Comment les sages-femmes s’approprient-elles les empreintes émotionnelles de la vie prénatale et de la naissance ?

Définition et rôle des empreintes émotionnelles

   Selon le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL), l’empreinte correspond à « Au fig. [Le compl. désigne une réalité non concr.] Marque propre à quelque chose. Empreinte de la douleur, du mal; empreinte d’une civilisation. ». L’émotion est qualifiée de : « Conduite réactive, réflexe, involontaire vécue simultanément au niveau du corps d’une manière plus ou moins violente et affectivement sur le mode du plaisir ou de la douleur. ». Le CNRTL ajoute également : « [La cause de l’émotion est extérieure au sujet] Bouleversement, secousse, saisissement qui rompent la tranquillité, se manifestent par des modifications physiologiques violentes, parfois explosives ou paralysantes. » (5) Les empreintes émotionnelles témoignent que le nouveau-né, le fœtus et même l’embryon in-utéro, dès la conception, ressent des émotions.1 Ces dernières peuvent provenir de différentes sources :
– Par le biais des émotions des parents, de la famille ou de l’entourage.
– Par ce qui est transmis par la généalogie (c’est-à-dire par la liste de nos ancêtres établissant notre filiation).
– Mais aussi, des propres émotions (notamment dans les cas où il existe une perte d’un des jumeaux).
Le bébé mémorise ces émotions et s’en tient responsable car selon son mode de vie, s’il ressent des émotions, cela ne peut être que de sa faute. Par son manque de repères extérieurs et de sens critique, il va l’intégrer de cette façon. Il est important de noter que ce mécanisme de mémorisation se met en place de façon inconsciente. Le fait de se sentir responsable des émotions qu’il perçoit va l’amener à avoir, ultérieurement, des comportements dit « instinctifs », basés sur les croyances qu’il a crée. En fonction des ressentis (plutôt positif ou « négatif »), les conséquences seront différentes pour la vie future de l’individu. Incontestablement, les émotions perçues ou transmisses peuvent être variées : joie, bonheur, surprise, tristesse, échec, deuil, désaccord etc. Ainsi, les attitudes qui en découlent peuvent être plutôt :
– Favorables si les émotions transmises étaient positives (amour, joie, bonheur etc)
– Limitantes dans le cas où les émotions étaient plutôt négatives (danger, deuil, tristesse, déception, angoisse etc).
On comprend donc que les conséquences peuvent diverger : parfois à l’origine des plus grandes forces, parfois à l’origine de mal-êtres. L’identité et la personnalité de la personne seront en partie établies par ces émotions. C’est la base du fonctionnement de tout être car elles guident les choix futurs et orientent la vie de l’individu concerné. On parle alors d’empreintes des émotions. C’est ce que Claude Imbert, dans son ouvrage L’avenir se joue avant la naissance, écrivait : « Ces neufs mois de gestation sont les fondements de la personnalité future. Ils se trouveront réactivés ensuite par l’évènement essentiel représenté par l’arrivée au monde et parfois des empreintes émotionnelles spécifiques des 1ères semaines de la vie. » (6, p 26) 2 Effectivement, dans la vie adulte, les croyances qu’il aura acquis (in-utéro, à la naissance, dans l’enfance) vont se réactiver en fonction des situations dans lesquelles il se trouve, sans qu’il le sache puisqu’elles sont inconscientes. Les comportements dit instinctifs se répètent tant que l’individu n’aura pas pris conscience des ces empreintes. C’est ce que témoignait Anne Ancelin Schûtzenberger, dans Aïe, mes aïeux ! : « Nous sommes finalement, d’une certaine façon, moins libres que nous le croyons. Pourtant, nous pouvons reconquérir notre liberté et sortir de la répétition, en comprenant ce qui se passe, en saisissant ces fils dans leur contexte et dans leur complexité. Nous pouvons enfin vivre ainsi « notre » vie, et non celle de nos parents ou grands-parents, ou d’un frère décédé, par exemple, et que nous « remplaçons », à notre su ou insu… » (7, p 124) Nous parlerons essentiellement des empreintes limitantes car elles sont à la base de croyances erronées et de comportements qui les reflètent. Dans son ouvrage intitulé Vivre et transmettre le meilleur pendant sa grossesse, Sophie Metthey (formée en intégration mémorielle) explique l’importance que peuvent avoir les empreintes : « Lorsque plus tard, je suis devenue thérapeute, l’importance de la vie intra-utérine et de la naissance a été une découverte marquante pour moi. Lors d’une séance d’hypnose, je demandais à l’inconscient de la personne d’aller à la source de son problème, j’étais étonnée du nombre de fois ou la personne retournait spontanément dans le ventre de sa mère. » (8, p 7) Ainsi, nous pourrons exposer la méthode proposée par Claude Imbert puis Lucienne Bouttier, pour pallier à cela. Le but du travail de « libération » est d’arrêter les effets que ces croyances engendrent dans le quotidien (dévalorisation, échec, problèmes relationnels, culpabilité, et parfois même des maladies). En effet, conscientiser ces notions (parfois avec l’aide d’un thérapeute) peut permettre d’arrêter cette répétition, comme s’il y avait une « déprogrammation » de ces croyances, une fois qu’elles sont exprimées, comprises et travaillées en conscience.

Comment s’en libérer ?

   Tout d’abord, il est conseillé d’effectuer un travail de recherche sur son histoire familiale, essentiellement celle des parents et des grands-parents. Ce travail n’est pas toujours facile, notamment quand les membres de la famille ne sont plus présents ou lorsque certains éléments sont occultés, minimisés ou enjolivés. La mission de cette étude est d’obtenir des informations pour identifier nos empreintes émotionnelles en lien avec la généalogie. On recherche des situations particulières (par exemple : grossesse hors mariage, fausses couches, décès etc). Il faut apprendre à connaître et à comprendre les émotions que les parents ou les grands-parents ont ressenti (que ce soit lors de la perte d’un de leur enfant par exemple, ou en ce qui concerne leurs propres empreintes émotionnelles prénatales, de leurs naissances ou de leurs enfances). Car les ancêtres transmettent à la fois les empreintes qu’ils ont reçues inconsciemment, mais également de nouvelles par leurs événements de vie. En imaginant, les situations qu’ils ont vécu à leur époque, on peut comprendre leurs craintes, leurs moments de tristesse etc. Il faut tenir compte des différences entre les générations, notamment concernant les façons de penser ou de vivre car les enjeux peuvent différer d’une génération à l’autre. Dans notre quête de compréhension des ancêtres, le but n’est pas d’émettre de jugement sur ce qui a été vécu, car de nombreux éléments peuvent entrer en cause. Cependant, une fois leur histoire intégrée, il est alors plus aisé de comprendre que cela a été transmis à leur insu et qu’ils n’en avaient pas forcément conscience. Une fois que nous connaissons les empreintes présentes pour notre famille et pour nous-même, le travail va consister à transformer les empreintes limitantes car mise en conscience. Leur répétition pourra alors prendre fin. La personne sera aux commandes de sa vie, sans être manipulée par ces empreintes limitantes. Cela permet une libération des « conséquences » de ces empreintes, pour l’individu mais également pour les générations futures (transmission généalogique). Selon Claude Imbert, ce travail peut s’effectuer grâce à la sophro-analyse. Elle allie psychothérapie et sophrologie. Son intérêt est de faire appel à la mémoire émotionnelle. C’est dans celle-ci que sont inscrits tous les ressentis vécus et perçus. La personne se laisse guider par ses ressentis, dans un état de relaxation. C. Imbert explique, dans l’Avenir se joue avant a naissance : « Toujours après l’induction d’un niveau de relaxation rapide, je propose de s’ancrer dans la conscience fœtale en s’imaginant dans le corps du bébé juste avant le moment de son arrivée au monde. C’est ainsi que le « regard » porté alors sur la vie, les autres et soi-même, peut être retrouvé. » (6, p 246) Ce travail est très fréquemment réalisé avec des thérapeutes formés à ce domaine, qui pourront accompagner la personne. Il ne convient pas seulement d’amener les éléments à la conscience, le thérapeute doit aider l’individu à y apporter un sens, une compréhension. Il doit être correctement réalisé comme les souvenirs enfouis peuvent être pénibles. Effectivement, les mécanismes puissants de refoulement permettent de les placer dans l’inconscient pour éviter qu’ils soient douloureux. Plus les informations sont nombreuses, plus l’inconscient se sécurise et plus la mémoire et les éléments douloureux se restituent. Et donc plus grande est la part de la conscience qui peut les traiter, leur donner du sens. Pour les femmes attendant un enfant, Claude Imbert explique l’importance de la communication avec l’enfant à naitre car cela permet déjà d’éviter ou au moins d’apaiser certaines empreintes. « Ils ont besoin que vous leur parliez ! Que vous leur expliquiez la vie et votre vie, le monde et votre monde. Exprimez-le avec des mots car ils perçoivent les vibrations dès leurs premiers instants. (…) Dans ces cas où vous ne leur expliquez pas ce qui se passe, ils risquent de « tirer des conclusions » hâtives et là encore erronées. » (6, p 275) Afin d’illustrer ces propos, il paraît judicieux de citer plusieurs empreintes émotionnelles caractéristiques de la vie prénatale et de la naissance. Le sujet étant vaste, et voulant faire un lien avec la profession de sage-femme, c’est un choix de ne pas parler, ici, des empreintes émotionnelles de la petite enfance.

Grossesse non consciemment désirée (13)

  On parle de grossesse non consciemment désirée ou « accident » quand elle n’était pas programmée, pas désirée à une période donnée, ou qu’il n’existait pas de désir conscient de grossesse. L’émotion ressentie à la découverte de la grossesse est la « première » émotion ressentie par l’embryon (cela ne s’applique pas dans les cas où la grossesse est découverte tardivement). Elle peut être positive ou plus difficile. S’y ajoute celle exprimée par le père, qui se transmet indirectement, par le biais du ressenti de la mère. Lorsqu’une grossesse est dite « accident », il existe un conflit entre une partie inconsciente qui désire la grossesse et une partie consciente qui ne la désire pas. C’est-à-dire un conflit conscient-inconscient. On peut parler d’acte consciemment manqué et inconsciemment réussi. Dans le cas où une personne est le fruit d’une grossesse dite « accident », elle peut avoir la sensation qu’elle ne devrait pas être là, qu’elle n’est pas voulue ou aimé avec des sentiments de dévalorisation et une culpabilité « de s’être imposé ». Ces sentiments apparaissent indépendamment du fait que le non-désir a été de courte durée ou a persisté. Cependant, il est important de noter que la durée d’exposition prolongée aux émotions renforce les empreintes qui en découlent. Paradoxalement, le point de vue de la maman est souvent différent car pour elle cette situation est indépendante de l’amour qu’elle porte à son enfant. Ce n’est pas l’individu en tant que personne qui n’est pas désiré, mais bien souvent le fait d’avoir un enfant en général, le contexte de vie à ce moment-là etc. Les raisons pouvant être diverses. Un travail peut être réalisé pour connaitre dans quel état émotionnel était la mère au moment de la découverte de sa grossesse. Le but est d’analyser le contexte dans lequel elle vivait, que ce soit sur le plan relationnel (en couple, célibataire, mariée…), professionnel (emploi stable, chômage, étudiante…), environnemental (conditions particulières de guerres, de catastrophes naturelles etc), par rapport à son âge ou son état de santé, ainsi qu’au déroulement de ses possibles précédentes grossesses. Il faut également prendre en compte les réactions du père et celles de la famille ou l’entourage. Ensuite, la situation est différente selon le passage ou non à l’acte. Effectivement, dans certains cas, il peut exister une pensée d’interruption de grossesse sans en faire la démarche. Mais parfois la future maman cherche à interrompre la grossesse, que ce soit de manière consciente ou non. Cela peut se traduire par exemple par des activités physiques intenses ou des sports à risque, par la prise de médicaments etc (en fonction des générations). Et parfois, consciemment, il existe une tentative ou réalisation d’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse). Il est important pour la personne issue de ce genre de situation, de comprendre ce qui a amené ses parents à cette situation, notamment en fonction du contexte. On ne parlera pas de nécessité de pardon, plutôt de compréhension du contexte, des enjeux pour apaiser cette empreinte. L’individu doit comprendre qu’il existait deux parties en désaccord chez ses parents. Il peut se rallier à la partie inconsciente (désirant la grossesse) qui a permis qu’il vienne au monde. Cette partie prédominait sur la partie consciente puisqu’il est né. Paradoxalement, dans les cas de stérilité non organique, il existe également un conflit conscient-inconscient. La partie consciente désire la grossesse mais celle-ci ne se produit pas. C’est alors la partie inconsciente, ici, qui est la plus importante. Dans cette situation, il faut repérer ce qui empêche la grossesse, ce qui peut être jugé dangereux par la patiente d’avoir un enfant.

La notion de responsabilité et de culpabilité

   En lisant les propos que ce sujet expose sur l’impact possible des émotions, des sentiments de culpabilité peuvent apparaître pour les parents ou futurs parents. Pourtant, là n’est pas son but… Tout d’abord parce que les recherches sur ces transmissions sont toujours en cours, même si les compétences du fœtus sont aujourd’hui reconnues. Aussi, ce travail qu’il est possible d’établir est réalisable à n’importe quel âge : tout n’est pas donc figé. Et quand bien même il existerait une situation difficile, le fait d’exprimer à son bébé ou futur bébé ce qu’il se passe, amoindrirait les effets. Ce n’est pas parce qu’on ressentirait des choses plus négatives qu’on ne pourrait rien faire pour apaiser cela. Les bébés ont avant tout besoin de sécurité affective. Mia Kalef, ayant fondé un Institut de recherche sur la période primale, témoigne : « Tous les êtres vivants sont imprégnés. Tous les êtres vivants savent faire disparaître les empreintes. La dernière partie du livre insiste sur le fait qu’il n’est jamais trop tard pour corriger une empreinte. », dans La vie secrète des bébés

Sages-femmes ayant bénéficiés d’une formation (SF 1, SF 5 et SF 8)

  Dans notre échantillon de sages-femmes libérales, trois ont effectuées une formation sur le sujet. Elles parlent des émotions qui peuvent se transmettre au bébé, pendant la grossesse et au moment de sa naissance et ce qu’elles peuvent entrainer. Ces sagesfemmes sont convaincues par ce sujet.
• SF 1 : « C’est les émotions des mamans, pendant la grossesse et jusqu’au 9 mois après du bébé, qui sont transmisses au bébé un peu en copier-coller. Et que le bébé déprogramme quand on lui raconte, quand on arrive à expliquer et à mettre du sens : il déprogramme. »
• SF 8 : « Les empreintes émotionnelles pour moi c’est le bagage des cellules de tout individu, un bagage qui serait ancré en soi avec des empreintes, et qui forgerait ou qui perturberait toutes les personnes qui seraient en difficulté pour moi. » Parmi ces trois sages-femmes, une ne l’utilise pas (SF 8) : « Parce que je pense qu’il faut faire un travail sur soi, et pour moi, il n’est pas encore fini. Je me questionne encore beaucoup, je ne peux pas me lancer dans les entretiens sur les empreintes émotionnelles si je ne suis pas au point sur mon histoire. ». Pour le moment, elle explique : « Je ressens (…) quand je suis en présence d’une femme qui relèverait d’un entretien sur les empreintes émotionnelles euh je les oriente vers ma consoeur. »

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE
I. TRANSGENERATIONNEL ET PSYCHOGENEALOGIE (1, 2, 3, 4)
II. LES EMPREINTES EMOTIONNELLES (5 A 16)
A) Définition et rôle des empreintes émotionnelles
B) Mise en place
D) Comment s’en libérer ?
E) Exemples concernant les empreintes émotionnelles de la vie prénatale
1. Grossesse non consciemment désirée (13)
2. Préférence pour le sexe opposée
3. Fausses couches / Avortements spontanés précoces (14)
4. Perte gémellaire (16)
F) Exemples concernant les empreintes émotionnelles de la naissance
1. Naissance par césarienne
2. Naissance prématurée avec, ou non, séparation mère-enfant
3. Naissance par forceps ou ventouse
III. ETAT PSYCHOLOGIQUE DE LA FEMME ENCEINTE LORS DE LA GROSSESSE ET DE L’ACCOUCHEMENT (17 A 20)
A) Les émotions
B) La transparence psychique
C) La notion de responsabilité et de culpabilité
IV. LA PROFESSION DE SAGE-FEMME EN LIEN AVEC LE THEME (21)
A) Les situations types de la profession
B) Les compétences transversales
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION DE L’ETUDE
I. PRESENTATION DE L’ETUDE
A) Objectifs de l’étude
B) Problématique et hypothèses
C) Méthodologie de recherche
1. Outils de recherches
2. Population étudiée
3. Déroulement des entretiens
II. LES RESULTATS
A) Présentation de la population
1. Années d’expérience depuis l’obtention du diplôme
2. Durée d’exercice en cabinet libéral
3. Motivations à exercer la profession en libéral
4. Activités pratiquées au sein du cabinet
5. Nombre d’activités exercées par sages-femmes
6. Préparation à la naissance et à la parentalité (PNP)
7. Formations effectuées
B) Connaissance du sujet d’étude
C) Origine des connaissances
D) Ce que les empreintes émotionnelles de la vie prénatale et de la naissance leurs évoquent
1. Sages-femmes ayant bénéficiés d’une formation (SF 1, SF 5 et SF 8)
2. Sages-femmes non formées
2.1 Concernant le premier groupe
2.2 Concernant le second groupe
E) Importance ou non de l’abord en périnatalité
F) Avec qui l’utiliser ?
G) Quand l’utiliser ?
H) Comment l’utiliser ?
I) Réactions et changements observés concernant les couples et leurs enfants
J) Changements personnel et professionnel pour la sage-femme
K) Informations destinées aux professionnels et étudiants
L) Exemples de cas
TROISIEME PARTIE : ANALYSE ET DISCUSSION DES RESULTATS
I. POINTS FAIBLES – POINTS FORTS – BIAIS
A) Points faibles
B) Points forts
C) Biais
II. ANALYSE ET DISCUSSION
A) 1ère hypothèse
B) 2ème hypothèse
C) 3ème hypothèse
1. Par rapport aux professionnels
2. Par rapport à la patientèle
3. Par soucis logistique
D) 4ème hypothèse
1. Application en pratique
3. Changements observés
III. PROPOSITIONS ET OUVERTURE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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