Apports des Activités Bancaires aux Développement et Croissance

De 1972 à la fin des années 1980

   En 1973, Madagascar a choisi de sortir de la zone franc, il passe alors à plusieurs reformes structurelles expliquées par la nationalisation de toutes les institutions financière et la création de la Banque centrale (1973) qui prend la relève de l’IEM. La BMC devient BCM (Banque Commerciale de Madagascar) ; la BFCMM (Banque Franco-chinoise Malagasy Mandroso) s’est substituée à la BFC ; la BNCI OI est remplacé par la BCIM (Banque Commerciale et Industrielle de Madagascar) ; la SNI est fusionnée avec la BNM mais la BAMES a conservé son ancienne dénomination. En 1975, l’Etat nationalisé les banques commerciales, il prend complètement le control de la désignation des membres du comité de gestion unique des banques (CGUB).la BTM et la BFV sont créées en 1976 pour remplacer la BNM dissoute. La BFV (Banky Fampandrosoana ny Varotra) est née de la fusion de la BCM et de la BFCMM. Le BTM et la BNI ont excédé respectivement la BAMES et la BCIM. Quand le gouvernement a engagé une politique d’investissement à outrance dans le cadre de sa politique économique, la dégradation des termes de l’échange et la stagnation des recettes extérieures l’ont remis en cause quant à son efficacité. Cette politique a creusé considérablement le déficit budgétaire et dans son processus global entraîne la hausse de l’inflation et l’accroissement de l’endettement extérieur. Ces différents problèmes s’apparentent de mauvais signe à l’équilibre monétaire et financier du pays. Jusqu’en 1984 le FMG était toujours sous régime de change fixe. Avec la surévaluation du taux de change réel ; seul évoluait la production des biens qui ont recours aux intrants importés. Cela constituait un risque sur le portefeuille des banques commerciales et nécessitait un programme d’ajustement économique. En effet ce programme consiste à la libéralisation des échanges commerciaux, la dévaluation de la FMG et l’adoption d’un taux de change flexible en 1984. Mais ces mesures ont affecté le cours de la FMG qui a subi une forte dévaluation conduisant à un accroissement des pertes de change cumulé de la Banque Centrale. Cette dévaluation est aussi ressentie au niveau des entreprises publiques qui sont impuissantes de contrer leur dégradation alors qu’elles sont été les clients logiques des banques commerciales. Pour se conformer à l’ajustement structurel, imposé par la Banque Mondiale, l’Etat met fin à son monopole dans le secteur bancaire. Dans ce contexte la BNI, la BTM et la BFV se transforment en Sociétés Anonymes (S-A) à capitale fixe. La BMOI a ouvert sa porte en 1990, sa capitale est détenue en grande partie par la BNPI. Pour l’UCB, 80% de sa participation provient de la MCB (Mauricius Commercial Bank).

La Banque Centrale

   Suivant l’Ordonnance N° 73 025 du 12 Juin 1973 modi fié par la Loi 94004 du 14 juin 1994 la Banque Centrale de la République de Madagascar (BCRM) fut créée. Dans ses contours ; il s’agit d’un établissement public doté de la personnalité morale et d’autonomie financière. Sa mission générale est de veiller à la stabilité interne et externe de la monnaie (Article 6 Loi N° 94 004) elle s’attaque à des missions de politique monétaire et s’attribue le privilège d’émettre des billets de banque et de pièce de monnaie. La Loi N° 95 030 du 22 Février 1996 portant réglementation de la profession bancaire n’affecte pas la Banque Centrale mais intéresse plus particulièrement les différentes catégories d’établissements de crédit. Encore dans son répertoire, cette Loi fixe également les attributions de la CSBF (Commission de Supervision Bancaire et Financière).

Les institutions de micro finances

   D’abord il faut souligner une différence majeure entre les institutions de Micro finance mutualiste et non mutualiste. Les institutions de micro finance sont régies à la fois par le cadre commun, la Loi bancaire N° 95 030 du 22 février 1969 et par un texte spécifique, la Loi N° 96 020 du 04 septembre 1996 portant réglementation des activités et organisation des institutions financières mutualiste Décret d’application N° 98 217 du 05 février 1998. Par rapport à leur expérience, ces institutions diversifient leur offre .ils élaborent une variété de produits tels que les plans d’épargne projet, le crédit de dépannage, le crédit de faisances valoir, le grenier communautaire villageois, la location vente mutualiste.

Le système de réserve obligatoire

   La maîtrise de toute situation est une nécessité vitale. Le système de réserve obligatoire est une solution pour exercer une pression sur la liquidité bancaire. Historiquement, depuis 1996 il est la substitution directe de la politique d’encadrement de crédit. Dans la pratique les établissements de crédit doivent maintenir dans les livres de la Banque Centrale des avoirs en compte. La présence de ses avoir ou plutôt son importance dépend du passif exigible des banques. Les taux assimilés sont d’environ 0,5 % à vue et 20 % à terme. Une hausse du taux de réserves réduit la liquidité bancaire. Le même raisonnement n’interdit pas de dire que les banques sont en situation de besoin de liquidité et dans ses programmes ils envisageront de réduire l’octroi de crédit.

Les reformes récentes sur la gestion de la liquidité

   L’instruction à retenir sur la gestion de la liquidité à l’intérieur d’un marché monétaire est le maintien de son équilibre la BC à un travail urgent d’intervenir régulièrement sur le marché. La résolution se fait en retirant le surplus de liquidité au moyen des appels d’offres négatifs ou en injectant de la monnaie centrale par le biais d’appels d’offres positifs. Les reforme entant que prolongement d’une consolidation de gestion ont été fait en 2006. Elles ont été conçu afin d’optimiser ce qu’il était possible de faire en matière de politique monétaire. Pour entrer dans le détail, en 2006 la structure d’ensemble a vue la constitution de deux bases de données, en stocks et en flux des facteurs autonomes d’une part et la mise en place d’une comite dite « comite de liquidité » d’autre part. La mise en place de ces reforme réduise la difficulté de prévision des facteurs de la liquidité qui ont été au centre de la détermination de «  l’allocation théorique neutre » significative pour le calibrage des interventions sur le marche monétaire. Par ailleurs la tenue »d’une main courante » un autre d’analyse des écarts entre les prévisions et les réalisations a permis un suivie systématique de l’évolution de la liquidité.

Le rôle principal des banques

   Les banques jouent un rôle principal qui se résume comme suit : elles collectent de multiples dépôts de faible valeur unitaire et accordent des prêts de forte valeur unitaire. Etant donné que les dépôts souvent à vue ou à court terme de la banque lui a permis d’accorder ders crédit à court, à moyen et à long terme on pourrait l’appeler l’intermédiaire financier. En bref, l’intermédiaire financier, notamment la banque présente l’avantage majeur d’être une activité produisant sécurité et liquidité.

Le rôle économique des banques

   Les raisonnements à partir des intermédiations bancaires de même que les avantages sur la réduction des risques suggèrent que le rôle économique fondamentale de la banque est d’entretenir de lien entre les détenteurs de capitaux et leur utilisateur .cette affirmation est renforcée par le fait qu’elle transforme l’argent liquide en argent stable et elle se porte garant de la sécurité absolue des capitaux qui lui sont confiés. Les agents économiques y compris les investisseurs dépendent des banques dans la réalisation de leurs activités. Ces agents ne seront pas capables d’entamer des activités économiques sans avoir à leur disposition des fonds. La banque est un organisme apte à fournir des fonds au moyen de crédit bancaire. L’intermédiation financière apparaît de fait comme une activité économique essentielle organisant les transferts d’épargnes à destination du système productif. Il est également possible de comprendre comment le volume de l’épargne influe le rythme de la croissance économique, cette réalité subsiste derrière l’importance du rôle des institutions financières. Un individu peut se referez à deux moyens principaux pour l’utilisation futur de son épargne en finançant une activité économique. Il lui est permis tout d’abord comme premier choix d’acquérir des titres émis par une entreprise sur le marché financier ensuite comme deuxième choix il peut décider s’il va accéder à un intermédiaire financier spécialisé dans le crédit ou entreprise, moyennant taux d’intérêt. La banque est aussi l’intermédiaire entre offreur et demandeur de capitaux et ceci à partir de deux processus distincts :
– en organisant par rapport à son bilan la configuration idéale entre offreur de capitaux et demandeur de capitaux. La banque intercale son bilan entre l’offreur et demandeur de capitaux.
– en mettant en relation directe offreur et demandeur de capitaux sur un marché.

Les services et revenus nets

   L’évolution de la recette a été constituée par un apport de 45,4% pour les services privé et public, 27,2% pour le tourisme et 24,3% pour les transports internationaux.Du coté des paiements, seul les prestations de « Services Privés » ont apporté la quasitotalité de la progression : 40,5% par les non résident, 18,4% par les transports internationales, 14,9% par les voyages des résidents à l’étranger.

La finance intermediée

   Les intermédiaires financiers effectuent des services ou chaque agent non financier peut compter. Ce service est rendu possible entre les agents non financiers même sans contrat direct ou apparent grâce à l’intermédiation. Le but serait alors de démontrer le rôle de la banque, de la finance intermediée dans le développement. Certes, on peut voir les banques entant qu’un simple lieu de rencontre entre prêteurs et emprunteurs, de cette façon le rôle de la banque est alors de diminuer le coût de transaction de la recherche des prêteurs par l’emprunteur. Mais pour être beaucoup plus explicite, il est clair que les banques rassemblent des informations sur les emprunteurs et les mettent à la disposition des prêteurs. Dans ce cas une seule collecte d’information concernant les emprunteurs exécutés par la banque suffit au lieu de plusieurs par chaque prêteur potentiel. Il y a là une diminution évidente des coûts de transactions. Ce type d’activité qui met en relation les prêteurs et emprunteurs et ou les banques sont des agences, se déroule généralement dans les pays industrialisés .L’idée c’est que la banque fait des placements des titre, une activité dans laquelle le prêt direct entre emprunteur et prêteur est facilité. L’intermédiation financière, au sens où l’on entend généralement, consiste à emprunter aux agents non financiers prêteurs pour prêter aux agents non financiers emprunteur. Dans cet aspect limité du rôle de la banque, elle ne sert généralement qu’à réduire les coûts de transaction, voila un handicap majeur de la finance direct. Les banques peuvent pratiquer une transformation financière .Dans son système, la nature de leur engagement auprès des prêteur se trouve être délivré de tous rapports avec celle auprès de leur emprunteurs. L’activité bancaire transforme le court de faible montant et sans risque vers le long de montant élevé et risqué. Cette transformation va au-delà de la diminution des coûts de transaction, pour limiter les effets que pourrait avoir sur le montant des prêts, les désajustements entre préférences des prêteurs et celles des emprunteurs. Le rôle de la banque dans le développement est alors clair, mais nécessite certainement des investissements et donc des financements. Un système bancaire performant va accroître le volume de fond que les agents non financiers prêteurs sont désireux de mettre à la disposition des agents emprunteurs. De plus, en considérant un volume quelconque, seul les banques sont qualifiées d’avoir l’ultime qualité pour une meilleur allocation de ceci en effectuant des sectionnements d’emprunteur. Cette finance intermediée offre aussi une meilleure sécurisation des fonds déposés et prêtes. Quelques modèles théoriques peuvent appuyer le fait que le crédit participe au développement.

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Table des matières

PARTIE I. ITINERAIRES NATURELS, SCOLAIRES, ACADEMIQUES, PROFESIONNELS ET SCIENTIFIQUES
I. Itinéraires naturels
II. Itinéraires scolaires et académiques
II.1. Etudes et Diplômes
II.2. Autres connaissances
II.2.1. Connaissance en informatique
II.2.2. Langues étrangères
II.2.3. Sports et loisirs
II.3. Formation et stage
III. Itinéraires professionnelles
III.1. Historique des fonctions
III.1.1. 1991-1996
III.1.2. 1996‐2002
III.1.3. 2002-Octobre 2007
III.1.4. Novembre 2007-Jusqu’à ce jour
III.2. Les Principales Fonctions occupées après la thèse
III.3. Autres activités
III.4. Reconnaissances de la Société
IV. Itinéraires scientifiques
IV.1. Travail de Recherche récent
IV.2. Encadrement de recherches et Responsabilités en Formation de IIIème Cycle
IV.3. Membre du comité de lecture de certaines revues internationales
IV.3.1. International Reviewer
IV.3.2. Coordonnateur du Fonds Monétaire International (FMI) sur General Data Dissemination System (GDDS) de Madagascar depuis 2004. Source : dsbb.imf.org
IV.3.3. Correspondant sur MACS à Madagascar
IV.4. Projets de recherches futures
V. Résume de la thèse pauvreté et distribution des services sociaux à Madagascar
VI. PUBLICATIONS
VI.1. Publications en version papier
VI.2. Publications en Ligne
VII. Conférences, colloques, formations et séminaires
VII.1. Séjours
VII.2. WEB-JOURNAL
PARTIE II. SYNTHESES DES PRINCIPALES PUBLICATIONS
I PUBLICATIONS INTERNATIONALES
I.1. Evaluation de la Pauvreté
I.1.1. Les questions fondamentales qui se posent
I.1.2. Quelles sont les méthodologies utilisées ?
I.1.3. Quels sont les types de données utilisées ?
I.1.4. Quels sont les résultats de l’étude ?
I.1.5. Le plan d’actions pour réduire la pauvreté à Madagascar
I.2. Evolution de la Pauvreté à Madagascar : 1993-1999
I.2.1. Contexte macro-économique
I.2.2. Tendances nationales
I.2.3. Pauvreté urbaine en recul
I.2.4. Pauvreté paysanne
I.2.5. Instruments d’intervention
I.2.6. Conclusions
I.3. Changes in Poverty in Madagascar: 1993-1999
I.4. Putting Welfare on the Map in Madagascar
I.4.1. Introduction
I.4.2. Objective
I.4.3. Methodology
I.4.4. Conclusion
I.5. Poverty, health and education: the case of Madagascar
I.5.1. Introduction
I.5.2. Objective
I.5.3. Methodology
I.5.4. Main findings
I.5.5. Conclusion
I.6. Analyse du Document Stratégique de Réduction de la Pauvreté de Madagascar
I.6.1. Contexte
I.6.2. Le DSRP
I.6.3. Recommandations
I.7. Education et santé: voie propice pour sortir de la pauvreté
I.7.1. Introduction
I.7.2. Etat des services sociaux
I.7.3. Déterminants et Utilisation des services sociaux de base
I.7.4. Leviers de politique économique
I.7.5. Laisser faire les écoles et cliniques privées?
I.7.6. Conclusion
I.8. Croissance Economique et réduction de la pauvreté à Madagascar: La liaison est-elle évidente ?
I.8.1. Cadrage macro-économique
I.8.2. Cas de Madagascar
1.8.3. Croissance économique, Inégalité et niveau de Pauvreté dans les pays développés: la liaison n’est pas évidente
1.8.4. Essaie de mesure de la relation entre la croissance économique, l’inégalité et le niveau de pauvreté à Madagascar
1.8.5. Conclusion
I.9. Relations commerciales avec la Chine : Madagascar y trouve-t-il son compte ?
I.9.1. Problématique
I.9.2. Méthodes d’analyse utilisées
• Première méthode : Analyses descriptives sectorielles
• Deuxième méthode : Modèle d’Equilibre Général Calculable (MEGC)
I.9.3. Résultats trouvés
• Résultats des analyses descriptives
• Résultats du Modèle d’Équilibre Général Calculable (MEGC)
I.9.4. Conclusion
I.10. Les impacts des relations d’investissement de Chine-Madagascar
I.10.1. Introduction et problématique
I.10.2. Méthodologie d’analyse
I.10.3. Principaux résultats
I.10.4. Conclusion et recommandation de politique économique
I.11. Economic Growth and Poverty in Madgascar
I.11.1.Introduction
I.11.2. Origin of the poverty
I.11.3. Measure of impacts of the growth on the poverty
I.11.4. Conclusion
I.12. Les limites de la modernisation du budget malgache
I.12.1. Historique de la loi de finances
I.12.2. Une Loi Organique et la Loi Organique sur la Loi de Finances 2004 (LOLF 2004)
I.12.3. Implication de l’Application de la LOLF 2004 basée sur le principe d’un Budget-Programme (BP) et de la Gestion Budgétaire Axée sur les Résultats (GAR)
II. PUBLICATIONS NATIONALES
II.1. Les Droits d’Accises à Madagascar
II.1.1. Introduction
II.1.2. Problèmes
II.1.3. Résultats
II.1.4. Conclusions et recommandations
II.2. Profil de pauvreté à Madagascar : situation et tendance
II.2.1. Objectifs et méthodologies
II.2.2. Conclusion
II.3. Pauvreté à Madagascar : défi public et stratégie des ménages
II.3.1. Synthèse des études antérieures
II.3.2. Productivité agricole
II.3.3. Productivité de la main-d’œuvre
II.3.4. Opportunités et dangers fiscaux
II.4. Evolution de la pauvreté à Fianarantsoa: 1993-1999
II.4.1. Contexte
II.4.2. Problématique
II.4.3. Méthodologie
II.4.4. Résultats
II.4.5. Conclusion
II.5. Plan Directeur pour le développement rapide et durable du système d’information statistique national : 2003 – 2007
II.5.1. Contexte
II.5.2. Mise à jour
II.5.3. En matière de coopération
II.5.4. En matière de Politique économique
II.5.5. Le Budget prévisionnel 2003-2007
II.6. Etude de l’impact de la crise politique 2002 sur le secteur de l’éducation
II.6.1. Introduction
II.6.2. Interruption des cours et réduction du volume horaire
II.6.3. Situation-cliché des enseignants
II.6.4. Abandon scolaire et absentéisme des élèves
II.6.5. Conclusion
II.7. Croissance économique à Madagascar : tendance et situation
II.7.1. Le Produit Intérieur Brut ( PIB)
II.7.2. Evolution économique depuis 1960
II.7.3. La conjoncture économique de 2003
II.7.4. Conclusion
II.8. L’inflation à Madagascar : situation et tendance
II.8.1. Précis sur l’inflation
II.8.2. Suivi de l’inflation
II.8.3. Variation des prix à la consommation
II.9. Déterminants de la demande en matière d’éducation et de santé
II.9.1. Contexte
II.9.2. Méthodologie
II.9.3. Résultats
II.9.4. Conclusion
II.10. Guide Pratique
II.10.1. Introduction
II.10.2. Le MAP et le Budget
II.10.3. Généralités sur le Budget
II.10.4. Les ressources de l’Etat
II.10.5. Les dépenses publiques
II.10.6. Réformes dans la gestion des finances publiques
II.10.7. Les règles de passation des marchés
II.10.8. Conclusion
II.11. Guide de formulation du budget
II.11.1. Introduction
II.11.2. Méthodologie
II.11.3. Résultats attendus
PARTIE III. REFERENCES
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
PARTIE IV. EXTRAIT DE PUBLICATIONS

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