Anatomie et technique d’échographie du tube digestif  chez le chien

Anatomie et technique d’échographie du tube digestif  chez le chien

Préparation de l’animal 

Une mise à jeûn 12h avant l’examen échographique est conseillée pour une meilleure visualisation du tube digestif. En effet, la présence de nourriture et de gaz dans l’estomac ou les anses digestives peut masquer des anomalies du contenu luminal, ou engendrer des artefacts empêchant la visualisation des organes adjacents. Il est également préférable de permettre à l’animal de déféquer avant l’examen car la présence de selles dans le côlon peut empécher une bonne visualisation des organes.Afin d’obtenir de bonnes images échographiques, il faut un contact étroit entre la sonde et la peau de l’animal. Pour cela, le patient est tondu ou rasé largement au niveau du ventre, de l’arc costal crânialement jusqu’en région inguinale caudalement et sur toute la largeur de l’abdomen. L’accord du propriétaire doit être obtenu avant l’examen en particulier pour les animaux de concours. Enfin, du gel acoustique est appliqué sur l’ensemble de la zone tondue.

Positionnement de l’animal

La position de l’animal peut varier en fonction des habitudes personnelles, de la zone à examiner et des artefacts que l’on cherche à éviter. Elle peut être modifiée en cours d’examen pour déplacer le gaz ou le liquide contenu dans les cavités abdominales, ou pour trouver une meilleure fenêtre acoustique.La plupart des échographistes positionnent le patient en décubitus dorsal, à l’aide de coussins arrondis en forme de U. Les membres antérieurs et postérieurs sont maintenus en extension par des assistants.Certains échographistes préfèrent placer l’animal en décubitus latéral (droit le plus souvent). Les animaux sont parfois plus calmes dans cette position, en revanche l’accumulation de gaz dans le tractus digestif peut compromettre la qualité des images lorsque la sonde est placée sur le flanc gauche, au dessus. Lorsque l’animal est placé en décubitus latéral droit, il est possible d’utiliser une table percée et d’échographier l’animal par le flanc droit (en dessous), afin d’éviter les artefacts dus aux remontées de gaz.La position debout est une dernière option, utilisée principalement pour les chiens de très grande taille ou lors d’épanchement important. Elle permet également une bonne visualisation du tractus digestif et en particulier de l’estomac. Un épanchement ou un estomac rempli de liquide constituent de bonnes fenêtres acoustiques.

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PREMIERE PARTIE :
Principes de base en échographie du tractus digestif  
1.1. Prérequis à l’échographie du tractus digestif  
1.1.1. Indications
1.1.2. Matériel et méthode
1.1.2.1. Préparation de l’animal
1.1.2.2. Positionnement de l’animal
1.1.2.3. Contention de l’animal
1.1.2.4. Réglages de l’échographe
1.1.3. Principaux artefacts rencontrés en échographie du tube digestif
1.2. Anatomie et technique d’échographie du tube digestif  
1.2.1. Estomac
1.2.2. Intestin grêle et colon
1.2.3. Noeuds lymphatiques drainant le tube digestif
1.2.3.1. Localisation et territoires de drainage
1.2.3.2. Aspect échographique des noeuds lymphatiques
DEUXIEME PARTIE :
Dix ans d’avancées scientifiques en échographie du tractus digestif du chien et du chat
2.1 Actualités en échographie du tractus digestif de l’animal sain
2.1.1. Tractus digestif de l’animal adulte
2.1.1.1. Estomac
2.1.1.1.1. Aspect échographique du cardia et du pylore chez le chat
2.1.1.1.2. Visualisation du pylore chez le chien
2.1.1.1.3. Mesure échographique de la vidange gastrique chez le chien
2.1.1.2. Intestin grêle
2.1.1.2.1. Visualisation de la papille duodénale
2.1.1.2.2. Epaisseur de la paroi des différentes portions intestinales chez le chien
2.1.1.2.3 Aspect échographique de l’intestin grêle lors de l’utilisation d’un produit de contraste.
2.1.1.2.4 Etiologie d’une image échographique hyperéchogène observée dans la muqueuse
intestinale en coupe transverse
2.1.1.3 Noeuds lymphatiques mésentériques
2.1.1.3.1 Taux de visualisation des NL mésentériques à l’échographie
2.1.1.3.2 Aspect échographique des NL mésentériques
2.1.1.3.3 Mesures échographiques des NL mésentériques
2.1.1.3.4 Mesure du flux sanguin hilaire en mode Doppler
2.1.2. Tractus digestif du chiot
2.1.2.1. Epaisseur des parois digestives du chiot
2.1.2.2. Noeuds lymphatiques mésentériques
2.1.2.3. Liquide dans la cavité péritonéale
2.2 Actualités en échographie des affections digestives 
2.2.1. Anomalies du contenu du tube digestif
2.2.1.1. Corps étrangers
2.2.1.1.1. Epidémiologie
2.2.1.1.2. Aspect échographique des corps étrangers compacts
2.2.1.1.2 Aspect échographique des corps étrangers linéaires
2.2.1.1.3 Signes indirects compatibles avec un corps étrangers digestif
2.2.1.1.4 Localisation préferentielle des corps étrangers
2.2.1.1.5 Intérêt de l’échographie dans le diagnostic des corps étrangers obstructifs
2.2.1.2 Parasites du tube digestif
2.2.2 Anomalies topographiques du tube digestif
2.2.2.1 Intussusceptions
2.2.2.1.1 Aspect échographique des intussusceptions
2.2.2.1.2 Intérêt de l’échographie dans le diagnostic des intussusceptions
2.2.2.1.3 Critères de réductibilité des intussusceptions
2.2.2.2 Etranglements intestinaux
2.2.2.3 Détection des hernies diaphragmatiques par échographie
2.2.3 Anomalies congénitales du tube digestif
2.2.3.1 Diverticule duodénal chez un chien
2.2.3.2 Duplication intestinale congénitale chez un chat
2.2.4 Anomalies de la paroi gastro-intestinale
2.2.4.1 Anomalies de la paroi gastro-intestinale d’origine traumatique
2.2.4.1.1 Ruptures de la paroi gastro-intestinale
2.2.4.1.2 Pneumatose gastrique chez un chat
2.2.4.2 Anomalies de la paroi gastro-intestinale d’origine infectieuse
2.2.4.2.1 Parvovirose
2.2.4.2.2 Pyogranulomes intestinaux associés à des corps étrangers
2.2.4.2.3 Infections fongiques
2.2.4.3 Anomalies de la paroi gastro-intestinale d’origine inflammatoire
2.2.4.3.1 Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin
Etendue des lésions :
Epaisseur globale de la paroi intestinale :
Epaisseur relative des différentes couches de la paroi intestinale :
Structure en couche de la paroi intestinale :
Aspect des différentes couches de la paroi intestinale :
Taille et aspect des noeuds lymphatiques:
Corrélation entre l’aspect échographique de la paroi intestinale et la clinique lors de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin :
Critères échographiques de distinction des différents types de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin :
2.1.4.3.2 Affections éosinophiliques à répercussion digestive chez le chat
Syndrome hyperéosinophilique félin
Fibroplasie sclérosante gastrointestinale éosinophilique féline
2.2.4.4 Anomalies de la paroi gastro-intestinale d’origine néoplasique
2.2.4.4.1 Polypes gastriques chez le chien
2.2.4.4.2 Mastocytome digestif
2.2.4.4.3 Lymphome digestif
2.2.4.4.4 Tumeurs histiocytaires abdominales chez le chien
2.2.4.4.5 Métastases digestives chez un chien
2.2.4.4.6 Critères de malignité des noeuds lymphatiques
2.3 Images échographiques particulieres et leur étiologie.  
2.3.4 Ondulations de l’intestin
2.3.5 Stries hyperéchogènes mucosales
2.3.6 Bande hyperéchogène mucosale parallèle à la sous muqueuse
2.3.7 Anomalies de la jonction iléocolique chez le chat
2.3.8 Lésions micronodulaires de la sous-muqueuse colique
TROISIEME PARTIE :
Intérêt diagnostique et limites de l’échographie de l’appareil digestif  
3.1. Intérêt diagnostique de l’échographie du tractus digestif  
3.1.1. Lors de vomissements chroniques
3.1.2. Lors de diarrhée chronique
3.1.3. Lors d’obstruction par corps étranger
3.1.4. Pour différencier entérite et tumeur
3.2. Erreurs fréquentes et limites de l’ échographie abdominale  
3.2.1. Principaux types d’erreur en échographie abdominale
3.2.2. Erreurs concernant les suivis d’entéro/entérectomies
3.2.2.1. Aspect post-opératoire normal des sites d’entérotomies et d’entérectomies
3.2.2.2. Evaluation à long terme des sites d’entérectomie
3.2.3. Erreurs concernant les intussusceptions
3.3. Comparaison entre différentes techniques d’imagerie en cas d’abdomen aigü chez le chien …
CONCLUSION  
Annexe 1
BIBLIOGRAPHIE

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