Concepts de la croissance et du développement économique

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Les aspects théoriques du capital humain

Parfois la littérature économique traditionnelle met l’accent sur l’importance de l’aspect quantitatif et ignore l’aspect qualitatif du capital, mais depuis les années 60, il existe certains auteurs qui sont intéressés par le capitalhumain comme Théodore Schultz et Gary Becker. L’analyse s’intéresse sur la littérature traditionnelle du capital humain et ensuite le capital humain dans la nouvelle théorie de la croissance économique.

Le capital humain dans la littérature économique traditionnelle

A l’état primitif, le facteur de production est seulement le facteur travail, donc la littérature économique traditionnelle reconnaît qu’il ne faut pas négliger la qualité de travail, mais les économistes ne s’intéressent que sur la quantité de travail dans la production et ne développent pas ce concept. Pourtant, il existe certains auteurs comme A. Smith et R. Malthus qui sont conscients de l’importance de l’éducation en tant que capital humain.
Pour Adam Smith, l’accent est mis sur le rôle du f acteur travail dans le processus de production même si le capital humain est un terme tranger,é dans son ouvrage11. Il insiste sur l’importance de la division du travail pour avoir de gains de productivité et donc de surplus. Il est conscient de la nécessité de la qualification esd travailleurs, donc cela explique la spécialisation sur une seule tâche pour accroître l’habilité des ouvriers12. En outre, selon A. Smith « l’éducation est à la fois le remède contre les excès de la division de travail fait peser sur la personne humaine »13.Pour lui, l’éducation est le mieux adapté pour améliorer la performance des ouvriers. Par conséquent, la qualité des travailleurs est importante dans le processus de production.
Ensuite, Malthus énonce dans son ouvrage que « le pouvoir multiplicateur de la population est infiniment plus grand que le pouvoir de la terre de produire la subsistance de l’homme » .Il explique que le taux démographique croît plus vite que le taux de croissance, par le fait que le premier augmente selon une progression géométrique et ce dernier s’accroît avec une progression arithmétique. Le temps progresse et l’écart entre ces deux taux se creuse dramatiquement. Il propose deux phénomènes qui pourraient freiner l’accroissement de la population dans l’objectif de le rendre compatible avec l’évolution de la production. D’un côté, il s’agit de « freins préventifs », le capital humain (éducation) a un rôle important dans la diminution de nombre des enfants. Les femmes sont conscientes de leurs actes, car elles se soucient de leur niveau de vie. D’autre part, il s’ agit des « freins positifs » qui viennent de réduire l’accroissement de la population a posteriori, entre autres, la diminution de l’espérance de vie, la famine, les épidémies. Pourendre l’économie compétitive, il faudra former la population à des modes de pensée rationnels.
Le capital humain dans la littérature récente
La théorie du capital humain se fonde sur l’hypothèse que l’individu fait de l’investissement immatériel dans le but d’accroître le revenu, le rendement de production. En matière de capital humain, les économistes s’intéressent surtout à l’éducation. Dans les années 60, la théorie de capital humain développéepar Schultz et Becker a montré l’importance de la qualité de la main d’œuvre.

Le concept du capital humain selon Théodore Schlutz15

La théorie du capital humain énonce que toutes lesdépenses susceptibles d’améliorer le niveau de formation d’un individu augmentent la productivité. Mincer a proposé très explicitement : «L’interprétation économique des gains sur une duréede vie est la suivante : les salaires sont proportionnels à la dimension du capital humain. De ce fait, les différences de salaires entre les salariés sont dues principalement à des différences dans la dimension des stocks en capital humain, et non à un « taux de salaire »différent par unité de stock de capital humain. »(Mincer [1993], p. 189.). Schlutz a mis l’accent sur l’importance de capacité humaine pour que celle-ci puisse voir l’accumulation du capital dans le but de booster la productivité et le revenu d’un travailleur. Il a proposé « l’investissement dans le capital humain ». Selon lui, le capital humain renforce l’investissement dans le capital réel, c’est pourquoi l’oubli de l’aspect qualitatif du capital fait biaiser l’analyse de la croissance économique.
Ensuite, Gary Becker est l’auteur qui a contribué le plus dans le développement de la théorie du capital humain. Dans ce qui suit, l’analyse va procéder au concept du capital humain selon cet auteur.

Le concept du capital selon Gary Becker16

Il est l’un des économistes qui élargit le conceptdu capital humain comme une des sources de la croissance. Le stock du capital immatériel peuts’accumuler ou s’user, celui-ci augmente au fur et à mesure ce qui explique la différence de productivité. Investir en capital humain constitue une des formes d’investissements à cause de l’existence du rendement marginal qui est associé à une dépense ou une année supplémentaire. Aussi, existe-t-il de coût d’opportunité, c’est-à-dire des revenus que les individus doivent renoncer pendant qu’ils consacrent du temps pour étudier ou durant la formation. L’individu espère gagner de revenu supérieur à l’avenir. Ce concept énonce qu’il est essentiel de maintenir en bon état les conditions physiques des travailleurs comme la bonne santé, la nourriture, afin d’augmenter la productivité future et le revenu.
Effet de l’investissement en capital humain sur le revenu :
Le capital humain désigne les connaissances et lescapacités qui sont utiles dans la vie active. L’investissement en capital humain signifie :
– L’accumulation des connaissances et des expériences : en étudiant ou en travaillant
– L’amélioration de l’état de santé
La bonne santé est nécessaire dans l’investissementen capital humain. Il existe de l’avantage personnel pour l’individu en bonne santé à cause de l’accroissement de la productivité. Si les employeurs devaient investir dans la santé pour réduire l’absentéisme. L’investissement en santé permet d’accroître la productivité. La productivité de l’individu en bonne santé est supérieure à celle qui est malade.
Selon Becker, le capital humain se déprécie en fonction de l’âge de la personne. En d’autres termes, le stock de connaissances s’accumule et se dévalorise au fil du temps. Alors,le rendement marginal en capital humain est décroissant. Pour mieux comprendre, chaque année supplémentaire de formation se révèle moins rentablque l’année précédente. Ceci s’explique par le temps (âge), des capacités physiques et intellectuelles de plus en plus saturées et l’existence du coût d’opportunité de la formation qui implique le retard de la période de perception des revenus de travail. Par ailleurs, lorsque le niveau d’études augmente, le salaire reçu par l’individu à la fois bien formé et éduqués’avère élevé.
Dans le modèle de G S. Becker, l’éducation et la ormationf ont des effets sur l’accroissement de la productivité du travailleur. Lors des investissements dans ces deux éléments, il existe de coût d’accès aux ressources pour investir, sachant que par hypothèse les coûts augmentent avec les montants investis. L’augmentation des coûts avec les montants investis se résume sur les pointssuivants :
· un agent rationnel fait un choix dans le but de maximiser ses gains futurs par l’arbitrage entre travailler ou se former, cela implique le calcul coût-avantage. Il fait de l’investissement si cela permet d’obtenir un salaire plus élevé pour rembourser les frais, entre autres,les coûts de scolarisation, les frais de fourniture, le logement…
· Selon Gary S. Becker, l’éducation et la formation présentent des investissements en capital humain les plus essentiels.
· L’éducation et la formation ont des impacts pour augmenter la productivité
En outre, chaque individu essaye de tirer des avantages dans l’investissement en capital humain aussi longtemps que l’ensemble des coûts ne dépasse pas ses gains futurs. En d’autres termes, l’agent rationnel investit pour av oir de salaire net élevé.

Le modèle de Lucas

La théorie de la croissance endogène permet d’éclaircir sur les raisons des écarts entre le développement des pays riches et pauvres, cela nécessite la modélisation des relations entre l’accumulation de capital humain et la croissance. En fait, l’accumulation de connaissance et la technologie sont inclues dans le capital humain. Pour les pays pauvres la difficulté de manipuler la technologie existante est liée à un manque de capital humain. Selon Lucas, le capital humain est un facteur de production et il suppose que tous les individus sont dotés du niveau de capital humain hi(t)=h(t), le stock global de capital humain est H(t)=h(t).N, chaque agent dispose d’un temps(u) pour consacrer à la production de bien et (1-u) à l’accumulation de capital humain. En fait, la fonction de production correspond à : Y=AKβ[uhN]1-βhγa, cette formule signifie Y est la production, K est le stock de capital physique, ha représente le niveau moyen de capital humain et hγa signifie l’externalité du capital humain dans la société. De plus, Lucas suppose que la production dépend nonseulement du stock de capital physique, mais aussi du stock de capital humain hN, du temps dépensé à l’activité de production, mais aussi du niveau moyen de capital humain dans la sociétéha.18Ensuite, il existe de corrélation positive entre le niveau moyen de capital humain et la production. Lucas suppose que la production de capital humain représente le moteur de la croissance à cause de l’existence de rendement constant qui assure une croissance auto entretenue à taux constant. En outre, la production de capital humain (éducation) se formulecomme la suivante :
Dh=δ(1-u)h,(1-u) :le temps consacré à l’éducation δ, représente la productivité du capital humain dans la production. Si h<1 signifie que l’accumulation de capital immatériel devient difficile. En outre, h>1 : on est dans la situation de croissance explosive. Si h=1 signifie que le taux de croissance est à taux constant. En résumé, Lucas insiste sur le « Rôle du capital humain » dans la croissance économique à long terme, ce qui explique le développement économique à long terme.

Les limites de la théorie du capital humain :

Cette analyse permet de montrer qu’il existe des failles qui peuvent rompre la corrélation positive entre le capital humain et la croissance économique.
Cette analyse critique la théorie du capital humain et ensuite sur la théorie de la croissance endogène.

Les limites de la théorie du capital humain: théorie du filtre et du signal

La théorie du capital humain énonce l’hypothèse ueq tous les agents détiennent des informations parfaites.
D’abord, l’hypothèse de l’information parfaite est remise en cause par ARROW et SPENCE avec la « théorie du filtre »et la « théorie du signal ».Il se trouve que les employeurs sont dans une situation d’asymétrie d’information face aux compétences des travailleurs qu’ils veulent recruter. Ces théories proposent des solutions pourrésoudre cette situation.
Ainsi, la théorie du filtre énonce que le principalsouci n’est pas la maîtrise de la connaissance, mais l’obtention de diplômes reconnus à cause de reflet de celle-ci sur les qualités de l’individu. En effet, c’est sur la base de ce diplôme que l’entité concernée recueillie des informations concernant les individus et sélectionne parmi les intéressants. Les employeurs sont dans une situation d’incertitude face aux habilités réelles du demandeur d’emploi au moment du recrutement. Malgré le niveau d’éducation des demandeurs d’emplois, cela ne sert pas à apprécier ses capacités, mais il reste d’autres critères sociologiques et non-économiques comme le sexe, l’ethnie,…Selon la théorie du filtre, le niveau d’instruction est un facteur commun pour les employeurs.
Par ailleurs, la théorie du signal (Carnoy,1975) est différente sur deux points. Elle avance que l’authenticité des informations sur les capacités des travailleurs reste à vérifier. En outre, le diplôme est un signal aux employeurs et les travail leurs sont en situation de maximiser ce signal. La théorie du signal se repose aussi sur les aspects de la personnalité modifiables tels que la culture générale, le niveau de prestige de’école fréquentée etc. (Hargens,1969 ;Lee et Brinton,1996).Les employeurs peuvent exiger des autres critères comme des expériences professionnelles dans des entreprises nationales pour réduire le recrutement de certains immigrants.
En outre, il existe d’autres critères pour recruter des employés comme l’esprit de leadership, les habilités de communication, les attitudes faceà l’autorité etc. (Loga, 1996)
Maintenant, l’analyse s’intéresse sur les limites de la croissance endogène.

Les limites de la croissance endogène

D’abord, le capital humain et le capital physique sont complémentaires .Le capital humain est la source du développement de recherche-développement dans les entreprises ou dans les firmes. Ensuite, la croissance endogène dépend des facteurs suivants : le capital physique, la technologie, le capital humain et le capital public pour avoir de la croissance auto-entretenue. La théorie de la croissance endogène ne considère ueq l’investissement dans le capital humain engendre un niveau de croissance plus élevé. Si plusieurs firmes font des investissements en même temps dans une activité donnée comme dans leecherche-développement. Par conséquent, il existe des externalités lors de ces investissements. De même pour l’investissement dans le domaine de l’éducation et de formation professionnelle va engendrer de l’amélioration de la productivité des salariés t el’efficacité globale de l’entreprise sur l’organisation. Le problème constaté est au niveau des phénomènes d’externalités. «L’externalité est définie comme une interaction entre les agents ne passant pas par le marché, à laquelle ne correspond aucun prix26. ».En d’autres termes, il existe de passage clandestin27. Cette situation décourage l’inventeur puisque sa rémunération a peu de chances de se réaliser.
Ainsi, l’activité de recherche induit des effets positifs, les nouvelles idées sont offertes gratuitement aux chercheurs futurs28.Pour mieux expliquer, la recherche actuelle permet de présenter des effets positifs sur la productivité marginale du capital humain dans la recherche future. Lorsqu’il existe de nouvelles découvertes, la génération future bénéficiera de cela.
Par conséquent, l’innovateur ne possède pas de droit de propriété sur son invention et son recherche.

Concepts de la croissance et du développement économique

Il n’existe pas de développement économique sans croissance économique. C’est-à-dire que la croissance économique est une condition nécessaire,mais non pas suffisante pour atteindre le développement économique.

Définition de la croissance économique

La croissance économique est généralement définieommec l’augmentation soutenue et durable du niveau d’activité .
Ainsi, la croissance économique définit comme un« accroissement durable de sa dimension, accompagné de changements de structure et conduisant à l’amélioration du niveau de vie30 ». En d’autres termes, la croissance peut assimiler par le changement de dimension comme la hausse des agrégats tels que le PIB (Produit Intérieur Brut) ou le PNB (Produit National Brut).Le calcul de PIB peut écrire comme suivant :
PIB = Valeurs ajoutées des secteurs institutionnels résidents
+TVA et autres impôts sur les produits, nets de sub ventions
+Droits de douane nets de subventions à l’importati on.
Il s’agit de calculer le PIB à partir des valeurs a joutées (Optique produit). En outre, il existe d’autre méthode pour calculer le PIB comme le suivant32 :
PIB= Consommation Finale (sur le territoire économique)
+ Formation Brute de Capital (FBCF+Variation de stocks)
+ Exportations – Importations.
Il s’agit de calculer le PIB à partir des emplois f inals (Optique dépense).

La précarité de la qualité de l’enseignement fondamental

La principale faiblesse de l’enseignement malgache se situe dans sa qualité à cause des recrutements massifs des enseignants non qualifiés .C’est – à -dire qu’il n’existe de formation initiale pour ces enseignants et cette situation a des effets sur la qualité de l’enseignement.
Pour illustrer ce phénomène, moins du quart des enseignants possèdent le niveau minimal requis pour enseigner49.
Concernant le manque des matériels pédagogiques tels que des manuels scolaires par élèves et par matière dans les écoles publiques. Par ailleurs, dans les zones enclavées la distribution des manuels scolaires n’existe pas et il n’y a pas de r esponsable assurée pour le faire.
Ainsi, les situations des enseignants non-fonctionnaires (ENF) sont instables à cause de leurs bas salaires et l’absence de perspectives de carrière sont la source de leurs démotivations. Par exemple, dans le système éducatif 60% des enseignants non-fonctionnaires représentent les enseignants50.
De plus, le temps d’apprentissage et d’enseignement est insuffisant. La raison en est que 900 heures est la durée normale de l’apprentissage et l’enseignement. Pourtant, les élèves ne feraient que 600 heurs de cours à cause de l’absent éisme de l’enseignant. Les principales raisons de l’absentéisme sont l’éloignement de lieude paiement de salaire et la participation à des programmes de formation.
Enfin, le problème de continuité entre le primaire et le premier cycle secondaire. Les principales causes de ces problèmes sont l’absence des structures de formation des enseignants et le personnel d’encadrement.

L’inadaptation de l’enseignement post-primair e aux besoins du marché du travail

D’abord, le système d’enseignement post-fondamental n’assure pas aux besoins du marché de travail. Il n’existe pas de l’articulation entre les institutions d’enseignements et de formation aux acteurs économiques puisqu’ il est difficile d’évaluer et d’adapter les programmes d’enseignements et de formation à une vi e d’emploi et de productivité. En d’autres termes, il n’existe pas de l’insertion des diplômes de l’enseignement post-fondamental dans le marché de travail.
Ensuite, faute de limitation de place au niveau du second cycle secondaire. Nombreux des élèves sont obligés d’arrêter leur étude sans avoirun minimum de préparation dans le monde de travail. De plus, le programme de l’enseignement du second c ycle du secondaire se concentre sur la préparation des élèves à l’enseignement supérieurPourtant,. la moitié des élèves ont la chance de réussir. Parmi ces bacheliers, la moitié seulement seront reçus dans les universités. Ainsi, les autres qui échouent le Baccalauréat ces trois ernièresd années d’étude dans le lycée ne sont pas valorisées. Pourtant, la plupart d’entre eux n’ont pas continué à étudier dans l’enseignement supérieur.
En outre, l’objectif de l’enseignement technique es t de former des jeunes pour le monde de travail. Par contre, il existe de déviance dans la réalisation de cet objectif puisqu’ il prépare des élèves à l’entrée aux institutions d’enseignements supérieurs. Cela implique la difficulté des jeunes diplômés de s’intégrer au monde professionnel. Les problèmes rencontrés pour cet enseignement se trouvent dans l’absence de formation de formateur et l’absence de lien entre l’enseignement technique et le secteur économique.

La mauvaise gouvernance dans le système éducatif

Nombreuses sont les origines de la mauvaise gouvernance au sein du secteur éducatif.
D’abord, les intrants alloués aux écoles sont souvent en retard, entre autres, les kits scolaires, les dotations en fournitures et équipements ne sontpas livrés à la rentrée, voire même avant la fin de l’année scolaire.
Ainsi, l’absence de suivi des résultats et de contrôles a posteriori reste un obstacle. Par conséquent, les ménages pauvres sont le plus affectés par ce retard des intrants comme les kits scolaires.
En outre, la faiblesse de gouvernance se ressent dans la gestion des ressources humaines et financières au sein du Ministère de l’Education. Multiples sont les problèmes rencontrés au niveau de la gouvernance tels que les difficultés des enseignants d’obtenir leur titularisation, le retard de leur paiement de salaire est fréquent.

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Table des matières

I-1 Revue de littérature 
I-1.1 Définition du capital humain
I-1.2 Les aspects théoriques du capital humain
I-1.2.1 Le capital humain dans la littérature économique traditionnelle
I-1.2.2 Le capital humain dans la littérature récente
I-1.2.2.1Le concept du capital humain selonT.Schultz
I-1.2.2.2 Le concept du capital humain selon Gary Becker
I-1.2.3 La théorie de la croissance endogène
I-1.2.3.1 Le modèle de Romer
I-1.2.3.2 Le modèle de Lucas
I-1.3 Les limites de la théorie du capital humain
I-1.3.1 Les limites de la théorie du capital humain : théorie du filtre et du signal
I-1.3.2 Les limites de la croissance endogène
I-1.4 Concepts de la croissance et du développement économique
I-1.4.1 Définition de la croissance économique
I-1.4.2 Définition du développement économique
I-1.4.3 La relation entre le développement et le capital humain
II Analyse empirique de la théorie de capital humain
II-1 Les facteurs de blocage de l’investissement du capital humain à Madagascar
II-1.1 Au niveau de la santé
II-1.2 Au niveau de l’éducation
II-1.2.1 La difficulté de maintenir les élèves à l’école
II-1.2.2 La précarité de la qualité de l’enseignement fondamental
II-1.2.3 L’inadaptation de l’enseignement post-primaire aux besoins du marché du travail
II-1.2.4 La mauvaise gouvernance dans le système éducatif
II-.1.3 L’enseignement supérieur
II-1.4 Le problème de migration
II-1.5 Les autres problèmes
II-2 La contribution du capital humain dans le développement
II-2.1 Le capital humain dans la stratégie de développement
II-2.1.1 Le système de santé
II-2.1.2 L’éducation
II-2.1.3 La situation du marhé de travail et le revenu à Madagascar
II-2.2 La justification de la théorie de capital humain sur le cas de Madagascar
II-2.2 La justification de la théorie de capital humain sur le cas de Madagascar
II-2.2.1 Analyse de théorie de G.Becker sur le capitak humain dans le cas de Madagascar
II-2.2.2 Analyse dethéorie de Romer sur le capital humain dans le cas de Madagascar
II-3 Analyse comparative de la situation de Madagascar et la Corée du Sud
II-3-1Comparaison de la croissance économique :la Corée Sud et Madagascar comparative
II-3-2La comparaison entre le taux d’éducation des deux pays
II-3-3Les stratégies de développement des deux pays
II-4 Corrélation entre l’indice de développement humain et le taux de scolarisation
II-4.1 Cadre général
II-4.2Illustration de corrélation de l’IDH et le taux de scolarisation
II-5 Quelques recommandations
II-5.1 En matière d’éducation
II-5.1.1 L’amélioration de la qualité
II-5.1.2 L’articulation de l’enseignement post—fondamental et le marché de travail
II-5.1.3 L’établissement de bonne gouvernance
II-5.2 En matière de santé
II-5.3 La stabilité macroéconnomique
II-5-4 Le financement efficace du capital humain
II-5-5 Investissement en capital physique
II-5-6 Le rôle de l’Etat
II-5-7 Le Recherche-Développement
Conclusion
Références bibliographiques

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