CARACTERISATION DU PEUPLEMENT DE CARAPA PROCERA ET DE DETARIUM SENEGALENSE DANS LE BOULOUF

Discussion des concepts

Caractérisation : Processus analytique aboutissant à une définition puis à une classification des éléments d’un ensemble. Dans le cadre de cette étude, la caractérisation sous-tend l’action particulière d’une espèce d’occuper un territoire.
Ressource : On définit comme ressource les éléments du géosystème nécessaires à la société, accessibles et utilisables en fonction des possibilités socioéconomiques du groupe social. On oppose habituellement les ressources renouvelables ou reproductibles (sols, biomasse, eau) et les ressources non renouvelables (énergie fossile et minerais). Les ressources qui nous concernent ici sont des ressources naturelles végétales nécessaires aux populations. Elles sont accessibles et utilisables pour l’exploitions ou la cueillette et pour l’alimentation et la commercialisation.
Ressource végétale : « Ce sont les éléments des ressources naturelles qui correspondent aux ressources biotiques végétales non cultivées et non domestiquées de même que leurs produits et sous-produits » Pour DIANKA (2009), il y’a des ressources végétales sauvages et des ressources végétales produites. Dans notre étude les ressources végétales sauvages correspondent au Detarium senegalense qui ne fait l’objet d’aucune production. En revanche Carapa procera se retrouve à l’état sauvage, mais fait souvent l’objet d’appropriation produit (planté) dans les maisons ou dans les champs.
Les produits forestiers non ligneux : LEBEL (2003), les produits forestiers non ligneux (PFNL) représentent tous les produits provenant des arbres, en excluant le bois de chauffe ou de construction ainsi que le charbon. Ce sont donc des produits dérivés des arbres sans qu’on ait à abattre l’arbre. LEBEL poursuit avec la définition des produits forestiers non ligneux (PFNL) de la FAO qu’il trouve plus pertinente : Les PFNL sont des produits d’origine biologiques, autres que le bois, dérivés des forêts, d’autres terres boisées et d’arbres hors forêts. Les PFNL peuvent être récoltés dans la nature, ou produits dans des plantations forestières des périmètres d’agroforesterie ou par des arbres hors forêt. Des exemples de PFNL comprennent des produits utilisés comme nourriture et additifs alimentaires (noix comestibles, champignons, fruits, herbes, épices et condiments, plantes aromatiques, viande de gibier), fibres (utilisées dans la construction, les meubles, l’habillement ou les ustensiles), résines, gommes, et produits végétaux et animaux utilisés pour des buts médicinaux, cosmétiques ou culturels (FAO, 2002). LOUBELO (2012) définit les produits forestiers non ligneux en s’appuyant sur celle de la FAO (2003). Cette définition découle de celles de tous les PFNL proposés par la FAO (2003) et qui englobent aussi bien les PFNL alimentaires que non alimentaires. Selon cette définition, les PFNL alimentaires sont « des produits d’origine biologique, autre que le bois, dérivés des forêts, d’autres terres boisées et d’arbres hors forêts et destinées à l’alimentation humaine, l’alimentation animale, à la transformation agroalimentaire et à la commercialisation ». Ils peuvent être récoltés dans la nature, ou produits dans des plantations forestières ou des périmètres d’agroforesterie, ou par des arbres hors forêt. Dans cette étude, les produits forestiers non ligneux représentent l’ensemble des produits d’origine biologique alimentaire et non alimentaire autre que le bois et le charbon de bois dérivés des forêts ou d’arbres hors forêt.
Produit de cueillette : « Ce sont les parties non ligneuses (fruits, feuilles liquides, exsudats) des ressources végétales, à la différence du bois et du charbon de bois. Ce sont des produits non contingentés, à ce titre leur exploitation n’est soumise à aucun quota de prélèvement préétabli par les services compétents de l’état, en l’occurrence la DEFCCS. » Ces produits sont à accès libre pour les populations résidentes. Ils sont cueillis mur, sur l’arbre ou ramassés et sont consommés directement, transformés ou commercialisés. Ces produits sont utilisés de diverses manières (alimentation, commercialisation, transformation, pharmacopée).
Filière : La filière se définit comme les différentes étapes suivies par un produit marchand, par exemple de la cueillette à la commercialisation au niveau des marchés de distribution. L’étude de la filière englobe les différentes étapes que peut subir un produit de la production à la consommation.
Commercialisation : La commercialisation est l’action et l’effet de commercialiser (placer sur le marché un produit ou le pourvoir des conditions et des voies de distribution pour sa vente).Dans cette étude la commercialisation renvoie à la distribution du produit pour le faire parvenir au consommateur final.
Géologie : Le bassin versant de la Casamance représente la partie sud du bassin sédimentaire sénégalomauritanien. Dans cette partie du pays d’après les recherches géophysiques et les forages pétroliers, le socle métamorphique, se situe à 7 000 m en Basse Casamance. Dès le Jurassique, des phases de transgressions marines apportent des dépôts sédimentaires avec alternance de sables, calcaires, marnes et argile. Ainsi, les forages profonds montrent l’enfoncement des structures géologiques au niveau du fleuve Casamance et un redressement au niveau de l’anticlinale gambien qui explique l’absence de l’Oligocène à Baïla ainsi que la disparition de l’Éocène supérieur vers le nord-ouest en Basse Casamance. Une phase tectonique cassante intervient au cours du Miocène en Basse Casamance avec des dépôts de sédiments argilosableux de 50 à 150 m. Les cassures suivies par les cours d’eau donnent le cours du fleuve Casamance et ses bolongs. Dans la région de la Basse Casamance, le Continental Terminal apparait sur le long du littoral MICHEL cité par DACOSTA (1989). Le Continental Terminal vient après la régression qui a suivi le Miocène. Il est constitué de grès argileux bariolés interstratifié de couches d’argiles. Mais les auteurs ne s’accordent pas sur l’origine des sédiments. Cependant VIEILLEFON (1977) lui confère une origine continentale, contrairement à d’autres comme Flicoteaux et al., (1974) qui lui donne une origine marine. À la suite ils ont été modelés en talus il y’a un demi-million année MICHEL (1973) au cours d’une période aride. Le Quaternaire occupe une part essentielle dans l’évolution géologique de l’estuaire de la Casamance particulièrement à l’Holocène moyen et au Nouakchottien selon les travaux de nombres auteurs comme VIEILLEFON (1974), SALL (1983), MARIUS (1984). Le Quaternaire récent est marqué par les changements climatiques et les variations du niveau marin. À partir de 30 000 BP débute une importante régression marine. Le niveau marin va atteindre sa cote minimale : -120 m entre 20 000 et 17 000 BP (maximum glaciaire Würm). Pendant ce temps, le climat devient aride et la majeure partie du Sénégal est envahie par les dunes Ogoliennes entre 18 000 et 15 000 BP. Ainsi, le fleuve Casamance incise profondément son lit. Puis une deuxième phase d’entaille appelée phase de recreusement des vallées intervient à partir de 14 000 ans BP. « Les vallées s’enfoncent en « doigt de gants » à l’intérieur disséquant les plateaux ». Le climat était semi-aride, le couvert végétal limité et le niveau marin encore bas. Ensuite vers 12 000 BP le climat devient plus humide avec une remontée rapide du niveau marin : ce qui va permettre une rubéfaction des sols ferrallitiques et des sables dunaires. À partir de 8 000 BP une nouvelle transgression commence, mais le niveau marin atteint sa cote actuelle vers 7 000 BP. La transgression continue puis le niveau de la mer atteint sa cote maximale de + 2 m à +2,5 m vers 5 500 BP. C’est durant la période comprise entre le Nouakchottien et l’actuel que se sont formées les grandes unités géomorphologiques caractéristiques de l’estuaire de la Basse Casamance. Ainsi vers 5500 BP, au maximum de la transgression, la mer s’infiltre dans les dépressions de la Basse Casamance qui se transforme en golfe largement ouvert sur l’océan Atlantique. Pendant la transgression Nouakchottien, la basse vallée se comble jusqu’à son niveau actuel avec des sédiments marins jusqu’à 4 000 BP. Vers cette période, grâce à la dérive littorale Nord-sud, se sont mis en place des cordons sableux anciens, qui ont fermé le golf de la Casamance progressivement. La sédimentation lagunaire remplace la sédimentation marine à l’arrière des cordons sableux. Vers 3 000 BP le golfe devient une grande lagune avec la progression des cordons littoraux et des épais dépôts de vases où la mangrove peut se développer d’une manière intense Kalck (1978)32. Enfin vers 1 500 BP l’allure du fleuve Casamance se dessine avoisinant la configuration actuelle du fleuve. Les cordons littéraux ferment le golfe engendrant ainsi une réduction des apports marins et entrainant un ralentissement de l’évolution morphologique. La dernière transformation importante du paysage et l’apparition des tannes à l’arrière des mangroves à la faveur d’un climat sec. Les autres unités morphologiques comme les Kjokkenmodding (dépôts artificiels de coquilles), les terrasses les plus récentes, les cordons littoraux, constituent les marques de la phase d’alluvionnement actuel. La dérive littorale Nord-Sud a donné naissance aux plus importants cordons littoraux et flèches sableuses. Toutes ces unités se déplacent vers l’Ouest. Ainsi avec le comblement de la lagune par les vasières à mangrove, l’estuaire obtient sa morphologie actuelle. Les péjorations climatiques actuelles et la tendance à un assèchement progressif de ces zones encore humides ont comme conséquences ;
– La réduction de certaines surfaces d’eau consécutives à la sècheresse actuelle ;
– Le recule de certaines vasières et l’accroissement des tannes particulièrement dans la partie extrême de l’estuaire ;
– L’ébauche de formes dunaires mineures, sur les cordons sableux, à couvert végétal déficient.
Ainsi dans la Commune de Kartiack nous retrouvons deux unités morphologiques qui sont les Vasières Anciennes et les terrasses du Continental Terminal (carte 2). Sur les parties basses de la Commune nous retrouvons les Vasières Anciennes qui longent les côtes des marigots de Baïla et de Diouloulou. Elle occupe la plus grande superficie de la Commune. Ensuite les terrasses du Continental Terminal viennent occuper la partie Sud et centre de la Commune.

Les sols

   En Casamance, on retrouve plusieurs types de sols. Il y’a des sols ferrugineux tropicaux et ferrallitiques sableux ou argilosableux sur les plateaux et terrasses, des sols de versant, des sols hydromorphes et des sols acidifiés ou salés (Tannes)36. Au niveau de la commune de Kartiack, on retrouve trois types de sols : les sols ferrallitiques, les sols peu évolués et les vasières.
– Les sols ferrallitiques : Les sols ferrallitiques se retrouvent sur le Continental Terminal qui est faiblement désaturé et appauvri. Ce sont des sols à caractéristique sesquioxyde. On les retrouve sur les terrasses et les plateaux. Les sables rouges meubles recouvrent 60 % de la superficie de la Commune. Ils sont le domaine approprié pour la culture pluviale (arachide, du mil et du maïs…). Ces types de cultures n’ont pas besoin des zones inondables pour arriver à leur maturité.
– Les sols peu évolués : Ce sont des sols de transition. On retrouve les sables gris-blanc qui recouvrent 25 % de la superficie de la commune. Ces sols sont des sols de bas-fond à caractéristique hydromorphe favorable à l’arboriculture, aux cultures maraichères et à la riziculture d’après BERGER 1980. On les retrouve au niveau des dépressions et sont très riches en matières organiques. Ils accueillent les rizières et sont sur tout le long de la vallée de la commune.
– Les vasières : Ce sont des sols acidifiés qu’on retrouve le long des cours d’eaux. À Kartiack ces sols couvrent une bonne partie de la superficie de la commune. Ceci est dû à la remontée d’eau salée le long des marigots de Diouloulou et de Baïla en saison sèche. Ces sols sont impropres à la culture. Des digues anti-sel ont été construites pour lutter contre la destruction des terres de culture.

Les eaux de surface

   Le réseau hydrographique dans la région de Ziguinchor reste dominé par la présence du fleuve Casamance et ces affluents. Ce dernier prend sa source dans la région de Kolda à la suite d’une rencontre de plusieurs marigots. Le fleuve a une direction Est-Ouest. Il reçoit de nombreux affluents le long de son trajet jusqu’à Diogué dans le Blis-casa où il entre en contact avec l’océan Atlantique. La zone de la Basse Casamance dispose d’un import réseau hydrographique constitué à l’ouest par l’océan atlantique et à l’intérieur par des bolongs, des fleuves, des marigots et des mares. Les principaux affluents du fleuve Casamance sont le Soungrougou, le Marigot de Baïla, de Diouloulou et de Kamobeul. Dans le département de Bignona, le fleuve Casamance reçoit sur sa rive droite, le marigot de Diouloulou51 encore appelé bolong. Le marigot de Diouloulou en confluence avec le marigot de Baïla à hauteur du village de Thiobon, constituent des limites naturelles à la Commune de Kartiack respectivement sur sa partie ouest et sa partie nord (carte 4).

Culture vivrière

   La culture vivrière reste dominée par la riziculture qui occupe la plupart des cultures. La riziculture reste une activité de subsistance même si elle est pratiquée depuis des siècles. Elle occupe la majeure partie de la population. En Basse Casamance, les conditions physiques et climatiques restent favorables à la pratique de l’agriculture et surtout la riziculture. L’organisation des sites (dépressions) et les types de sols (limons provenant des plateaux environnants, argiles) qu’on retrouve dans les zones basses permettent la conservation de l’eau douce bien après la saison des pluies. Cette eau propice à l’agriculture est maintenue dans les zones dépressionnaires pendant une longue durée, mais aussi les barrages artificiels qui se multiplient pour éviter le mélange avec les eaux salées. Ceci est accompagné d’une pluviométrie très importante (1 000 mm/an en moyenne), mais irrégulière. Néanmoins, la majeure partie de la population pratique la culture sous pluie avec les rizières. La riziculture se pratique de manière  les mêmes pratiques depuis des années. Le matériel utilisé pour la culture est le « kadiandou ». Le travail rizicole se fait pendant l’hivernage et dure quatre à cinq mois. Elle occupe la plus grande place en termes de surface cultivée, de production et de rendement. La riziculture se pratique dans les vallées surtout au niveau des bas-fonds, sur le bord des friches, ou parfois dans les zones marécageuses et sur les plateaux de forêt. Les bas-fonds sont les zones propices pour la riziculture « avec des sols (de type hydromorphe) riches qui, du fait de leur texture équilibrée, leur grande profondeur, l’importance de leur capacité de rétention d’eau et leur fertilité naturelle ». En plus, les quantités et la durée de séjour des eaux de ruissellement deviennent plus importantes dans les bas-fonds avec l’installation du système des barrages anti-sel. En milieu Diola, la fertilisation des terres se fait par la pâture du bétail dans les zones de jachère ou après les récoltes et le ramassage de feuille morte par les femmes pour les répandre dans les rizières. Les hommes s’occupent des pépinières et du repiquage avec l’aide des femmes. Le travail rizicole n’est pas l’apanage des hommes seulement, les femmes jouent un grand rôle dans la culture du riz, mais aussi dans l’agriculture. Le riz est une source de richesse et de prestige chez les Diola. Il occupe une place centrale dans la culture et l’économie Diola. L’alimentation Diola repose sur le riz. Les Diola n’achetaient pas de riz. Mais actuellement avec les conditions climatiques combinées à l’irrégularité des précipitations et l’augmentation des zones salées, on assiste à une baisse des rendements agricoles. Cette situation fait que les populations ont recourt à l’achat du riz qui était source de déshonneur. Les populations des différents villages de la Commune sont attachées à la culture du riz (Oryza sativa). Cette activité est pratiquée par 88,6 % à Bassire, 93,3 % à Dianki, 90,6 % à Kartiack et 94,7 % à Thiobon. Cette culture du riz est très souvent accompagnée par la culture de l’arachide (Arachis hypogaea). L’arachide est utilisée pour la consommation et à la commercialisation, alors que le riz est conservé uniquement pour la consommation. Il arrive que certains cultivent le mil (Pennisetum glaucum) ou le maïs (Zea Mays)

Le commerce

   Le commerce reste peu développé. On note l’existence de quelques boutiques dans lesquelles les populations s’approvisionnent en denrée alimentaire. La Commune n’abrite aucun marché permanent ou hebdomadaire malgré qu’il existe 10 marchés permanents qui se trouvent sur l’ensemble du département de Bignona. Cependant, il existe, sur le long de la « boucle du boulouf », de petits marchés informels, constitués de tables et d’étals. Les principaux produits commercialisés dans la Commune sont le charbon de bois mis sur des sacs déposés le long de la route, les produits maraichers, des fruits et des produits de la cueillette. Les produits de l’arboriculture sont le plus souvent achetés par les « bana-banas ». Ces derniers achètent les vergers avant la période des récoltes. Cette activité génère beaucoup de revenus aux propriétaires des vergers. Les produits de cueillette constituent actuellement une bonne source de revenus pour les jeunes, hommes et femmes. Le commerce des produits forestiers est en pleine croissance et dure presque la majeure partie de l’année. Cette activité dépend de la période et des fruits des plantes disponibles. Certains de ces produits sont vendus sur place ou mis dans des paniers ou des sacs pour être acheminés dans les marchés de Bignona ou de Ziguinchor.

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Table des matières

Introduction générale
Chapitre I : Cadre théorique
I – Problématique
I – 1 – Contexte
I – 2 – Justification
I – 3 – Objectif général
II – Revue littéraire
Chapitre II : Cadre conceptuel
I – Discussion des concepts
Chapitre III : Cadre méthodologique
I – Méthodologie de recherche
I – 1 – La recherche documentaire
I – 2 – La collecte des données
I – 2 – 1 – Les enquêtes
I – 2 – 2 – Les inventaires
I – 2 – 2 – 1 – Le matériel d’inventaire
I – 2 – 2 – 2 – Le principe d’inventaire
I – 2 – 3 – Dépouillement des relevés
I – 3 – Le traitement des données
Chapitre IV : Situation géographique et cadre physique
I – Présentation du milieu
II – Cadre physique
II – 1 – Géologie
II – 2 – Le relief
II – 3 – Les sols
II – 4 – Le climat
II – 4 – 1 – Les vents
II – 4 – 1 – 1 – La direction des vents
II – 4 – 1 – 2 – La vitesse des vents
II – 4 – 2 – Insolation
II – 4 – 3 – Les Températures
II – 4 – 4 – Évaporation
II – 4 – 5 – L’humidité
II – 4 – 6 – La pluviométrie
II – 5 – Hydrologie
II – 5 – 1 – Les eaux souterraines
II – 5 – 2 – Les eaux de surface
II – 6 – La végétation
Chapitre V : Cadre humain et activités socio-économiques
I – Cadre humain
I – 1 – Historique de la Commune
I – 2 – Répartition de la population
I – 3 – Population de la Commune
I – 4 – Évolution de la population de la Commune de Kartiack
I – 5 – Religion pratiquée dans la Commune
I – 6 – Les ethnies présentes dans la Commune
II – Les activités socio-économiques
II – 1 – Agriculture
II – 1 – 1 – Culture vivrière
II – 1 – 2 – Culture de rente
II – 1 – 3 – L’arboriculture
II – 1 – 4 – Le maraichage
II – 1 – 5 – L’exploitation forestière
II – 2 – L’élevage
II – 3 – La Pêche
II – 4 – Le transport
II – 5 – Le commerce
Chapitre VI : Caractéristique du peuplement
I – La méthodologie des placettes
II – Généralité sur les espèces Detarium senegalense et Carapa procera
II – 1 – Généralité sur Detarium senegalense
II – 2 – Généralité sur Carapa procera
II – 3 – Aire géographique de Detarium senegalense et Carapa procera en Afrique
II – 4 – Aire géographique des espèces Detarium senegalense et Carapa procera au Sénégal
III – Exploitation des résultats d’inventaire
III – 1 – Richesse et diversité floristique
III – 2 – Structure du peuplement
III – 2 – 1 – Distribution selon la hauteur
III – 2 – 2 – Distribution selon la circonférence
III – 2 – 3 – État de santé des arbres mesurés
III – 2 – 4 – État de forme des individus
III – 2 – 5 – Analyse de la densité
III – 2 – 6 – Abondance des espèces dans la Commune
III – 2 – 7 – La régénération
III – 2 – 8 – Importance spécifique de régénération
III – 3 – Le caractère du peuplement
Chapitre VII : Organisation de la production et les filières de commercialisations
I – Accès aux produits forestiers
II – Usage des produits exploités
III – L’exploitation des espèces Carapa procera et Detarium senegalense
III – 1 – Importance de l’exploitation dans les ménages
III – 2 – Les types de produits exploités
III – 3 – La place de l’exploitation dans le ménage
III – 4 – La plante la mieux exploitée entre Carapa procera et Detarium senegalense
IV Organisation de l’exploitation des produits de Carapa procera et Detarium senegalense
IV – 1 – Les espaces de collecte
IV – 2 – Les acteurs de l’exploitation des espèces Carapa procera et Detarium senegalense
IV – 3 – Les techniques de collecte
IV – 4 – Organisation de l’exploitation des espèces Carapa procera et Detarium senegalense
IV – 5 – Les quantités récoltées par espèces
V Transformation et conservation des produits de Carapa procera et Detarium senegalense
V – 1 – Transformation des produits de Carapa procera et Detarium senegalense
V – 2 – La conservation des produits exploités
V – 3 – La période de collecte des graines de Carapa procera et des fruits de Detarium senegalense
Chapitre VIII : Importance socio-économique de la commercialisation des espèces Carapa procera et Detarium senegalense dans la Commune
I – L’utilisation des produits tirés de Carapa procera et de Detarium senegalense
II – La valorisation
II – 1 – Les acteurs
II – 2 – Les acheteurs
II – 3 – Lieu d’écoulement du produit
II – 4 – Les prix et leur évolution
III – La gestion des produits forestiers dans la Commune de Kartiack
III – 1 – Les causes de la mauvaise qualité des produits forestiers
Conclusion générale et perspectives
Bibliographie

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