BONNES PRATIQUES ECORESPONSABLE EN ACTIVITE DE SOINS, VETERINAIRES 

BONNES PRATIQUES ECORESPONSABLE EN ACTIVITE DE SOINS, VETERINAIRES 

Critiques extérieures et amélioration du guide

L’ébauche du guide a été envoyée à différentes personnes dont les compétences et l’engagement en ont fait les représentants du développement durable au sein de la profession vétérinaire :  Docteur François DECAZES, ancien président du groupe Vétérinaire et Développement Durable du SNVEL.  Docteur Jean-François ROUSSELOT, Président de l’association Qualitévet.

 Docteur Florence MAY, membre organisateur de l’association Ecovéto.  Docteur Géraldine HEILLAUT-DALIBARD, directrice matériel de l’entreprise Alcyon.  Docteur Jacqueline BASTIEN, membre du SNGTV. Les critiques qu’ils ont pu faire vis-à-vis du guide ont été prises en considération afin d’en améliorer la forme et le fond.

Il reste des sujets de critiques dont la solution dépend de la décision de chaque utilisateur selon leur responsabilité. Notamment, prendre certaines mesures afin de minimiser l’un des impacts environnementaux peut entrainer en contrepartie la détérioration d’un autre impact. Par exemple, si pour volonté d’économie de matière première, il est décidé de ne plus utiliser d’alèses jetables dans les cages d’hospitalisation, certes nous faisons l’économie de matière première et nous diminuons les déchets produits suite à l’utilisation des alèses mais en contrepartie, de l’eau est utilisée pour nettoyer les tapis anti-escarres remplaçant les alèses. La consommation d’eau est augmentée et la production d’eau contaminée l’est également. Ainsi, les bonnes pratiques présentées dans ce guide ne font pas l’objet d’un réel bilan vis-à-vis de l’impact environnemental de l’activité vétérinaire. Il n’y aura pas de proposition quant aux impacts à privilégier plutôt que d’autres. C’est à chaque utilisateur de trouver un juste équilibre entre les différentes mesures prises afin de préserver l’environnement.

Initiatives vétérinaires

La profession vétérinaire, elle aussi, s’investit dans le développement durable. Le Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires (CNOV) mais également des associations telles que Qualitévét ou encore la SNGTV (Société Nationale des Groupements Techniques Vétérinaires), le SNVEL (Syndicat National des Vétérinaires d’Exercice Liberal), ou l’association Ecovéto, oeuvrent afin de faire évoluer les pratiques vétérinaires dans le sens des principes du développement durable. Nous allons donner quelques exemples d’actions menées par ces associations dans une démarche de développement durable.

Tout d’abord, un certain nombre de guides de bonnes pratiques ont été élaborés afin d’améliorer la gestion des médicaments en règle générale puis des médicaments anticancéreux en particulier et afin d’assurer la gestion des Déchets d’Activité de Soins à Risques Infectieux (DASRI). Ce sont des outils d’information à destination des vétérinaires mais également des éleveurs. La connaissance de ces bonnes pratiques permet de limiter l’impact des DASRI et des médicaments sur l’environnement et la santé publique.

La participation à la commission de radioprotection vétérinaire a permis d’élaborer des dispositions réglementaires originales en accord avec l’activité de soins vétérinaires. Un maximum de mesures ont été prises afin d’assurer la sécurité des manipulateurs.

Conception du guide de bonnes pratiques : matériel et méthode

Les données collectées pour la réalisation de cette thèse proviennent principalement de recherches sur internet. Certaines données ont été privilégiées par rapport à d’autres en fonction du crédit que l’on pouvait accorder aux auteurs. Ce sont donc principalement des sites d’information aux citoyens développés par le gouvernement ou par des instances scientifiques ou techniques reconnues par l’Etat qui ont été utilisés. Nous citerons notamment l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maitrise de l’Energie) dont le site internet regorge d’informations utiles à la mise en place d’une démarche écorésponsable dans une entreprise.

Certains supports tels que le guide des bonnes pratiques de gestion du médicament ou encore le code de bonnes pratiques créé par la FVE, ont été récupérés grâce à la collaboration de leurs auteurs respectifs.

Afin d’illustrer certaines pratiques, le site internet de l’association Ecovéto ainsi que la collaboration de leurs auteurs ont été d’une aide précieuse. Enfin, la compilation des données est le fruit d’une réflexion personnelle suivie de la modification selon la critique de lecteurs avisés. Nous détaillerons ceci dans la partie méthode.

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A. DEVELOPPEMENT DURABLE ET ECORESPONSABILITE : CONTEXTE GENERAL
I. Définitions
II. Politiques gouvernementales et initiatives volontaires des entreprises
1. Politique gouvernementale concernant l’environnement
2. Initiatives volontaires des entreprises privées
3. Norme ISO 14001 : management environnemental
III. Initiatives vétérinaires
B. CONCEPTION DU GUIDE DE BONNES PRATIQUES : MATERIEL ET METHODE
I. Matériel
II. Méthode
1. Préexistence d’un guide de bonnes pratiques écoresponsables
2. Définition du projet
3. Elaboration d’une ébauche du guide
4. Critiques extérieures et amélioration du guide
C. GUIDE DE BONNES PRATIQUES ECORESPONSABLE EN ACTIVITE DE SOINS, VETERINAIRES 
I. Définition et analyse des activités vétérinaires pouvant conduire à des nuisances environnementales
1. Champ d’application
2. Description des activités vétérinaires sous forme de processus
a. Processus I : activité de soins vétérinaires
b. Processus II : gestion de la structure de soins vétérinaire
II. Fiches de bonnes pratiques écoresponsable en activité de soins vétérinaires
1. Fiche de bonnes pratiques 1 : gestion des déchets (production, recyclage
2. Fiche de bonnes pratiques 2 : gestion de l’eau (consommation, élimination)
3. Fiche de bonnes pratiques 3 : économie d’énergie (consommation

III. Mise en place d’une démarche écoresponsable et communication . Méthodologie
a. Planification
i. Réalisation d’un diagnostic : programme d’auto-évaluation de la structure
ii. Détermination des objectifs à atteindre et des actions à mettre en place pour y parvenir
iii. Analyse des freins au projet et identification des leviers associés
b. Mise en place des actions prévues
c. Vérification des résultats par rapport aux objectifs prévus
d. Amélioration de la démarche
i. Détermination des causes de dérive
ii. Détermination d’un nouveau mode opératoire et/ou de nouveaux objectifs
2. Importance de la communication
a. Processus de communication
b. Démarche écoresponsable et communication
i. Communication au sein de la structure vétérinaire
ii. Communication avec les fournisseurs et les partenaires
iii. Communication avec la clientèle
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES : PROGRAMME D’AUTO-EVALUATION

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