DES RESSOURCES NATURELLES AVEC LA CONSERVATION DES FORETS
I. ANALYSE DE LA COMPATIBILITE DE LA PERCEPTION PAYSANNE DES
RESSOURCES NATURELLES AVEC LA CONSERVATION DES FORËTS
I.1 UTILITE DES RESSOURCES NATURELLES ET USAGE PAR LES COMMUNAUTES
I. 2 RATIONALITE PAYSANNE VIS-A-VIS DE L’EXPLOITATION DES RESSOURCES
NATURELLES
II. ANALYSE DE L’INCOMPATIBILITE DE LA PERCEPTION PAYSANNE AVEC LA CONSERVATION
II.1 CARACTERISATION CULTURELLE DE LA SOCIETE PAYSANNE
II. CONTROVERSE ENTRE LA LOGIQUE PAYSANNE ET LA LOGIQUE DES TECHNICIENS CONCLUSION PARTIELLE
CHAPITRE II :. COMMENT ACCROÏTRE LA COMPATIBILITE DE LA PERCEPTION PAYSANNE AVEC LA CONSERVATION ?
1 LA DYNAMIQUE DE VIE EN MILIEU RURAL
II. QUELLE CONSERVATION ? POUR QUELLE SOCIETE ?
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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