Soutenance mémoire
Introduction générale
PREMIERE PARTIE CONSIDERATIONS GENERALES
I.1- Le compost
I.1.1- Généralités
I.1.2- Quelques définitions
1.1.2.1- Le compost et l’humus
1.1.2.2- Le compostage et la compostière
I.1.3- Les modes de compostage
1.1.3.1- Les méthodes de compostage
1.1.3.2- La composition d’une compostière
I.1.4- Les types de compostage
1.1.4.1- Le compostage à froid
1.1.4.2- Le compostage à chaud
I.1.5. Processus de compostage
1.1.5.1- Le hachage
1.1.5.2- Le compostage
a) Phase d’échauffement
b) Phase de refroidissement
c) Phase de maturation
I.1.6- Conseils pratiques
I.1.7- Emplacement du tas de compost
I.1.8- Les facteurs de variations du compostage
I.1.8.1- L’humidité
I.1.8.2- La température
I.1.8.3- L’aération
I.1.9- Avantages et inconvénients du compostage
I.1.9.1- Avantages
I.1.9.2- Inconvénients
I.2- Les plantes à composter
1.2.1- Azolla
I.2.1.1- Taxonomie
I.2.1.2- Botanique
a) Morphologie d’Azolla
b) Morphologie d’Anabaena azollae
1.2.2-Tephrosia vogelii
1.2.3-Vernonia appendiculata
I.3- la plante-test: l’haricot (Phaseolus vulgaris)
I.3.1- Généralités
I.3.2- Taxonomie
I.3.3- Morphologie
I.3.3.1- Racines
I.3.3.2- Tiges
I.3.3.3- Feuilles
I.3.3.4- Inflorescences et fleurs
I.3.3.5- Fruits
I.3.3.6- Graines
I.3.4- Physiologie
I.3.5- Variétés
I.3.6- Exigences climatiques et édaphiques
I.3.6.1- Exigences édaphiques
I.3.6.2- Exigences climatiques
I.3.7- Maladies
I.3.8- Aire de culture
DEUXIEME PARTIE METHODOLOGIE DE TRAVAIL
II.1- Bibliographie
II.2- Travaux sur terrain
2.2.1- Choix du milieu
2.2.2- Choix des matières végétales à composter et la plante-test
2.2.3- Compostage
2.2.3.1- Installation
2.2.3.2- Processus de fabrication
2.2.3.3- Protocole
2.2.3.4- Surveillance et contrôle
II.4-Analyse au laboratoire
II.5- Expérimentation
2.5.1- Phase de préparation
2.5.2- Expérimentation proprement dite
II.6- Traitement des données
II.7- Récapitulatif de la méthodologie
TROISIEME PARTIE EXPERIMENTATION
III.1- Milieu d’étude
3.1.1- Présentation du Centre FAFIALA
3.1.2- Milieu physique
3.1.2.1- Localisation
3.1.2.2- La géologie
3.1.2.3- La géomorphologie
3.1.2.4- Relief et sol
3.1.2.5- La pédogenèse
3.1.2.6- Le climat
a) La température
b) La précipitation
III.2- Activités agricoles
III.3- Choix du site
III.4- Protocole d’essai
3.4.1- Dispositif expérimental
4.1.1- Disposition des placettes
4.1.2- Traitements
3.4.2- Pratique culturale
3.4.2.1- Préparation du terrain
3.4.2.2- Semis
3.4.2.3- Entretiens et traitements phytosanitaires
3.4.3- Les apports
III.5- Critère à analyser
3.5.1- Les éléments fertilisants de chaque type de compost
3.5.2- Etude sur la culture de haricot
III.6- Analyse des résultats et interprétations
3.6.1- Résultats agronomiques
3.6.1.1- Croissance de la plante
3.6.1.2- Le rendement en culture
3.6.2- Analyses des résultats et interprétations
III.7- Conclusion partielle
QUATRIEME PARTIE REFLEXIONS ET SUGGESTIONS
IV.1- Analyse socio-économique
IV.2- Amélioration de la qualité des composts
IV.3- Utilisation et vulgarisation
Conclusion générale
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie variations du compostage
|
|
Étudiant en université, dans une école supérieur ou d’ingénieur, et que vous cherchez des ressources pédagogiques entièrement gratuites, il est jamais trop tard pour commencer à apprendre vous trouverez ici des centaines de rapports pfe spécialement conçu pour vous aider à rédiger votre rapport de stage, vous prouvez les télécharger librement en divers formats (DOC, RAR, PDF).. Tout ce que vous devez faire est de télécharger le pfe de rapport-gratuit.com et ouvrir le fichier pfe PDF ou pfe DOC. Ce programme spécifique est classé dans la catégorie compostage sciences où vous pouvez trouver quelques autres mémoires informatique similaires.
Actuellement, de plus en plus de gens sont prêts à partager leurs travaux pfe, mémoire, thèse.. avec les autres et ils ne veulent pas de compensation pour cela. Le rapport CONTRIBUTION A L’ETUDE DES EFFETS SUR LA PRODUCTION DES DIFFERENTS TYPES DE COMPOSTE est un rapport complet pour aider les autres étudiants dans leurs propres travaux. |
Le compost
Généralités
Dans un tas de compost, on trouve en principe les mêmes processus que dans le sol. Dans le sol se trouvent des matériaux organiques morts ou en décomposition: restes des plantes ou excréments d’animaux. Des petits animaux vivant dans le sol les absorbent et les transforment en fines matières organiques qui en font de l’humus. L’humus est une forme de matière organique qui ne se développe que très lentement.
Ce sont principalement des micro-organismes qui transforment directement une partie de l’humus en acide carbonique, en eau et en substances nutritives pour la plante. Ce processus s’appelle la minéralisation; elle libère des substances nutritives pouvant être directement assimilées par les racines des plantes.
Le processus naturel de décomposition dans le sol peut être régularisé et accéléré par l’homme. La matière organique peut être rassemblée, de préférence sur un tas. Le processus de décomposition se déroule de façon plus intense et les conditions sont optimales lorsque le tas se transforme presque uniquement en matière organique. Le produit final est une matière organique bien décomposée contenant de l’humus et des substances nutritives. C’est ceci que nous appelons compost et le procédé est dénommé le compostage. Le compost est utilisé comme engrais organique, qu’on peut incorporer dans le sol.
La matière organique obtenue possède les propriétés suivantes:
-retenir l’eau et la mettre aussi à la disposition des plantes;
-emmagasiner des substances nutritives du sol et les mettre à la disposition des plantes;
-contenir elle-même des substances nutritives importantes: azote (N) ; phosphore (P), et souffre (S), etc, qui peuvent être utilisées par la plante;
-améliorer la structure du sol.
Quelques définitions
Le compost et l’humus
Plusieurs définitions sont données au mot « compost« .
D’après RAMALANJAONA (1992), en milieu agricole, le compost est le mélange de tous les résidus habituellement laissés par la vie de la ferme; ce sont les matières végétales, les balayures, les cadavres de petits animaux, les déchets de boucherie, les épluchures des légumes, les ordures ménagères, les déjections et débris avec la terre, de la chaux et un peu d’eau.
Le compost est un amendement humique provenant de la lente fermentation de divers produits animaux et végétaux. Ils peuvent être obtenus industriellement à partir des déchets des tanneries, des abattoirs (LOZET et al., 1990).
Selon MUSTIN (1987), le compost est un produit organique stable riche en composés humiques. Enfin, RAMALANJAONA (1992) propose du compost d’écobuage comme un compost dans lequel on a incorporé des cendres issues d’incinération des matières végétales.
L’humus est un ensemble de produits d’altération ou en voie d’altération de la matière organique du sol. Ces produits sont de couleur foncée et plus ou moins stables (LOZET et al, 1990). Il s’agit également d’une substance colloïdale noirâtre résultant de la décomposition partielle, par les micro-organismes du sol, des déchets végétaux et animaux. En d’autres termes, l’humus est le support de proliférations microbiennes utiles et indispensables à toute culture.
Le compostage et la compostière
Le compostage est un procédé biologique contrôlé de conversion et de valorisation des substrats organiques (sous produits de la biomasse, déchets organiques d’origine biologique,…) en un produit stabilisé, hygiénique, semblable à un terreau, riche en composés humiques (MUSTIN, 1987).
D’après MIEGEON (1987), le compostage est une méthode qui permet de réaliser rapidement la transformation du fumier et des matières sèches (tiges de mil, paille,…) pour obtenir une matière noirâtre qui contient beaucoup d’humus.
On appelle compostage, une fermentation thermophile aérobie intéressant une masse de produit dans laquelle règnent certaines conditions physico-chimiques et microbiologiques convenables (POMMEL et JUSTE, 1977).
On appelle compostière l’endroit où se déroule le compostage.
Télécharger le rapport complet
