Comment est envisagée l’agriculture intra-urbaine dans la planification urbaine d’aujourd’hui ?

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La cité-jardin de E. Howard

Howard fut le premier à se lancer dans la conception d’une ville idéale avec sa cité-jardin qui ne remet pas seulement la nature au cœur de la ville mais évoque aussi toute son organisation spatiale, sociale et politique. En effet, « la théorie des cités-jardins marque la fin d’un siècle où la dénonciation de la grande ville est allée croissante » (JS. Calvin, 2007). La grande ville est la ville qui ne cesse de grandir là où la cité-jardin propose un modèle où la ville a une taille limitée. C’est ainsi un modèle de développement urbain alternatif qui veut apporter une réponse au problème de l’habitat à l’ère industrielle2.
Mais il ne découle pas seulement d’une critique de la ville : cette critique est aussi accompagnée d’une critique de la campagne. La campagne a de beaux environnements (forêts, champs, pâturages…) mais on s’y ennuie tandis que la ville a des qualités et des avantages pour les citoyens (lieux culturels et de loisirs, services, commerces…) mais aussi des travers (pollution, bruit…) avec des impacts sur l’emploi et les relations sociales par exemple. L’idée d’Howard est de réunir les qualités de la ville et de la campagne. Il apparaît donc le modèle de ville-campagne, ou sous son appellation howardienne de cité-jardin : un modèle complet avec des champs et des parcs, des loyers très bas, des salaires élevés, des impôts modérés… Pour un maximum de trente mille habitants (Howard, 1902).
Dans ce modèle, la ville n’a pas de forme propre, mais est entourée d’une ceinture verte dans laquelle les cultures se placent, la rendant auto-suffisante. Les fonctions qui se trouvent au cœur de la ville doivent permettre d’atteindre une auto-suffisance commerciale et industrielle. Celle-ci ne peut être atteinte sans une maitrise démographique et un équilibre social. Les limitations spatiales et démographiques de la ville de Howard s’inscrivent aussi dans une vision de ville compacte, suivant un « groupement urbain cohérent, rigoureusement limité » (L. Mumford, 1969 dans JS. Calvin, 2007). Cette ville se réclame donc du courant culturaliste poursuivi entre 1880 et 1940 par des idées telles que celles de la cité-jardin. Il y est constaté en plus d’une limite spatiale de la ville une séparation entre l’urbain et la campagne avec une ceinture verte et une ville densément peuplée avec finalement peu d’habitants.

La Broadacre city de F.L. Wright

Frank Lloyd Wright poursuit d’une certaine manière cette pensée d’une ville qui a « émigré vers la campagne » avec son idée de Broadacre City dans les années 1930, idée qu’il poursuivra jusqu’à sa mort. « Il veut remédier aux maux de la concentration urbaine capitaliste […] retourner aux sources de la société américaine et faire triompher l’individualisme et la démocratie » (C. Massu, 1981). Au contraire de la cité-jardin de Howard, centralisée, compacte et séparant la ville de la campagne, le Broadacre city de Wright tient du principe de la décentralisation. « La décentralisation atteint le point où la distinction entre rural et urbain n’existe plus ». Il n’existe plus de véritable ville, le centre de la vie et de l’économie est la ferme. La grande ville est pour Wright « comme une aberration monstrueuse née de la cupidité et destructrice à la fois de l’efficacité de la production et des valeurs humaines » (R. Fishman, 1977). Ce modèle s’inscrit donc dans le courant de pensée anti-urbain né aux Etats-Unis pour lequel il est une véritable application, ou aussi ce qui tient du courant naturaliste (1910-1950).
Dans les faits, ce modèle se compose d’une déconcentration extrême du tissu urbain pour qu’il n’existe plus aucune distinction entre la ville et la campagne ; l’idée est d’occuper à terme tout l’espace américain, de la côte Atlantique au Pacifique suivant une notion de gaspillage de l’espace. La mobilité se fait par voiture et par hélicoptère dont chaque habitant est doté pour une autonomie dans les déplacements effectués. L’architecture est standardisée et l’économie agraire avec pour chaque famille une acre de terrain permettant de répondre à ses besoins (C. Massu, 1981).

Les utopies urbaines contemporaines

D’autres courants de pensées ont vu le jour, s’inspirant directement de ces utopies du XXème siècle. Parfois, ces utopies modernes tiennent de l’hybridation de plusieurs utopies que nous avons pu voir. Françoise Choay recense deux de ces utopies qui tentent de perfectionner les courants de pensée que nous avons vu précédemment. La technotopia (1955-1965) veut répondre aux problématiques de la ville et notamment à la concentration des populations par le progrès technique. Dans les faits, il s’agit de libérer les terres par l’exploitation des sous-sols, de l’air et de la mer avec une existence humaine sur sols artificiels et en milieu climatisé. L’anthropolis (1910-1965) quant à elle replace l’homme au centre de la construction de la ville. Cette utopie se détache du progressisme. L’aménagement doit être anticipé d’une étude du territoire permettant de tenir compte de tous ses aspects (économie, démographie, histoire…) dans les projets urbanistiques. Dans la lignée du courant culturaliste, l’anthropolis est moins conservateur et considère qu’il ne faut pas préserver le passé mais le transformer sans rupture avec celui-ci.
D’autres utopies suivront celles précédemment décrites à la fin du XXème siècle, prolongeant ainsi le travail de Françoise Choay. C’est le cas du mégastructuralisme qui « correspond aux formes dominantes de l’utopie urbaine des années 1960 » (Rouillard, 2006 dans A. Ganjavie, 2010). De nombreux penseurs la développeront comme Yona Friedman, Paul Maymont ou encore les métabolistes japonais, avec pour objectif de réconcilier le besoin des collectivités avec la nature. C’est aussi avoir un tissu urbain continu pour retrouver une unité sociale perdue de la communauté et de répondre aux demandes nouvelles d’une société informationnelle en cours de construction. Technotopia s’inscrit dans cette utopie, en plaçant les technologies au cœur du développement de la ville moderne. Les propositions spatiales pour cette idée ont été surprenantes : villes construites hors-sol, villes construites à partir d’éléments modulaires tridimensionnels, plateformes en béton sur la mer… (Rouillard, 2006 dans A. Ganjavie, 2010). Dans cette idée, il y aura la Computer city qui en 1964 « place l’individu au centre de la conception et s’appuie sur les nouvelles technologies pour repousser les limites de la créativité urbanistique » (A. Ghenassia, 2010).

De l’utopie de ville à la planification urbaine

Comme énoncé dans un chapitre précédent, les différentes utopies de la ville du XIXème siècle ont fortement influencé le développement de celles-ci. Il s’agit via ces nombreux courants de pensée d’un « pré-urbanisme » qui rassemble des textes, des idées, des réalisations préfigurant de ce que va être l’urbanisme.
De fait, bien qu’il y ait eu des mouvements de planification urbaine tout au long de la construction des villes, le terme d’urbanisme n’apparait au sens formel qu’au début du XXème siècle. La genèse de ce terme serait la Theoria general de la urbanizaciòn de 1867. « Vers la fin du XIXème siècle, l’expansion de la société industrielle donne naissance à une discipline qui se distingue des arts urbains antérieurs par son caractère réflexif et critique et par sa prétention scientifique » (F. Choay dans P. Merlin, 2009). L’urbanisme deviendra alors une discipline à part entière étudiée et enseignée comme avec l’Institut d’Urbanisme de l’université de Paris (1924).
Sur ce plan de la ville de Barcelone imaginé par Ildefonso Cerdà, il apparaît déjà une organisation spatiale de la ville avec une centralité et des axes de circulation uniformes et hiérarchisés. Ce plan a été réalisé entre 1841 et 1859, longtemps avant que le terme d’urbanisme ne soit correctement défini.
L’urbanisme est donc « l’art d’aménager et d’organiser les agglomérations humaines […] de telle sorte que les fonctions et les relations entre les hommes s’exercent de la façon la plus commode, la plus économique et la plus harmonieuse » (Le Grand Larousse du XXème siècle (1927-1933)). Cette définition sera revue de nombreuses fois suivant les personnes qui considèrent l’urbanisme comme une science, une technique, une pratique ou encore un art. Pierre Merlin revient sur le fait que l’urbanisme est « un acte volontaire qui vise à créer une situation ordonnée, jugée à ce titre préférable à une situation résultant du jeu spontané des acteurs ». La planification urbaine apparait, elle, de façon formelle en 1909 dans l’ouvrage de Raymond Unwin, Town Planning in practice. Le ‘’plan’’ dans la planification urbaine « implique non seulement une limite, mais un agencement, en particulier un dispositif de voies et d’espaces ouverts qui commande, plus ou moins directement, la répartition entre le bâti et le non bâti, le public et le privé » (M. Roncayolo, 1990). Elle fait donc partie intégrante de l’urbanisme en ordonnant le territoire. Enfin, comme toute discipline, des règles s’appliquent à l’urbanisme, « afin d’assurer, dans l’intérêt général, un certain ordre dans l’occupation de l’espace urbain » (P. Merlin, idem) : c’est ce qu’on appelle le droit de l’urbanisme, fixant les règles d’utilisation des sols et de construction.
Par cette urbanisation, la ville devient un outil servant à la modélisation des différentes sociétés humaines (F. Ascher, 1995). « Elle serait alors le dispositif topographique et social qui donne la meilleure efficacité à la rencontre et à l’échange entre les hommes » (M. Roncayolo, idem). On passe d’une croissance spontanée de la ville pendant le pré-urbanisme du XIXème siècle à une croissance pensée et planifiée à partir du XXème siècle.

La ville : un lien entre forme et société

Il y a en effet un véritable lien entre la forme d’une ville et l’organisation sociétale qui s’y retrouve comme le souligne Marcel Roncayolo sur le mouvement urbanistique : « Les urbanistes contemporains ont prétendu fonder sur la disposition des objets urbains l’ordre social et aspiré, à partir de leur pratique, à transformer ou à modeler la société ? Même si le couple cité-ville est fortement marqué par l’héritage d’une civilisation, il souligne l’interférence entre les deux domaines de l’analyse, société et forme spatiale. »
Suite à la naissance de cette discipline se voulant organisatrice de la ville, les formes de celles-ci ont beaucoup évolués suivant des modèles précis, notamment sur la période d’après-guerre dans les années 1950-1960. Il est constaté sur cette période une approche plus progressiste et fonctionnaliste du modèle de ville : on met en avant la vision d’une ville densifiée avec l’apparition de grands ensembles favorisant cette densification en périphérie du centre historique traditionnellement dense.
Mais en parallèle à ce modèle, un autre va se développer aux Etats-Unis et finira par influencer la ville européenne : c’est un modèle reposant sur la consommation d’espaces et sur l’utilisation de l’automobile comme moyen principal de déplacement. Melvin Webber nous dit alors qu’il y a par ce modèle « une dissolution des villes par la formation de vastes conurbations ». De nouvelles formes de villes apparaissent remettant en cause ce qu’ils appellent outre-Atlantique les ‘’downtowns’’ : ce sont les ‘’edge-cities’’, les ‘’outer-cities’’, les ‘’exurbs’’ qui sont différentes formes de ‘’suburbias’’ ou périphéries urbaines. Dans cette planification urbaine, de nouveaux centres se forment en périphérie de la ville, mais ceux-ci n’éliminent pas pour autant le rôle historique du centre-ville, du fait des activités différentes qui s’y développent (zones de logements accompagnées de zones d’emplois, des services et des infrastructures…) et restent dépendantes de ce dernier (F. Ascher, 1995).
Il y a donc une ‘’adaptation’’ de ce modèle de suburbanisation américaine dans les années 1970 en Europe. Les villes ont alors une croissance périphérique avec le développement de la maison individuelle dans les communes proches des villes. Ces communes se retrouvent agglomérées à une ville-centre. (F. Ascher, 1995).
Au niveau de la forme urbaine, ces métropoles s’élargissent en s’étendant sur la périphérie, avec une densité qui diminue, même si les hyper-centres continuent de se densifier. Les fonctions de celles-ci sont distinguées en zones d’activités, zones de logements… qui font que le territoire métropolitain est à la fois « plus dilué et plus compact, plus intégrant et plus discontinu » (F. Ascher, idem). Cette expansion se traduit par la création de maisons individuelles dans les communes environnant la ville, des lotissements qui créent différents quartiers sur ce pourtour métropolitain. Les villes englobent les communes périphériques les plus proches par la création d’un tissu urbain continu entre elles.
Ce dernier schéma illustre bien le développement des villes d’abord autour d’un centre urbain dense et des espaces organisés autour de lui de façon concentrique, puis autour des axes ferroviaires et routiers qui prolongent le tissu urbain vers d’autres communes. La ville ne se développe plus sous une forme de cercle concentrique mais avec des extensions irrégulières. Enfin, les communes rurales sous l’influence urbaine montrent les discontinuités qui existent dans cette organisation spatiale de la ville et de son pourtour.
Ces changements de formes de la ville ont donc un impact sur la société présente dans celles-ci. Il y a d’abord des impacts sur la répartition de la population avec un phénomène d’embourgeoisement des communes-centres et une ‘’périphérisation’’ des catégories sociales employées à des tâches techniques comme peuvent l’être les ouvriers (l’habitat suburbain est ainsi moins valorisé qu’aux Etats-Unis). Les transports collectifs continuent de densifier le centre des villes puisqu’ils sont articulés pour le desservir et l’usage de l’automobile crée des discontinuités à l’échelle métropolitaine puisque permettant de joindre dans un temps restreint deux localités qui ne sont pas proches ni continues sur un même tissu urbain. Il y a aussi un éloignement de l’employé à son lieu de travail avec un nombre d’employés accru ne travaillant pas dans la commune où il loge (56% des employés en 1990). Le changement du mode de déplacements modifie donc la ville de façon spatiale.

Un modèle commun dans la forme spatiale d’une ville ?

Malgré que François Ascher nous dise que chaque métropole française a des spécificités qui lui sont propres, il est possible de faire un portrait type, un idéal-type de métropole en France. Celle-ci aurait un centre principal composé d’une zone historique moyennement dense et de quartiers plus récents avec des commerces, une zone d’affaires et des logements bourgeois. Autour de ce centre se trouve des quartiers péricentraux avec une dominante habitat. La première couronne de banlieue où se sont construit les grands ensembles et les premiers supermarchés de ces villes est une zone dense d’habitat, avec une partie à loyers modérés et une partie embourgeoisée. La deuxième couronne de banlieue allant au-delà des rocades accueille la maison individuelle, de grandes surfaces commerciales et de grands équipements publics puisque du foncier y est disponible. A l’extérieur de ce schéma de villes se trouve des métastases métropolitaines (communes en périphérie d’une ville et agglomérées à celles-ci par un réseau de transport créant une continuité urbaine et des corridors de développement urbain) dans les zones rurales donnant un archipel métropolitain. Sur cette dernière forme de ville, l’archipel métropolitain, l’agriculture s’insère entre différentes discontinuités urbaines, une place qu’elle n’a pas toujours occupée par rapport à la ville.
Ainsi, cette partie fait le lien entre les utopies urbaines amenant différentes conceptions de la ville et la transcription de ces idées dans les formes spatiales de la ville, d’un point de vue urbanistique. En effet, la façon de concevoir la ville s’est formalisée jusqu’à atteindre une véritable réflexion scientifique accompagnée d’une analyse territoriale sur la manière de concevoir la ville. De fait, on distingue différentes formes de la ville, parfois similaires ou différentes entre les villes, mais toujours en lien avec un contexte local et la société qui s’y insère. Mais malgré que la manière de faire la ville soit devenue plus formelle et que l’on peut déterminer un modèle-type de métropole française, il existe toujours des contradictions et des conflits pour un développement optimal de celle-ci. C’est sur l’un de ces conflits que nous allons mener une réflexion.

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Table des matières

Méthodologie pour l’état de l’art
1. Les utopies urbaines pour une ville durable
1.1. Le terme utopie
1.2. Le XIXème siècle ou la naissance du pré-urbanisme
1.3. La cité-jardin de E. Howard
1.4. La Broadacre city de F.L. Wright
1.5. Le Corbusier ou la ville fonctionnelle
1.6. Les utopies urbaines contemporaines
2. Histoire de la forme spatiale des villes
2.1. Des villes s’adaptant à un contexte historique
2.2. De l’utopie de ville à la planification urbaine
2.3. La ville : un lien entre forme et société
2.4. Un modèle commun dans la forme spatiale d’une ville ?
3. Le lien entre ville et agriculture
3.1. Le développement de la ville face à son territoire environnant
3.2. Les impacts de l’évolution de la ville sur l’agriculture
3.3. Au travers de ces impacts, la notion de ville émergente
3.4. La forme spatiale de la ville par rapport à sa campagne
4. Qu’entend-on par « ville durable » ?
4.1. La ville durable en opposition à la charte d’Athènes
4.2. Des mesures pour atteindre ces objectifs de durabilité
5. Le modèle de ville compacte, une solution durable ?
5.1. Une définition de la ville compacte
5.2. Un modèle dynamique
5.3. Les limites du modèle compact
5.4. Une alternative au modèle compact : la « ville archipel »
6. De la ville durable à la nature en ville
6.1. Les formes et places de la nature en ville
6.2. Les différents rôles de la nature en ville
7. Le concept d’agriculture intra-urbaine
7.1. De l’agriculture urbaine à l’agriculture intra-urbaine
7.2. Les différents visages de l’agriculture intra-urbaine
7.3. Des usages aux multiples vertus
7.4. Comment est envisagée l’agriculture intra-urbaine dans la planification urbaine d’aujourd’hui ?
8. Des contradictions dans le développement des villes d’aujourd’hui
Partie 2 Introduction
Hypothèse
1. Précision de l’objet de recherche
2. Protocole de recherche
2.1. Définition de l’échelle d’étude
2.2. Les différents acteurs à rencontrer
2.2.1. L’agglomération de Tours : Tour(s) Plus
2.2.2. La commune de Tours
2.2.3. Agence d’urbanisme de l’agglomération de Tours
2.2.4. Tour(s) Habitat
2.2.5. La Chambre d’Agriculture d’Indre-et-Loire
2.2.6. InPACT37
2.2.7. Les Incroyables Comestibles à Tours
2.2.8. Les associations de jardins partagés
2.3. La grille d’entretien
3. Les entretiens
3.1. Les résumés des entretiens
4.1.1. Entretien avec un membre de la chambre d’agriculture d’Indre-et-Loire
4.1.2. Entretien avec un membre de Tour(s) Plus chargé de l’élaboration du SCoT de l’agglomération tourangelle
4.1.3. Entretien avec un membre de l’Agence d’Urbanisme de l’agglomération de Tours
4.1.4. Entretien avec un membre du service de gestion des Parcs et Jardins de la ville de Tours
4.1.5. Entretien avec la directrice du cabinet du maire de Saint-Pierre-des-Corps
4.1.6. Entretien avec un membre de Tour(s) Habitat
4.1.7. Entretien avec un conseiller municipal de Joué-Lès-Tours délégué au monde rural
4.1.8. Entretien avec un membre de l’association InPact 37
4.2.1. La ville durable, un concept flou
4.2.2. Le développement des villes par la densification
4.2.3. La nécessité de limiter la consommation des sols
4.2.4. La définition de l’agriculture urbaine
4.2.5. Les vertus de l’agriculture pour la ville
4.2.6. L’adaptation de l’agriculture à la ville
4.2.7. L’agriculture est-elle possible en ville ?
4.2.8. Des solutions qui sont tout de même apportées, mais qui sont contrastées
Bibliographie

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