But et principe de la descente de charge

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Hypothèse de calcul

Les poteaux sont sollicités à la fois par des efforts normal de compression N donnée par la descente des charges et par un moment fléchissant M calculés par la méthode de la flexion composée.
D’après la descente de charge, on a trouvé que le poteau P2 est le plus chargé.
Notre étude est basée sur la détermination des armatures convenables à ce poteau en considérant ces hypothèses.
Puisque notre bâtiment se trouve dans des locaux couverts et clos et non exposé à la condensation alors on admet que la fissuration est peu préjudiciable, le calcul sera à l’ELU.
Selon Jean PERCHAT et Jean ROUX dans la pratique du BAEL 91 modifié 99, la combinaison à considérer dans le cas de notre bâtiment en phase d’exploitation est la suivante : 1.35 Gmax + 1.5 Q1 + 0.77W.
Avec
Gmax = G : la charge permanente .
Q1 : la surcharge d’exploitation .
On a pris pour le béton une résistance caractéristique à la compression à 28 d’âge (fc28) une valeur de 25 MPa selon le résultat au laboratoire de l’essai de résistance à la compression du béton.
Pour avoir une bonne adhérence du béton, on a choisi les aciers en HA de nuance Fe E 400.

Section et dimension

Un poteau est une poutre droite verticale soumise uniquement à une compression centrée dite compression simple (N 0 et MZ=0).
L’effort de compression peut engendrer une flexion et donner lieu à un phénomène de flambement très dangereux.
Le béton résiste bien à la compression, il serait théoriquement inutile de placer des armatures. Mais les charges transmises au poteau ne sont jamais parfaitement centrées (imperfections d’exécution, moments transmis par les poutres, dissymétrie du chargement).
Alors pour ces raisons, on introduits des armatures longitudinales calculés de façon forfaitaire car les moments sont difficiles à estimer).Le risque de flambement des armatures longitudinales nous permet de placer des armatures transversales (cadres, étriers ou épingles).
Pour qu’un poteau soit justifiable d’un calcul en compression simple il faut que son élancement i l f  Où f l : longueur de flambement qui dépend des liaisons à chacune des extrémités 0 l 0,7l f  car le poteau est encastré à chaque extrémité avec 0 l = 3 m i : rayon de giration avec B I i xx  Ixx : moment quadratique minimal de la section.

Calcul des sollicitations dues aux charges verticales

Nous utiliserons la méthode de cross pour le calcul des sollicitations.
Le calcul des armatures sont effectués suivant les règles BAEL 91 modifié 99.
Ces courbes enveloppes sont obtenues en considérant les différents cas de charge en tenant compte des Etats-Limites possibles, ensuite en calculant les moments en travée et en appuis, qui nous permettant de tracer celle-ci.
Nous utilisons les résultats des courbes enveloppes pour les valeurs des sollicitations.
Nous allons étudies la poutre transversale de la File T du quatrième étage.

Dispositions générales

Les matériaux doivent conformes aux spécifications dans le cahier des prescriptions communes, aux normes du recueil des prescriptions techniques applicable aux travaux de bâtiment à Madagascar, complétées le cas échéant par les prescriptions du REFF des Normes Française et DTU. Avant toute commande des matériaux, le titulaire doit fournir obligatoirement tous renseignements a propos des matériaux et matériels que l’Agent chargé du contrôle jugera nécessaires. Les marques éventuellement stipulées dans le devis descriptif ne sont pas impératives mais sont données à titre de référence de qualité et de garantie .L’acceptation de l’Agent chargé du contrôle quant à la qualité de matériaux livrés aux chantiers ne diminuera en rien la responsabilité du titulaire sur les conséquences néfastes que peuvent causer ces matériaux dans les ouvrages .Il est entendu que l’acceptation d’un échantillon ne signifie pas l’acceptation de l’ensemble des matériaux provenant de la même source.
Si au cours des opérations, la qualité des matériaux devient douteuse et ne correspond pas à celle de l’échantillon qui a été accepté, l’Agent chargé du contrôle peut suspendre l’emploi de ces matériaux et demander l’analyse du nouvel échantillon, et ceux, aux frais du Titulaire .Si le résultat est défavorable, ces matériaux sont refusés et le Titulaire doit s’approvisionner ailleurs. Des essais complémentaires sur la qualité des matériaux peuvent être demandés par l’Agent chargé du contrôle, les frais y afférent sont imputables soit au Titulaire si les résultats confirment les doutes de l’Agent chargé du contrôle, soit à ce dernier dans le cas contraires.

Description des matériaux :

Lieu d’extraction

L’entreprise a le droit au bon choix de la provenance de matériaux qu’on la qualifiera a utiliser pendant la réalisation des travaux mais sous réserve de l’agrément du contrôle ; cet agrément n’atténuant en rien la responsabilité de l’entreprise.

Qualité des terres pour remblais

Elles devront satisfaire aux spécifications en vigueur et ne devront contenir un pourcentage élevé de sable et d’argile, exempts de matières organiques.

Sable pour mortier et bétons

Le sable pour mortier et béton est du sable non micacé doivent être venant de la rivière, propre, exempt de matières organiques ou végétales. Il ne doit pas contenir en poids dépassant 5% des grains fins traversant les tamis de 900 mailles par cm². Il ne doit pas non plus contenir de grains dont la plus grande dimension dépasse les limites ci-après :
Sable pour maçonnerie, enduit et ragrément : 2.5 mm;
Sable pour béton armé : 5 mm;
Sable pour béton non armé : 10 mm.
– sable pour béton ordinaire : 10mm
Pour la composition granulométrique, on admettra une contenance en poids de 20% à 35% de grains ayant toutes leurs dimensions inférieures à demi-millimètre et de 50 à 70% de grains ayant toutes leurs dimensions supérieures à la moitié de la dimension maximum.
L’emploi de sable de concassage et de broyage est formellement interdit.

Gros granulats pour le béton

Ce sont des minéraux qui composent les mortiers et les bétons. Ils peuvent être présentés sous deux catégories : les granulats naturels et les granulats artificiels.
Ceux de la première catégorie proviennent de la désagrégation naturelle des roches sous l’effet de l’eau, du vent, du gel. Ils sont extraits directement des rivières, des gisements, des dunes.
Et ceux de la seconde catégorie, ils sont obtenus par concassage et criblage en carrière et par fabrication de granulats dits légers.
Dans notre cas, les gravillons et pierrailles pour la confection des bétons proviennent de concassage de pierre saine, extraite de carrières proposée par l’entreprise et agrée par le contrôle. Ils sont constitués d’éléments denses, stables et exempts de toute trace de terre ou de débris végétaux. Dans le cas contraire, ils doivent être nettoyés par lavage. La grosseur de gravillon destiné à la confection de béton armé est comprise entre 5 et 25mm.

Eau de gâchage

L’eau de gâchage est fourni par l’entreprise, et doit être conforme aux prescriptions des normes en vigueur (NFP 18-303).
L’eau de gâchage doit être provenant d’une source d’eau propre (rivière, eau de JIRAMA,..) et doit remplir la quantité d’eau utile pendant la réalisation du chantier.
L’eau destinée à la fabrication des bétons doit être claire, non limoneuse et ne doit contenir ni matières organiques ni substances chimiques susceptibles de nuire à la qualité du béton. En particulier, la présence de chlorure, de sels de sodium ou magnésium ne sera soutenue dans une proportion supérieure à celle qui serA reçue pour une eau potable, et la teneur en sel dissout ne peut excéder plus de 2g/litre.

Aciers pour armatures

Les aciers à utiliser doivent être aussi provenant de la fabrication industrielles mais pas manuels qui ne pas conformes à ses utilisations.
Ils devront avoir les qualifications suivantes, garanties par les fournisseurs :
 nuances FeE24 de limite d’élasticité au moins égale à 2400 kilogramme- forces par centimètre carré, pour les ronds lisses ;
 FeE40 de limite d’élasticité E supérieur ou égale à 4000 kilogramme- forces par centimètre carré pour les barres de diamètre supérieure à 20 mm et 4200 kg pour les barres de diamètre inférieure à 20mm, pour les aciers à aciers à haute adhérence.
 Coefficient de fissuration au moins égal à 1,6
 Coefficient de scellement au moins égal à racine de 2
 Toute barre ayant un défaut d’homogénéité apparent sera refusée
 La soudure des barres est interdite
 Les traces de rouille doivent être enlevées à la brosse métallique, avant utilisation
 Il est défendu d’utiliser des barres ayant des traces de graisse, de peinture, d’hydrocarbure, ou autres,…

Briques en terre cuites

Elles doivent correspondre aux normes Malgache « TBM NM 2-B1 et 2-B2 », les essais seront effectués suivant les prescriptions du recueil des Prescriptions Techniques applicables aux Travaux de Bâtiment à Madagascar.
Il est interdit d’employer des briques présentant de trace de fissures dues à une cuisson mal faite, des épaufrures, les arêtes devront être bien vives.
Les briques doivent être bien cuites, dures, non friables, sonores, sans fêlures et sans parties siliceuses ou calcaires.

Pièces en béton armé

Le béton pour pièce en béton armé sera dosé, sauf dérogation autorisée par le contrôle à 350 kg de ciment CEM I 32.5 pour 1 3 m de béton mis en oeuvre.
Toutes les précautions devront être prises pendant toute la réalisation du bétonnage afin d’éviter qu’elles ne soient ni épaufrées ni fissurées. Toutes pièces en mauvais état seront refusées aussi bien au stockage qu’après leur mise en oeuvre. 10.Evacuation des eaux pluviales
Les descentes d’eaux pluviales seront en PVC de diamètre 100 fixées avec des colliers à deux boulons en fer galvanisé scellé au ciment.
Pour les cuvettes d’écoulement des chêneaux, prévoir à chaque descente d’eau pluviale une platine en cuivre plombé de 3 mm pour recevoir l’étanchéité. Pour l’évacuation des eaux en cas d’engorgement de chaque descente, un dispositif de trop plein est prévu.
Chaque cuvette sera raccordée à la descente par un moignon de 30 cm, y compris coudes cintrés à la demande et soudures.
Prévoir la fourniture d’une crapaudine à chaque cuvette. Celle-ci devant s’emboîter dans le moignon de cuvette : prévoir emboîture à épaulement à cet effet. Les canalisations enterrées recevant les tuyaux de la descente pour évacuer les aux pluviales seront en buse de ciment comprimé ou en PVC suivant les plans d’exécution.
Lorsque le travail sera achevé, il sera procédé aux frais du titulaire un contrôle d’étanchéité ; les canalisations seront obstruées au tampon hermétique situé au branchement d’égout et seront remplies d’eau.
On passe ensuite en revue tout le parcours et on examinera les joints. Tous les joints qui suinteront seront refaits.

Objet de quincaillerie, serrurerie et ferronnerie

Tous les objets de quincaillerie, serrurerie et ferrage doivent correspondre aux nécessités de travail à exécuter. Les articles de quincaillerie devront être de première qualité et seront conformes aux normes du TBM, les pattes à scellement recevront une couche d’antirouille avant la pose.
 Les serrures et verrous de toutes les portes seront du type « VACHETTE » ou équivalent ;
 Les portes de placards de rangement bas seront équipées de serrure du type « encastrée à simple poignée » ;
 Les portes et volets extérieurs seront équipés des bonhommes d’accroche et d’arrêt avec scellement en béton ;
 Les portes intérieures seront équipées de butoirs vissés sur sol ;
 Les portes métalliques seront équipées de verrous boulonnés.
 Les ferronneries pour portes métalliques seront en TPN de 15/10è et devront recevoir une couche de peinture antirouille avant la pose ;
 Les ferronneries pour les grilles de protection seront des tubes serruriers.

Carrelage et revêtement – Matériaux céramiques

Ces matériaux seront conformes aux normes malgaches TBM NM 24. Un échantillon de chaque variété (faïence, grès cérame, granito).
Avant ses utilisations, ses qualités doivent être agrées par un contrôle..

Plomberie – Sanitaire

Les canalisations d’alimentation des appareils sanitaires seront réalisées soit en tuyaux galvanisés de 20/27 soit en tube techtube gainé bleus ou rouge muni de toutes les pièces accessoires nécessaires au bon fonctionnement des appareils.
Avant l’emploi de ces matériaux, l’entreprise s’assurera que les tuyaux utilisés bénéficient de la marque nationale de qualité « PF » ou de caractéristiques identiques (ISO…) ; Les tuyaux devant comporter obligatoirement :
 Le numéro d’admission à la marque nationale de qualité ;
 Le monogramme de la marque de qualité ;
 Le symbole de la matière qui les constitue : PVC…
Les tuyaux galvanisés doivent porter des marques lisibles et indélébiles permettant d’identifier le fabricant et l’usine productrice.
Toutes les pièces d’assemblage et de raccordement à la tuyauterie devront être conformes à la norme NFE 29.029 et pourront être galvanisés ou noirs. Les alimentations en eau auront des sections proportionnelles aux débits nécessaires par le nombre d’appareil afin que ceux-ci aient un fonctionnement parfait. Tous les appareils seront en céramique et doivent avoir l’agrément du contrôle avant pose.

Fournitures pour le réseau électrique

Toutes les fournitures pour le réseau électrique doivent être neuves et correspondre exactement aux obligations du maitre d’oeuvre pou le travail à exécuter.
Leurs caractéristiques et leurs qualités seront conformes aux normes TBM complétées le cas échéant par les normes CEI, REEF.
L’entreprise aura l’entière responsabilité de la fourniture du matériel, que ce soit au niveau de ses caractéristiques, de sa bonne adaptation aux ouvrages, des délais de livraison.
Tous les appareils et équipements (interrupteurs, prises, coffret de répartition, réglette) devront être de type LEGRAND ou équivalent, et devront être agréés par le contrôle avant la pose.
Tous les éléments des installations électriques devront avoir les qualifications suivantes :
 Neufs et en parfait état ;
 Avoir une estampille de qualité ou un certificat délivré par un organisme officiel, chaque fois qu’une telle qualification existe ;
 Etre garanties par leur constructeur pour l’utilisation envisagée ;
 Etre agréés par les Services Publics ou par les Sociétés Concessionnaires lorsque ces organismes ; ont un droit de contrôle sur les installations du titulaire ;
 Etre livrés sur chantier dans leurs emballages d’origine ; être munis de leurs étiquettes d’origine.
L’entreprise devra effectuer sous sa responsabilité et à ses frais, les vérifications techniques auxquelles il est tenu pour ses propres prestations. A titre indicatif, la définition de ces essais figure dans le supplément spécial n°82-51 bis du Moniteur des Travaux Publics et Bâtiment n°51 du décembre 1982, Document COPREC n°1 et 2. L’exécution de ces essais et vérifications ne dispense pas l’entreprise d’effectuer les autres essais et vérifications qui peuvent lui incomber, en application des textes en vigueur ou des clauses du marché.
L’entreprise est tenue de présenter une attestation de conformité de l’installation aux règlements et normes en vigueur, établie par un organisme agréé. Les frais d’établissement de ce rapport sont à la charge du bureau d’étude. Toutefois, les visites complémentaires du contrôleur technique pour lever des réserves éventuelles sont à la charge de l’entreprise.

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Table des matières

PARTIE I : ETUDE SOCIO-ECONOMIQUE
CHAPITRE I: Présentation generale
I. Historique
1. La FJKM
2. Structure générale de la FJKM
II. Structure hiérarchique de la FJKM
III. Structure intérieure national de la FJKM
CHAPITRE II: Environnement du projet
I. Le projet
II. Le promoteur
III. Site du Projet
IV. Plan de situation et milieu environnant
V. Objectif du Projet
CHAPITRE III: Etude architecturale
I. Présentation du projet
1. Description de l’immeuble
2. Emplacement des pièces
3. Aménagement intérieur des pièces
4. Confort et sécurité du bâtiment
II. Présentation de variante
1. Les critères d’évaluation
2. Comparaison des deux variantes selon les critères d’évaluation
3. Choix multicritère
4. Interprétation
PARTIE II : ETUDES TECHNIQUES
CHAPITRE I: predimensionnement
I. Toiture-terrasse
II. Plancher dalle
III. Poutre
IV. Poteaux
CHAPITRE II: Descente des charges
I. But et principe de la descente de charge
II. Schéma de calcul
III. Inventaire des charges
1. Surcharges permanentes
2. Surcharges d’exploitation
3. Descente des charges verticales
4. Descentes de charges dues aux vents
5. Descentes des charges totales
CHAPITRE III: Etude de l’infrastructure
I. Généralités
II. Stabilité
III. Choix du type de fondation
IV. Dimensionnement de la fondation
1. Calcul de l’aire approché S1
2. Cote de la semelle A et B
3. Hauteur h
V. Vérification de la contrainte du sol
VI. Calcul des armatures
CHAPITRE IV: Etude de la superstructure
I. Notion du béton arme aux états limites
1. Notion de la règle de béton armé aux états limites
II. Les poteaux
1. Généralités
2. Hypothèse de calcul
3. Section et dimension
III. Les poutres
1. Généralités
2. Détermination des charges sollicitant les portiques par mètre linéaire
3. Calcul des sollicitations dues aux charges verticales
PARTIE III : TECHNOLOGIE DE MISE EN OEUVRE ET EVALUATION FINANCIERE 
CHAPITRE I: Provenance, qualite et preparation des materiaux
I. Dispositions générales
II. Description des matériaux :
1. Lieu d’extraction
2. Qualité des terres pour remblais
3. Sable pour mortier et bétons
4. Gros granulats pour le béton
5. Eau de gâchage
6. Ciment
7. Aciers pour armatures
8. Briques en terre cuites
9. Pièces en béton armé
10. Evacuation des eaux pluviales
11. Bois
12. Objet de quincaillerie, serrurerie et ferronnerie
13. Carrelage et revêtement Ŕ Matériaux céramiques
14. Plomberie Ŕ Sanitaire
15. Fournitures pour le réseau électrique
16. Peinture
17. Vitrerie
CHAPITRE II: Technologie de mise en oeuvre
1. Installation de chantier
2. Piquetage générale
3. Terrassement
4. Semelle isolé
5. Maçonnerie de briques
6. Hérissonnage
7. Béton
8. Armature
9. Coffrages et décoffrage
10. Mortier
11. Menuiserie bois
12. Menuiserie métallique
13. Quincaillerie Ŕ Serrurerie
14. Les conduits
15. Assainissement
16. Plomberie Ŕ Sanitaire
17. Carrelage
18. Peinture
19. Vitrerie
CHAPITRE III: Evaluation du cout du projet
I. Devis descriptifs
1. Installation de chantier.
2. Démolition
3. Terrassement
4. Ouvrage en infrastructure
5. Ouvrage en superstructure
6. Maçonnerie
7. Toiture terrasse
8. Enduit et chape en béton ordinaire dosé à 400 kg de ciment
9. Assainissement
10. Carrelage de revêtement
11. Menuiserie
12. Plomberie sanitaire
13. Electricité
14. Equipements spéciaux
15. Peinture
II. Sous détails des prix(SDP)
III. Devis et estimatif
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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