CONTRIBUTION A L’ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE DE LA FASCIOLOSE BOVINE

Causes favorisantes

    Beaucoup de facteurs peuvent favoriser l’infestation des ruminants par Fasciola gigantica :
Nature du sol On connaît des régions, des zones à Fasciolose. Le terrain intervient de 2 façons :
. rétention de l’humidité,
. teneur en calcium (nécessaire à la formation de la coquille des limnées), si bien que les sols acides, pauvres en chaux, sont défavorables. Les plus favorables sont des sols argileux lourds, à surface lisse et ferme qui permet la prolifération des algues microscopiques, aliments des limnées ; les sols tourbeux sont défavorables. La constitution du sol et son relief (déclivité, etc.) vont conditionner la distribution des limnées ; on distingue deux grands types d’habitat :
– les gîtes permanents, ou réservoirs, humides toute l’année : mares, ruisseaux, canaux, où la densité en limnée reste à peu prés constante mais faible (présence d’ennemis naturels), les limnées y sont de petite taille.
– les gîtes provisoires, où l’humidité et les limnées se rencontrent seulement pendant une partie de l’année ; les limnées proviennent alors soit des gîtes permanents, soit d’individus qui ont survécu dans le sol à la sécheresse. L’hôte intermédiaire est capable de se reproduire très activement dès que réapparaît l’eau contrairement à certaines espèces voisines. Ces milieux sont les plus favorables à la prolifération d’algues microscopiques.
Climat Le climat est extrêmement important ; on connaît ainsi :
– Des saisons à fasciolose grave,
– Des années à fasciolose grave.
Or, il n’y a pas d’accumulation des formes infestantes sur les pâturages d’année en année ; donc intervention de facteurs occasionnels, de nature climatique. Deux éléments vont influencer le développement des formes libres et des limnées :
.la température : aucun développement si la température est inférieure à 10°C température moyenne nuit/ jour ;
.l’humidité : l’eau en nature est nécessaire aux formes libres et aux limnées mais ces dernières survivent au sec.
Mode d’élevage
. les animaux en stabulation permanente sont très peu exposés ;
. les animaux élevés de type extensif (les ruminants et même les espèces peu réceptives comme les équidés et les porcins) c’est-à-dire ayant accès à des pâturages, sont fortement exposés.
Réceptivité des individus La réceptivité des individus dépend de différents paramètres :
¾ Espèce : surtout le mouton, puis les bovins ; l’âne est beaucoup plus réceptif, mais moins sensible, que le cheval.
¾ Age : les infestations sont plus fortes et les troubles plus graves chez les jeunes ; les adultes sont moins réceptifs, par le développement de tissus fibreux dans le foie.
¾ Immunité acquise : pratiquement inexistante chez les moutons, faible chez les bovins.
¾ Format de l’individu : chez les animaux petits, les faibles dimensions du foie rendent les lésions plus sévères pour l’individu (une métacercaire peut entraîner la mort d’une souris).
¾ Etat de santé : les animaux déficients, sous-alimentés, à polyparasitisme, sont beaucoup plus réceptifs.

Diagnostic clinique : toujours malaisé

Dans la fasciolose aiguë La mort survient sans signe précis ; l’affection évoque un accident d’entérotoxémie ou même plus chez les jeunes. Cela tient à deux faits :
– d’abord, la fasciolose aiguë est provoquée par l’absorption, en une seule fois, d’un très grand nombre de métacercaires : ce sont les plus gravement infestés.
– ensuite, si chez les adultes qui sont les plus gravement infestés, se développe normalement une immunité qui limite l’importance des surinfestations, ce phénomène est inopérant lors d’une infestation massive survenant brutalement.
La fasciolose chronique Cette forme clinique de la maladie doit toujours être suspectée dans la région où la fasciolose est une donnée classique, on la voit de préférence chez les jeunes sujets, qui n’ont pas encore développé l’immunité de pré munition. Il faudra chercher à reconnaître la succession, dans un ordre chronologique déterminé, des différents symptômes à savoir :
– d’abord, une anémie avec nonchalence, perte d’appétit, œil gras, amaigrissement progressif
– puis, apparition de diarrhée
– enfin, à un stade avancé, installation d’œdème (bouteille), et cachexie progressive.
On remarquera, en outre, que la palpation du flanc droit éveille une douleur sourde.

Prophylaxie sanitaire

Cela peut se concevoir selon trois axes d’interventions :
– d’une part, il faut aménager les points d’abreuvement là où cela est possible, pour empêcher tout à la fois la souillure de l’eau par des excréments d’animaux infestés, et le développement de Lymnée natalensis. Pour cela, il serait nécessaire de supprimer toute mare ou marigot, qui devraient être remplacés par des puits ou des citernes. Ceci n’est concevable que dans les structures très élaborées, comme les ranchs ou les fermes d’élevages. On doit, près des puits, surélever les abreuvoirs et les maintenir propres. Une mesure plus rustique serait, si l’abreuvement en mare pérenne est inévitable, de cimenter les aires où les animaux viennent habituellement pour boire.
– ensuite, il faut disperser les animaux sur un maximum de points d’eau : ceux-ci recevront ainsi un ensemencement moindre par les œufs de douves, et la possibilité d’infestation du bétail s’en trouvera réduite d’autant. Il faut retenir compte que toute concentration massive de troupeaux autour d’un point d’eau est un facteur de contamination très puissant.
– enfin, il faut lutter contre les mollusques, hôtes intermédiaires. Trois types de moyen peuvent être employés pour contrôler l’hôte intermédiaire :
ƒ Les moyens écologiques Parmi les moyens sont préconisés l’élimination des eaux par drainage et le clôturage des mares ou des gîtes à limnées pour limiter les contacts entre le parasite et les animaux réceptifs. Cette approche très coûteuse, présente un caractère assez aléatoire en raison des risques d’inondation par temps pluvieux (Mage et al.,1989a).
– Drainage des zones marécageuses.
– Le faucardage des mares et des cours d’eau (c’est-à-dire la suppression de la végétation des mares et des cours d’eau, dans lesquels les mollusques se réfugient)
ƒ Les moyens biologiques Cette approche est basée sur l’utilisation des prédateurs naturels : grenouilles, canards ou mollusques. Cependant, il existe des problèmes secondaires liés aux risques d’infestation des mollusques prédateurs et surtout au coût de la main-d’œuvre compte tenu de la fréquence nécessaire des interventions.
ƒ Les moyens chimiques Ces moyens reposent sur l’utilisation des molluscides. Ces moyens ont été tout particulièrement étudiés dans le cadre de la lutte contre la bilharziose humaine. Un bon molluscide doit être répondre à un grand nombre de critères : efficacité, sélectivité, toxicité, stabilité, coût, facilité d’emploi…….et aucun des molluscides utilisables sont satisfaisants. L’OMS, pour ce qui est de la lutte antibilharzienne, retient cinq groupes de molluscides possibles : composés insolubles du cuivre, composés organiques de l’étain et du zinc, ainsi que des composés organiques complexes (isobutyl, triphenyl, méthyl, amine, et n-trityl-morpholine). Les premiers sont toxiques pour tous les biotopes aquatiques et n’agissent que dans les limites de pH étroites ; les autres sont, soit toxiques pour les poissons ou pour leurs alevins, ou encore pour les larves d’insectes, ou phytotoxiques. Le dernier, très actif et très rémanent montre néanmoins un certain degré de toxicité pour les alevins ainsi que pour les têtards de batraciens (ceci, même à dose infime), or les batraciens sont des prédateurs de mollusques. D’une manière générale, l’efficacité des molluscicides est d’autant plus contestable que ces invertébrés ont un intense pouvoir de multiplication et de dispersion. De sorte que l’élimination, par voie chimique, de mollusques d’une zone donnée, ne peut être temporaire, à moins de renouveler les épandages régulièrement : alors se pose le problème du coût de ces intervention répétées. En fait, au moins en ce qui concerne l’Afrique, toutes les tentatives de lutte contre les mollusques avec ces molluscicides se sont soldées, en dernier ressort, par des échecs même dans ces biotopes très fermés comme certains lacs volcaniques, n’ayant aucune communication avec d’autres collections aquatiques. On retiendra, comme cela a déjà été dit pour la prophylaxie de la paramphistomose, que la lutte contre les mollusques est un problème ardu, qui est loin d’avoir trouvé une solution satisfaisante (P.M.TRONCY, J.ITARD et P.M.MOREL, 1981).

Résultats de l’enquête auprès des éleveurs

     L’enquête que nous avons menée auprès des éleveurs nous a permis d’avoir des renseignements sur leurs activités concernant l’élevage en insistant sur le type et le mode de production, l’habitat, l’alimentation et l’abreuvement. Ensuite, cet enquête nous a fourni des informations sur la santé animale en particulier concernant la lutte engagée contre la fasciolose et la motivation des éleveurs dans cette lutte. Nous avons ainsi effectué au total 115 enquêtes auprès des éleveurs et leur mode d’élevage pour les trois zones de notre étude sur les 237 éleveurs recensés auprès de chaque délégué de communes. Pour la commune urbaine de Manakara : 25 éleveurs ont été enquêtés sur les 33 recensés au niveau de la commune. Du fait de l’urbanisation, nous avons remarqué une forte proportion de la pratique de l’élevage de type intensif dans cette zone, le taux d’éleveur pratiquant ce mode d’élevage tourne au alentour de 60%. Tous les éleveurs que nous avons enquêté dans cette commune pratiquent tous ce type d’élevage. Leurs troupeaux sont composés par les PRN pour la production laitière. On a noté quelques habitats de type moderne mais la plupart sont encore artisanaux. L’exigence de la race élevée oblige les éleveurs à cultiver des fourrages. L’alimentation est donc constituée principalement par des fourrages cultivés avec des provendes en complément mais l’insuffisance de ces fourrages conduit les éleveurs à supplémenter l’alimentation par des cueillettes. L’eau est apportée et donnée dans des abreuvoirs construits dans l’étable. La lutte engagée contre la fasciolose se fait par l’intervention du vétérinaire avec institution d’un traitement anti-douve spécifique et systématique tous les trois à quatre mois. Les éleveurs ont aussi conscience de l’importance des mesures prophylactiques et pratiquent en plus une chimioprophylaxie par vermifugation et douchage des animaux. En ce qui concerne l’achat des produits vétérinaires, tous les éleveurs estiment que le coût de ces derniers sont à leur portée et que ces produits sont utiles et bénéfiques. La fasciolose ne constitue pas pour eux l’un de leurs problèmes majeurs mais ce n’est pas pour autant négligeable. En somme, pour la commune urbaine de Manakara, les éleveurs ont conscience des différents problèmes engendrés par la fasciolose bovine et de la nécessité des différentes mesures de lutte lancées contre cette maladie. Pour la commune rurale de Marofarihy, 60 éleveurs ont été enquêtés sur les 148 enregistrés auprès du bureau administratif de la commune dont la plupart pratiquent l’élevage bovin de type extensif. Malgré l’existence de quelques éleveurs qui pratiquent l’élevage de type intensif, tous les éleveurs que nous avons enquêtés pratiquent le mode extensif. Ce sont en majorité des agriculteurs mais avec des niveaux d’instruction moyens. Les troupeaux sont à 100% constitués par la race locale « omby gasy » zébus, destinés surtout aux différents travaux au champs car c’est encore la culture du riz qui reste la principale source de revenu des éleveurs. Les animaux ne sont pas donc traités pour une production particulière comme dans la commune urbaine de Manakara et ne sont vendus qu’en cas de nécessité absolue. Les animaux rentrent le soir dans des habitats de type traditionnels. Comme tout élevage de type extensif, l’alimentation des troupeaux est basée par les pâturages naturels mais les éleveurs pensent que les travaux aux champs épuisent les animaux ainsi ils supplémentent l’alimentation des animaux par des cueillettes ; des sons de riz et par des pailles de riz « mololo » ou même des fois par du manioc. L’abreuvement des troupeaux se fait surtout aux champs au niveau des canalisations des rizières et au niveau des différents points d’eau des pâturages. Concernant la fasciolose et la lutte contre cette pathologie, les éleveurs savent très bien les conséquences qu’elle engendre notamment, la faiblesse des animaux atteints qui va entraîner une conséquence plus ou moins marquée dans l’accomplissement des différents travaux aux champs surtout s’il y a plusieurs individus atteints dans le troupeaux. De ce fait, les éleveurs adoptent un traitement anti-douve lié à leur saison de culture du riz essentiellement. Les bétails reçoivent ainsi le traitement deux fois par an : un au début de la première saison de culture en mois de Septembre, un autre au moment de l’intersaison au mois de Février pour que les animaux soient en plein forme pendant toutes les saisons de culture. Par ailleurs, nous avons remarqué que les propriétaires traitent surtout les individus mâles dans le troupeau qui, dans la plupart des cas contribuent aux différents travaux liés à l’agriculture. Le traitement est assuré soit par le vétérinaire soit par ses auxiliaires. Les éleveurs n’adoptent aucune mesure prophylactique particulière pour complémenter le traitement de lutte contre la fasciolose en dehors des produits fasciolicides. Du fait de l’importance des zébus et de leurs contributions dans la culture du riz essentiellement , principale source de revenu dans la commune rurale de Marofarihy, la plupart des éleveurs enquêtés estiment que les dépenses liées à l’achat des produits vétérinaires sont utiles et surtout bénéfiques. ils pensent en général que la fasciolose bovine constitue pour eux un problème majeur. Dans la commune rurale d’Ambahatrazo, nous avons rempli 30 fiches d’enquête sur les 56 éleveurs enregistrés au niveau de la commune. Cette petite commune ancestrale peuplée par des gens originaires de la région se situe à environ 45 Km de la commune urbaine de Manakara. Le niveau d’instruction des éleveurs est très moyen. 100% de ces éleveurs pratiquent l’élevage bovin de type vraiment extensif et contemplatif. Les troupeaux sortent très tôt le matin de leurs habitats encore de type traditionnel avec leurs bouviers et parcourent dans la nature toute la journée à la recherche d’un pâturage pour se nourrir et d’un point d’eau pour l’abreuvement. Les têtes de bovin ne sont destinées à aucun mode de production particulier mais sont simplement considérées comme un emblème et marque la richesse. Les éleveurs ne vendent que lorsqu’il y a une nécessité, par exemple, au cours des différentes festivités dans la région. D’autre part, ils n’hésitent pas à abattre plusieurs têtes en cas de décès dans la famille du propriétaire. Les troupeaux simplement emblématiques ne bénéficient d’aucun traitement particulier, constitués à 100% de zébus locaux « omby gasy ». L’alimentation est assurée par les pâturages naturels sans supplément particulier à part des cueillettes et ceux-ci seulement au cours de leurs abondances. L’abreuvement se fait partout dans la nature au niveau des différents points d’eau (rivière, rizières, mares …). La majorité des éleveurs n’accordent aucune importance vis à vis de la fasciolose bovine, l’administration d’un traitement anti-douve se fait une fois par an au cours de la campagne annuelle de lutte contre la fasciolose bovine. En plus, tous les animaux ne bénéficient pas de ce traitement, seuls les plus atteints et les plus faibles seront traités au cours de chaque compagne. Tous les éleveurs enquêtés, ont estimé que le coût des produits vétérinaire contre la fasciolose est très chère. Ils pensent que la fasciolose, en tant que maladie parasitaire n’est qu’un vers et peut se traiter naturellement par des feuilles que les animaux ingèrent instinctivement. En dépit de tous ces faits suscités, les éleveurs pensent quand même que la fasciolose bovine est un de leurs problèmes majeurs surtout en cas de perte de quelques têtes qui serait logiquement fréquente dans cette commune à cause du modalité de traitement adoptée. Ils suggèrent une gratification des produits vétérinaires contre la fasciolose ou au moins réduire de moitié leurs prix.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA FASCIOLOSE
I. DEFINITIONS ET SYNONYMIE
II. ESPECES AFFECTEES
III. REPARTITION GEOGRAPHIQUE 
IV. ETUDE DU PARASITE
IV.1.Caractères morphologiques
IV.1.1. Adulte
IV.1.2. Œufs
IV.1.3. Phase embryonnaire
IV.1.4. Rédies
IV.2. Caractères biologiques
IV.2.1. Cycle évolutif
IV.2.2. Le mollusque hôte intermédiaire
IV.3. Pathogénie
IV.3.1. Action mécanique et irritative
IV.3.2. Action spoliatrice
IV.3.3. Action toxique
IV.3.4. Action favorisante des infections
IV.3.5. Action antigénique et immunité
IV.3.6. Conséquences de ces actions pathogènes
V. EPIDEMIOLOGIE
V.1. Sources de parasites
V.2. Modalités d’infestation
V.3. Causes favorisantes
V.3.1. Nature du sol
V.3.2. Climat
V.3.3. Mode d’élevage
V.4. Réceptivité des individus
VI. ETUDE CLINIQUE
VI.1. Symptômes
VI.1.1. Migration des douves immatures
IV.1.1.1. Forme aigue
IV.1.1.2. Forme atténuée
VI.1.2. Développement des vers dans les canaux biliaires
VI.2. Complications
VI.3. Lésions
VI.3.1. Forme aigue
VI.3.2. Forme chronique
VI.3.2.1. Canaux biliaires
VI.3.2.2. Parenchyme hépatique
VII. DIAGNOSTIC
VII.1. Sur l’animal vivant
VII.1.1. Diagnostic clinique.
VII.1.1.1. Dans la fasciolose aigue
VII.1.1.2. Dans la fasciolose chronique
VII.1.2. Diagnostic de laboratoire
VII.1.3. Diagnostic différentiel
VII.1.3.1. La forme aigue
VII.1.3.2. La forme chronique
VII.2. Post-mortem
VII.2.1. Hépatite traumatique
VII.2.2. Fasciolose chronique
VIII. PRONOSTIC
IX. TRAITEMENT 
IX.1. Objectifs et limites de la chimiothérapie
IX.2. Les différentes familles de fasciolicides
IX.2.1. Les dérivés phénoliques halogénés
IX.2.2. Les salicylanilides
IX.2.3. Les dérivés dianilés
IX.2.4. Le Clorsulon
IX.2.5. Les dérivés du benzinidazole
IX.3. Les limites de la chimiothérapie
X. PROPHYLAXIE
X.1. Prophylaxie médicale et vaccination
X.1.1. La prophylaxie médicale
X.1.2. La vaccination
X.2. Prophylaxie sanitaire
XI. INCIDENCES SUR LA PATHOLOGIE HUMAINE
DEUXIEME PARTIE : MATERIELS ET METHODES
I- PREPARATION
II- ENQUETE
II.1. Les échantillonnages
II.1.1. Communes
II.1.2. Eleveurs
II.2. Le déroulement
II.2.1. Au niveau des bureaux administratifs
II.2.2. Au niveau éleveurs
II.2.3. Auprès des services vétérinaires et ONG existants
II.2.4. Au niveau des abattoirs
II.3. Contraintes et limites
III- PRELEVEMENT ET DIAGNOSTIC DE LABORATOIRE
III.1. Matériels
III.2. Méthodes
III.2.1. Les prélèvements
III.2.2. Diagnostic des éléments infestant au laboratoire
III.2.3. Limites
TROISIEME PARTIE : RESULTATS ET DISCUSSION
Chapitre I : RESULTATS
I. RESULTATS DE L’ENQUETE
I.1. Résultat de l’enquête auprès des personnels administratifs
I.2. Résultat de l’enquête auprès des éleveurs
I.3. Résultat de l’enquête au niveau des abattoirs
II. RESULTATS DE LA COPROSCOPÏE
II.1. Pour la commune urbaine de Manakara
II.2. Pour la commune rurale de Marofarihy
II.3. Pour la commune rurale d’Ambahatrazo
II.4. Récapitulation des résultats
III. LES FACTEURS EPIDEMIOLOGIQUES
III.1. Modalités d’infestation
III.2. Les causes favorisantes
III.3. Mesures de luttes déjà en place
IV. IMPACTS SUR L’EXPLOITATION
Chapitre II : DISCUSSION
I- ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE
II- PROPOSITIONS D’ADAPTATION DES MESURES PROPHYLACTIQUES
CONCLUSION
ANNEXES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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