Connaissance sur la tuberculose bovine

Connaissance sur la tuberculose bovine 

o Variable à expliquer : Niveau de connaissance sur la TBb
o Variables explicatives : Caractéristiques sociodémographiques .

Selon la classe d’âge, le pourcentage de personnes ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 32,7% chez les personnes âgées, de 32,3% chez les adultes et de 23,6% chez les jeunes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). La proportion de personnes ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 31,8% chez les hommes et de 25,9% chez les femmes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). En fonction de l’ethnie la proportion de personnes ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 31,4% chez les peulhs, de 24,2% chez les wolofs et de 43,9% chez les autres ethnies. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p>0,05). Le pourcentage des enquêtés ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 30,9% chez les mariés et de 16,5% chez les non mariés. Cette différence était statistiquement significative (p= 0,011). Les mariés avaient 2,27 fois plus de chance d’avoir une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine que les non mariés. La proportion de personnes ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 30,4% chez ceux ayant un travaille à risque de TBb et de 27% chez ceux n’ayant pas un travail à risque de TBb. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Considérant le niveau d’instruction, la proportion de personnes ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 35,9% chez instruits et de 73,1% chez les non instruits à l’école française. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Concernant le lieu de résidence, la proportion de personnes ayant une connaissance acceptable sur la tuberculose bovine était de 33,3% chez les résidents en zone urbaine et de 27,4 chez ceux qui habitaient en zone rurale. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05) .

Pratiques et attitudes face à la tuberculose bovine

Bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques 

Bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques et caractéristiques sociodémographiques 

o Variable à expliquer : Bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques
o Variables explicatives : Caractéristiques sociodémographiques .

En fonction de la classe d’âge, la proportion de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques d’élevage était de 25% chez les personnes âgées, de 28,7% chez les adultes et de 27,9% chez les jeunes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Considérant le sexe, le pourcentage de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques d’élevage était de 27,7% chez les femmes et de 28,1% chez les hommes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). La proportion de personnes ayant adopté des bonnes pratiques d’élevage face à la TBb était de 15,3% chez l’ethnie Peulh, de 36,7% chez l’ethnie Wolof et de 27,8 chez les autres ethnies. Cette différence était statistiquement significative (p < 0,001). Les personnes appartenant à l’ethnie Wolof avaient 3,21 fois plus de chance d’adopter des bonnes pratiques d’élevage face à la TBb que celles appartenant à l’ethnie Peulh. Les bonnes pratiques d’élevage face à la TBb étaient adoptées par 27% de personnes chez les mariés contre 33,3% de personnes chez les non mariés. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Selon l’occupation professionnel, le pourcentage d’enquêtés ayant adoptées des bonnes pratiques d’élevage face à la TBb était respectivement de 26,8% et de 28,8% chez ceux ayant un travaille à risque de TBb et ceux n’ayant pas un travail à risque de TBb. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Concernant le niveau d’instruction, la proportion de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques d’élevage face à la TBb était de 30,4% chez les instruits et de 27,5% chez les non instruits à l’école française. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Selon le lieu de résidence, le pourcentage de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques d’élevage face à la TBb était de 25,4% chez les ceux qui habitaient en zone rurale et de 41,4% chez ceux qui résidaient en zone urbaine. Cette différence était statistiquement significative (p = 0,014). Les personnes résidantes en zone urbaine avaient 2,07 fois plus de chance d’adopter des bonnes pratiques d’élevage face à la TBb que celles habitaient en zone rurale .

Bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques et connaissances sur la TBb

o Variable à expliquer : Bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques
o Variables explicatives : Connaissances sur la tuberculose bovine.

La proportion de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques dans l’élevage des animaux domestiques était de 33,8% chez les personnes connaissant les modes de transmission de la TBb de l’animal à l’homme et de 21,1% chez ceux qui ne connaissaient pas les modes de transmission de la TBb de l’animal à l’homme. Cette différence était statistiquement significative (p = 0,007). Les personnes connaissant les modes de transmission de la TBb de l’animal à l’humain avaient 1,92 fois moins de chance d’adopter des bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques que celles ignorants ces modes de transmission. En fonction de la connaissance des modes de transmission de la TBb entre animal, le pourcentage  depersonnes adoptant des bonnes pratiques dans l’élevage des animaux domestiques était de 16,8% chez les personnes connaissant ces modes de transmission contre 33,2% chez ceux qui ne connaissaient pas ces modes de transmission. Cette différence était statistiquement significative (p = 0,001). Les personnes connaissant les modes de transmission de la TBb entre animal avaient 2,43 fois moins de chance d’adopter des bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques que celles ignorants ces modes de transmission. Les bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques étaient adoptées par 27,4% des enquêtés reconnaissant les signes suspects de la TBb chez l’humain et 27,9% chez ceux ne reconnaissant pas ces signes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Les bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques étaient adoptées par 32,6% des enquêtés reconnaissant les signes suspects de la TBb chez l’animal et de 23,2% chez ceux ne reconnaissant pas ces signes. Cette différence était statistiquement significative (p=0,046). Les personnes reconnaissant les signes suspects de la TBb chez l’animal avaient 1,6 fois plus de chance d’adopter des bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques que celles ignorant ces signes suspects. L’adoption de bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques était de 29,9% chez les enquêtés reconnaissant la TBb comme maladie grave et de 14,6% chez ceux ne reconnaissant la TBb comme maladie grave. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Selon la connaissance des moyens de prévention face à la TBb, le pourcentage d’enquêtés ayant adopté des bonnes pratiques face à la TBb dans l’élevage d’animaux domestiques était de 31,5% chez ceux qui connaissaient ces moyens de prévention contre 24,9% chez ceux qui les ignoraient. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05)  .

Bonnes pratiques face à la TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques

Bonnes pratiques face à la TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques et caractéristiques sociodémographiques 

o Variable à expliquer : Bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques
o Variables explicatives : Caractéristiques sociodémographiques .

En fonction de la classe d’âge, la proportion de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques était de 52,3% chez les personnes âgées, de 48% chez les adultes et de 46,6% chez les jeunes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Considérant le sexe, le pourcentage de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques était de 49,5% chez les femmes et de 45,9% chez les hommes. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05).

La proportion de personnes ayant adopté des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques était de 40,6% chez l’ethnie Peulh, de 51,9% chez l’ethnie Wolof et de 63,6% chez les autres ethnies. Cette différence était statistiquement significative (p = 0,042). Les personnes appartenant l’ethnie Wolof avaient 1,58 fois plus de chance d’adopter des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques que celles appartenant à l’ethnie Peulh. Les bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques étaient adoptées par 49,5% de personnes chez les mariés contre 39,7% de personnes chez les non mariés. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Selon l’occupation professionnel, le pourcentage d’enquêtés ayant adoptées des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques était de 51% chez ceux ayant un travaille à risque de TBb et de 44,1% chez ceux n’ayant pas un travail à risque de TBb. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Concernant le niveau d’instruction, la proportion de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques était de 53,8% chez les instruits et de 46,7% chez les non instruits à l’école française. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05). Selon le lieu de résidence, le pourcentage de personnes ayant adoptées des bonnes pratiques face à TBb dans la consommation du lait d’animaux domestiques était de 46,2% chez les ceux qui habitaient en zone rurale et de 56,7% chez ceux qui résidaient en zone urbaine. Cette différence n’était pas statistiquement significative (p >0,05) .

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
I. CONTEXTE /JUSTIFICATIFS
II. MODEL THEORIQUE ET CADRE CONCEPTUEL
Modèle théorique
Cadre conceptuel
III. CADRE D’ETUDE
Données géographiques
Données administratives
Données démographiques
Aspects socio-économiques
Données sanitaires du district
IV. BUT ET OBJECTIFS DE L’ÉTUDE
But de l’étude
Objectif général
Objectifs spécifiques
V. METHODOLOGIE
Type d’étude
Population d’étude
Protocole d’échantillonnage
Collecte des données
V.4.1. Outils de collecte
V.4.2. Méthodes de recueil des données
V.4.3. Données collectées
V.4.4. Définition opérationnelle des variables
Saisie et Analyses statistiques
VI. RESULTATS DE L’ETUDE
Résultats descriptifs
VI.1.1. Caractéristiques sociodémographiques des enquêtés
VI.1.2. Connaissance sur tuberculose bovine
VI.1.3. Attitudes et Pratiques face à la tuberculose bovine
Étude analytique
VI.2.1. Analyse univariée
VI.2.1.1. Connaissance sur la tuberculose bovine
VI.2.1.2. Pratiques et attitudes face à la tuberculose bovine
VI.2.2. Analyse multivariée
VI.2.2.1. Facteurs associés à un niveau de connaissance acceptable sur la tuberculose bovine
VI.2.2.2. Facteurs associés aux bonnes pratiques et attitudes face à la tuberculose bovine
VII. DISCUSSION
VIII. RECOMMANDATION
CONCLUSION
REFERENCES
ANNEXES

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *