Conséquences des mammites et moyens de lutte

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Elevage moderne

Un type d’élevage dit encadré a vu le jour au Togo dans le cadre des projets de promotion d’élevage ovins-caprins qui avait comme but d’améliorer la productivité de ces espèces. Dans ce système chaque élevage dispose:
• d’une bergerie bien clôturée, avec un parc de contention et un toit en tôle ;
• les animaux sont nourris sur pâturage naturel le jour et reçoivent une supplémentation le soir ;
• un suivi sanitaire et zootechnique est exécuté par les encadreurs des projets.
Il faut noter que les éleveurs encadrés sont numériquement faibles, mais l’effectif moyen d’animaux dans ces élevages est estimé entre 50 et 55 têtes (Teteh, 1988).
D’une manière générale, le développement économique et l’ouverture du monde pastoral sur le monde extérieur ont favorisé la naissance d’élevages sédentaires de type industriel. Les différents types d’embouches rencontrées ces dernières années dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne constituent un bel exemple.

Performances zootechniques et utilisations des chèvres

Performances zootechniques

L’âge à la première mise bas est approximativement à 16 mois chez la chèvre du sahel et à 17 mois chez la chèvre naine. L’intervalle entre mise bas est un peu plus élevé chez la première (11 mois) que chez la dernière qui semble également être plus prolifique. Le poids à la naissance est faible (2,1 kg chez le mâle de la chèvre rousse de Maradi, 1,57 kg chez la chèvre naine) de même que le poids à un an (tableau II), soit des gains quotidiens moyens respectifs chez les deux races de 49 g et 22g. Les résultats sur la production laitière restent encore rares et très fragmentaires. La durée de lactation chez la chèvre du sahel au Niger est de 44 mois. La production laitière quant à elle serait de 545 g par jour pendant trois mois chez la chèvre rousse de Maradi. Chez la chèvre du Sahara elle serait de 2 à 3 l par jour (Talaki, 2001).

L’utilisation de la chèvre

Les petits ruminants en général et les chèvres en particulier jouent un rôle important dans le système de production alimentaire des pays en voie de développement. Ce sont des animaux très appréciés parce qu’ils s’adaptent facilement à des climats très divers (adaptation écologique) et aussi il y a de nombreuses raisons d’en faire l’élevage.
En 1981, 98% de l’effectif mondial des chèvres se trouvait dans les pays en voie de développement, soit 476 millions sur les 496 millions de chèvres. Les chèvres représentent dans ces pays 20% des ruminants élevés en troupeau (Jasen, 1991). Selon toujours le même auteur, dans les pays en développement la production de viande de chèvre s’élevait à 1,92 millions de mégatonnes et celle de lait de chèvre à 5,6 millions de mégatonnes en 1981. La chèvre fournit 35% de la totalité de consommation de la viande et 4,6% de celle du lait .Ce qui est plus élevé que les pays industrialisés (respectivement 0,2% et 0,6%). Ces pourcentages pourraient faire croire que l’élevage de chèvre a une importance limitée. Il ne faut cependant pas oublier que, contrairement au monde occidental les paysans de la population des pays en développement forment la grande majorité, et qu’ils possèdent presque tous quelques têtes de petits ruminants. L’élevage de chèvre concerne donc un très grand nombre de personne. La chèvre a en outre, bien d’autres fonctions. Elle constitue un placement d’économie, favorise les contacts sociaux et est encore et toujours un animal de sacrifice.
En 1988, les petits ruminants représentaient un capital de 12 milliards de francs CFA au Togo et que la viande de petits ruminants est plus consommée dans ce pays que celle des bovins et porcins. En outre, quelles que soit la catégorie sociale du Togolais, il a souvent besoin de ces animaux dans ses activités tant sociales qu’économiques (Douti, 1986 ; Teteh , 1988).
En Mauritanie, une étude a montré que le ratio nombre de petits ruminants par habitants est supérieur à 2.5/1. Ce pays regorge d’importantes potentialités. L’élevage Mauritanien est de type extensif, les effectifs et les productions des cheptels ne peuvent être qu’estimés. Il ressort en outre que la production laitière des chèvres nécessite une attention particulière. Contrairement au lait de vache (lait vendu à la qualité), le lait de chèvre est totalement ou presque autoconsommé en Mauritanie et ne bénéficie donc pas d’un contrôle sanitaire
Ainsi, nous remarquons qu’en termes de production de viande rouge les petits ruminants occupent la première place devant les dromadaires et les bovins. Cependant, leur production laitière vient troisième derrière les bovins et les dromadaires (Tableau III).
Les systèmes d’élevage des petits ruminants en zone tropicale présentent une très grande diversité, il est cependant possible de les regrouper par grandes zones écologiques.
• Dans les élevages nomades et transhumants des limites sahariennes à la zone pastorale sahélienne, les caprins ont montré leur aptitude à survivre aux graves sécheresses à tel point que bon nombre d’éleveurs de bovins ayant perdu l’essentiel de leur troupeaux ces dernières années s’adonnent maintenant à l’élevage des petits ruminants ;
• Dans les zones agricoles soudaniennes, les petits ruminants complètent le système agricole lui procurant la trésorerie nécessaire pour les périodes de soudure (fin de saison sèche);
• Partout présents dans la forêt humide où ils sont souvent les seuls ruminants domestiques à vivre en compagnie de l’homme. L’élevage dans ces zones se limite à sacrifier de temps en temps un animal à des fins coutumières.
Par ailleurs, la santé animale se caractérise par des grands efforts déployés pour maîtriser les grandes épizooties mettant un peu à l’écart les autres pathologies. Parmi elles, il y a la pathologie mammaire qui est une contrainte majeure à la production et à la valorisation du lait, mais aussi un problème de santé publique par l’existence de germes pathogènes pour l’homme (Escherichia coli, Staphyloccocus aureus, Listeria, Salmonella species). Dans le contexte de ces pays où le lait de chèvre «vache du pauvre» est directement autoconsommé, le contrôle des mammites qui feront d’ailleurs l’objet du prochain chapitre constitue un enjeu majeur.

Les mammites chez les chèvres

Les mammites traduisent un état inflammatoire de la glande mammaire dont les manifestations sont variables. Elles peuvent évoluer de la simple perturbation des paramètres biochimiques et cytologiques du lait produit par le quartier atteint dans les cas subcliniques, vers une atteinte plus grave de l’état général voire une perte partielle ou totale de la glande et souvent même la mort de l’animal dans les cas cliniques suraiguës (Gueye, 1987). En effet, leur importance tient à leur impact dans les domaines économique (morbidité, mortalité, coût des traitements, baisse de la production laitière…), et de la santé publique (présence possible de bactéries pathogènes pour l’homme), d’où la nécessité de bien connaître les mammites à travers leur étiologie, épidémiologie et leur pathogénie afin de les diagnostiquer et de les combattre.

Agents infectieux

Bactéries

Contrairement à ce qui se passe chez les bovins les limites entre les pathogènes majeurs et mineurs sont moins marquées chez la chèvre. Ainsi, on peut présenter les agents responsables de mammites suivant une classification différentes de celle des bovins.

Staphylocoques

Les staphylocoques sont des germes Gram positif, appartenant à la famille des Micrococcaceae. Ils ont un métabolisme aéro-anaérobie. On distingue :
les staphylocoques à coagulase positive dont le chef de file est Staphylococcus aureus, mais qui comprend d’autres espèces comme S.hyicus ou S.intermedius.
les staphylocoques à coagulase négative (SCN) qui regroupent une vingtaine d’espèces. Toutefois, certaines espèces classées dans le groupe des SCN peuvent produire une coagulase. C’est le cas de S. delphini, S. schleiferi et S. lutrae (Caimaud, 2005).
• Staphylococcus aureus
Il provoque des mammites cliniques dont une forme gangréneuse est bien connue dans cette espèce. Dans la mammite gangréneuse, le quartier atteint est œdémateux, rouge violacé, et douloureux, puis le trayon devient flasque et froid. La peau noircit et laisse sourdre un liquide brunâtre. Les signes généraux se résument à de l’abattement et de l’hyperthermie. L’évolution est souvent mortelle en quelques jours. Si l’animal survit, la mamelle devient froide et grise, il se forme un tissu cicatriciel de protection et une partie de la mamelle tombe. Il faut noter que la mammite peut ou non évoluer vers une gangrène selon la résistance individuelle aux toxines alpha et bêta des staphylocoques. Par ailleurs, les mammites à staphylocoques non gangréneuses sont souvent graves, car les germes ont une action sur le système vasculaire. Le lait est modifié, les staphylocoques bien protégés dans la glande et le trayon, occasionnent souvent des abcès et restent présentes pendant la lactation et le tarissement (Plommet., 1973).
Ce staphylocoque peut également provoquer des mammites subcliniques. La sévérité de l’atteinte dépend de la souche et du biotype en cause mais également de facteurs de résistance individuels tels que la conformation de la mamelle ou des trayons (Blain et Devillard, 1996).
Il existe d’autres staphylocoques à coagulase positive, isolés dans la mamelle de la chèvre comme S. hyicus (certaines souches sont coagulase négative), S. intermedius, S. lutrae.
• Staphylocoques coagulase négative : (SCN)
Les Staphylocoques à coagulase négative au sens large ou plutôt staphylocoques « non aureus » provoquent essentiellement des mammites subcliniques (Perrin et Baudry, 1993) caractérisées par une élévation du nombre de cellules somatiques dans le lait. Leur pathogénicité chez la chèvre a bien été démontrée. Ils sont à l’origine d’une inflammation puisque les numérations cellulaires globales augmentent en leur présence. En l’absence d’infection par des pathogènes majeurs, les staphylocoques non aureus sont responsables de sévères augmentations des taux cellulaires de tank (Paape et al., 2001). De nombreuses espèces sont répertoriées dont certaines sont spécifiques des caprins (S. caprae par exemple) et d’autres sont retrouvées aussi chez les bovins (S .epidermidis,…). Les fréquences d’isolement de chaque espèce varient selon les auteurs, globalement S. epidermidis, S. caprae, S. simulans et S. xylosus sont les plus fréquentes (Poutrel, 1984). Le système d’identification se base sur les caractères biochimiques de chaque espèce (Vernozy-Rozand, 1995). Ces germes peuvent être assez persistants dans la mamelle, car ils ont la capacité de se protéger au sein de micro-abcès dans le parenchyme mammaire (Devillechaise, 1996). Certaines souches ont un pouvoir pathogène élevé et peuvent provoquer des inflammations sévères (Poutrel, 1984).

Autres bactéries

• Streptocoques
Contrairement à la vache, les infections à streptocoques sont peu répandues chez la chèvre. Les germes parfois isolés sont des streptocoques du groupe D pour le réservoir mammaire et St. faecalis, St. faecium pour le réservoir environnemental (Lerondelle et Poutrel, 1984). Ces germes sont généralement à l’origine de mammites cliniques se traduisant par une atrophie, une induration et une abcédation de la mamelle.
• Corynébactéries
Corynebacterium pyogenes et Corynebacterium pseudotuberculosis sont des germes de la maladie caséeuse qui donne des abcès associés à des scléroses de la mamelle et des ganglions rétromammaires. La sécrétion purulente est de couleur verdâtre. Le seul traitement est de réformer l’animal.
• Entérobactéries
Ce sont des germes Gram négatif (Escherichia coli, Klebsiella, Proteus) qui provoquent des inflammations cliniques évoluant vers une atteinte systémique aiguë. L’inflammation peut toutefois évoluer vers la chronicité. Ils sont présents dans le tractus digestif des animaux et donc dans l’environnement. L’infection est due à une hygiène défectueuse (épisode de métrites) et à des traumatismes de la mamelle (Blain et Devillard, 1996).
• Pseudomonas aeruginosa
C’est une bactérie Gram négatif provoquant des symptômes généraux (hyperthermie, paralysie du train postérieur) et locaux (mamelle très dure appelée »pis de bois », lait séreux verdâtre). La mortalité est fréquente (Le Guillou, 1989). La contamination peut se faire à partir de l’eau, ou d’une litière humide.
• Germes pyogènes
Ce sont des bactéries Gram négatif entraînant le plus souvent des mammites cliniques. Le genre Arcanobacterium est souvent mis en cause. Arcanobacterium pyogenes provoque des macro-abcès multiples dans la mamelle avec un lait prenant la forme de pus jaune sans grumeaux. Arcanobacterium pseudotuberculosis est à l’origine de la maladie caséeuse provoquant une abcédation des noeuds lymphatiques (dont les noeuds rétro-mammaires) (Devillechaise, 1996).
• Mannheimia haemolytica
Ce bacille est mis en évidence lors des mammites cliniques avec des températures corporelles élevées, un lait séreux, puis purulent et une nécrose du quartier qui ne tombe pas. La transmission se ferait lors de la tétée par de jeunes animaux atteints de bronchopneumonie. Elle représente moins de 1% des isolements bactériens (Smith et sherman, 1994).
• Bacillus cereus
C’est un bacille Gram positif qui peut être à l’origine d’intoxication alimentaire chez l’homme ou de mammites chez la vache.
• Mycoplasmes
Ce sont des germes appartenant à la classe des Mollicutes, ils n’ont donc pas de paroi. Les germes provoquant une atteinte mammaire sont M.mycoïdes mycoïdes (variant Large Colony), M.capricolum capricolum, M.putrefasciens et M.agalactiae. (Blain et Devillard, 1996). Leur action se caractérise par une infection brutale sur une fraction importante du troupeau. L’infection provoque divers symptômes au sein d’un même élevage. Des symptômes mammaires (baisse de production, voire agalactie, lait modifié, atrophie et fibrose du quartier) (Mercier et al., 2000 ; Mercier, 2001), des arthrites, des kérato-conjonctivites et des pleuro-pneumonies. Ces différents symptômes peuvent être diversement associés chez un même animal. Il existe également un phénomène de portage chronique et asymptomatique qui contribue à la diffusion de ces germes (Devillechaise, 1996).
• Brucella melitensis
Ce germe responsable d’une zoonose majeure, contamine souvent la mamelle de façon inapparente d’où le danger pour l’homme.

Virus

Le virus de l’arthrite encéphalite caprine (CAEV) est un lentivirus de la famille des retroviridae, il est non oncogène. Il est associé à des syndromes comprenant arthrite, pneumonie et mammite chez l’adulte, encéphalomyélite chez le jeune. Le CAEV est principalement impliqué dans les mammites subcliniques avec de fortes baisses de production, mais il peut également être impliqué dans des mammites cliniques touchant principalement les primipares et se déclarant brutalement autour de la mise bas. L’atteinte mammaire se caractérise alors par une induration des deux quartiers due à une infiltration massive par les leucocytes. Ceci entraîne une agalactie et une hypertrophie nette des noeuds lymphatiques rétro-mammaires. La mamelle est très dure, on parle de « pis de bois ». L’évolution se fait par le tarissement de la glande. L’infiltration cellulaire est en effet très importante et bloque la sécrétion par compression. La récupération est très lente et n’est jamais totale (Bergonier et Berthelot, 2003).

Champignons

Les mammites mycosiques sont rares, elles interviennent en début de lactation souvent après un traitement antibiotique au tarissement mal conduit (injection septique). Les agents responsables sont Candida albicans, Aspergillus fumigatus, Cryptococcus spp … (Bergonier et al., 2002). On assiste à des mammites cliniques avec des symptômes généraux marqués et une mamelle volumineuse.
L’étiologie des mammites subcliniques des petits ruminants se résume comme suit :
• rôle prédominant des Staphylocoques, les SCN étant plus fréquents que Staphylococcus aureus (à l’inverse de ce qui est observé pour les mammites cliniques) ;
• contrairement à la vache laitière, rôle limité des streptocoques ;
• enfin, comme chez la vache laitière, les entérobactéries et autres germes sont peu fréquents. Pour lutter efficacement contre ces affections il convient donc, de connaître leurs sources et de comprendre leur mode de transmission et leur mécanisme pathogénique.

Epidémiologie

Prévalences

Agents bactériens

Selon une enquête réalisée en 1984 en France sur les prélèvements de 2428 demi-mamelles (Lerondelle et Poutrel, 1984), on obtient les résultats suivants :
7,5% de mamelles infectées par des pathogènes majeurs dont 75,3% par Staphylococcus aureus, 11,5% par des streptocoques du groupe D, 12% par d’autres bactéries. On a remarqué une forte variabilité selon les troupeaux, les taux d’infection des demi mamelles allant de 0 à 50% dans un troupeau. Ainsi, certains élevages sont totalement exempts d’infection mammaire par des pathogènes majeurs.
24,1% de mamelles infectées par les staphylocoques non aureus.
69 ,6% de mamelles saines.
Une enquête menée dans le Poitou-Charentes (France) en 1993 donne sensiblement les mêmes résultats (Bergonier et Berthelot, 1993) mais avec une répartition selon la forme clinique :
2 à 3% de mammites cliniques dont, 50% de Staphylococcus aureus, 33% de streptocoques du groupe D, 9% de coliformes et de Corynebacterium sp., 4% de staphylocoques non aureus et de mycoplasmes, 3% d’autres bactéries
30% de mammites subcliniques dont, 85% de staphylocoques non aureus, 15% de Staphylococcus aureus, Streptococcus spp., Corynebacterium spp., mycoplasmes et Brucella melitensis
68% de lait bactériologiquement normal
Selon une enquête réalisée au Nigeria en 2000, il résulte une prévalence de 30 et 40% respectivement pour les mammites cliniques et subcliniques. L’infection de la demi-mamelle atteignant 68% (Ameh et Tari, 2000).
Ces différentes études nous montrent que les germes le plus fréquemment retrouvés chez la chèvre sont des staphylocoques non aureus. Ces staphylocoques sont des bactéries qui vivent généralement sur la peau des trayons ; ceci est un indicateur de mammites de traite. La contamination a généralement lieu lors des opérations de traite et non à partir de l’environnement. On peut tenter d’expliquer cette caractéristique de la chèvre par sa physiologie et son anatomie. D’une part, la chèvre fait des crottes dures et sèches contrairement aux fèces de la vache, aussi sa litière est plus propre et la contamination de la mamelle par des germes fécaux moins fréquente. D’autre part, le canal du trayon est plus petit et donc la contamination est plus difficile à partir de l’environnement.
Le tableau IV présente des prévalences et étiologies des mammites subcliniques des chèvres dans plusieurs pays Européens (Le Guillou, 1989).

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Table des matières

Introduction
Première partie : Etude bibliographique
Chapitre I : L’élevage caprin en Afrique subsaharienne : cas de la Mauritanie et du Togo
1. Principales races exploitées
1-1. Chèvre du sahel
1-2. Chèvre naine
1-3. Chèvre rousse de Maradi
1-4. Chèvre du Sahara
1-5. Autres races
2. Système de production
2-1. Elevage traditionnel
2-2. Elevage moderne
3. Performances zootechniques et utilisations des chèvres
3-1. Performances zootechniques
3-2. Utilisations des chèvres
Chapitre II : Les mammites chez les chèvres
1. Agents infectieux
1-1. Bactéries
1-1-1. Staphylocoques
1-1-2. Autres bactéries
1-2. Virus
1-3. Champignons
2. Epidémiologies
2-1. Prévalences
2-1-1. Agents bactériens
2-1-2. Agent viral
2-2. Sources et matières virulentes
2-2-1. Infections bactériennes
2-2-2. Infection virale
2-3. Mode de transmission
2-3-1. Infections bactériennes
2-3-2. Infection virale
2-4. Réceptivité de la mamelle
2-4-1. Moyens de défense de la mamelle
2-4-1-1. Défenses passives
2-4-1-2. Défenses à médiation humorale
2-4-1-3. Défenses à médiation cellulaire
2-4-2. Facteurs de variation liés à l’animal
2-4-2-1. Race
2-4-2-2. Stade de lactation
2-4-2-3. Numéro de lactation
2-4-2-4. Conformation et état de la mamelle
2-4-3. Facteurs de variation liés au milieu
3. Pathogénie
3-1. Réaction de l’organisme : processus d’inflammation
3-1-1. Infections bactériennes
3-1-2. Infection virale
4. Diagnostic
4-1. Diagnostic clinique
4-2. Diagnostic expérimental
4-2-1. Diagnostic indirect
4-2-2. Diagnostic direct bactériologique
Chapitre III : Conséquences des mammites et moyens de lutte
1. Conséquences des mammites
1-1. Conséquences socio-économiques
1-2. Conséquences sanitaires
1-2-1. Conséquences indirectes
1-2-2. Conséquences directes
2. Moyens de lutte
2-1. Prophylaxie
2-1-1. Prophylaxie sanitaire
2-1-2. Prophylaxie médicale
2-2. Traitement
Deuxième partie : Etude expérimentale
Chapitre I : Présentation des zones d’étude
1. Mauritanie
2. Togo
Chapitre II : Matériel et Méthodes
1. Matériel
1-1. Matériel biologique
1-2. Matériel au laboratoire
2. Méthodes
2-1. Méthodes sur le terrain
2-1-1. Choix des animaux
2-1-2. Technique de prélèvement
2-2. Méthodes au laboratoire
2-2-1. Préparation des milieux
2-2-2. Isolement
2-2-3. Identification
2-2-4. Antibiogramme
2-3. Analyse des données
Chapitre III : Résultats et discussion
1. Résultats
1-1. Caractéristique macroscopique des échantillons du lait
1-2. Résultats de l’analyse bactériologique
1-3. Résultats de l’antibiogramme
2. Discussion
2-1. Méthodologie
2-2. Résultats bactériologiques
2-2-1. Résultat global
2-2-2. Résultats par pays
2-2-2-1. Cas de la Mauritanie
2-2-2-2. Cas du Togo
2-3. Résultats de l’antibiogramme
2-2-2. Résultat global
2-3-2. Résultat par pays
Conclusion
Références bibliographiques

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