Anatomie de l’appareil pharyngo-laryngé chez le cheval

Anatomie de l’appareil pharyngo-laryngé chez le cheval

Dysplasie laryngée ou défaut du 4e arc branchial

La dysplasie cricopharyngée-laryngée (LD) ou défaut du 4e arc branchial est une affection congénitale résultant en une aplasie ou dysplasie d’une partie ou de la totalité des dérivés embryonnaires du 4e arc branchial. Sont inclus le cartilage thyroïde (plus particulièrement la corne caudale), l’articulation crico-thyroïdienne, les muscles crico-pharyngien, crico-aryténoïdiens et crico-thyroïdien. Le côté droit est plus affecté que le gauche, mais l’affection peut aussi être bilatérale. Selon une étude de Lane (2003d), le côté droit est affecté seul dans 65% des cas, le côté gauche est affecté seul dans 10% des cas et l’atteinte est bilatérale dans 25% des cas.
 Etiologie L’étiologie la plus probable est un défaut de développement du 4e arc branchial, qui contribue en temps normal au développement des cartilages du larynx et des muscles intrinsèques du larynx et du pharynx. Le 6e arc branchial pourrait aussi être touché (Garrett et al., 2009).
 Signes cliniques Les signes cliniques associés à cette affection sont variables et dépendent des structures impliquées, ainsi que de la sévérité de l’atteinte. Sont retrouvés dans un ordre décroissant (Lane, 2003d) un bruit respiratoire anormal à l’effort, de l’aérophagie, du jetage, de la toux et des coliques récurrentes.
Une aplasie ou dysplasie du cartilage thyroïde ou de l’articulation crico-thyroïdienne diminue la stabilité de l’union entre les cartilages cricoïde et thyroïde ; ainsi la force appliquée par la contraction du muscle crico-aryténoïdien dorsal est utilisée pour déplacer le cartilage thyroïde caudalement plutôt que pour abducter le cartilage aryténoïde latéralement (Goulden et al., 1976 ; Klein et al., 1989). Cela peut donner l’impression d’une hémiplégie laryngée et les mêmes conséquences sont à prévoir, à savoir un bruit respiratoire à l’effort associé à une baisse de performance.Une aplasie ou dysplasie du muscle crico-pharyngien a deux conséquences (Goulden et al., 1976 ; Rush et al., 2004 ; Barakzai, 2006) : – Un défaut de fermeture du sphincter œsophagien supérieur, qui induit une aérophagie à l’origine d’éructation chronique, de pneumonie par fausse déglutition ou encore de colique récurrente. De la dysphagie, de la toux ou du jetage nasal sont aussi possibles. Attention de ne pas confondre un cheval qui fait de l’aérophagie avec un cheval qui tique à l’appui.
– L’absence de moyen d’ancrage des piliers palatins caudalement aux processus corniculés des cartilages aryténoïdes, ce qui a pour conséquence un déplacement rostral de l’arc palatopharyngien (RDPA). Notons qu’un cheval tranquillisé peut déplacer son arc palatopharyngien rostralement.
Le déplacement rostral dynamique de l’arc palato-pharyngien se manifeste à l’effort par un bruit respiratoire anormal, plutôt inspiratoire. En effet, du fait de l’absence de musculature du sphincter œsophagien proximal, l’entrée de l’œsophage est lâche et l’air inspiré peut s’engouffrer dans l’œsophage. Or la voie d’entrée restant tout de même étroite, il en résulte un bruit respiratoire à l’effort.
 Diagnostic Le diagnostic de certitude ne peut être réalisé qu’à l’aide d’une chirurgie exploratrice ou d’une autopsie, mais le recours à la combinaison d’examens complémentaires que sont la palpation du larynx, l’endoscopie, la radiographie, l’échographie et l’IRM, est généralement suffisant pour poser un diagnostic.
Examen physique La palpation du larynx a pour but d’identifier un défaut dans le squelette cartilagineux. Normalement, il existe un espace relativement étroit entre le cartilage thyroïde et le cartilage cricoïde, ventralement, correspondant au ligament crico-thyroïdien. Puis, en palpant latéralement, la corne caudale du cartilage thyroïde est supposée recouvrir l’anneau cricoïdien. Or en cas de défaut du 4e arc branchial, il existe une vraie dépression (uni- ou bilatérale) entre le bord caudal du cartilage thyroïde et le bord rostral du cartilage cricoïde, associée à l’absence d’une ou des deux corne(s) caudale(s) du cartilage thyroïde .
Examen endoscopique Le diagnostic se fait principalement par endoscopie au repos. Il est possible d’objectiver : – Un déplacement rostral de l’arc palato-pharyngien, caractérisé par une bande de tissu recouvrant la partie dorsale des processus corniculés des cartilages aryténoïdes (Figure 46a). Il peut aussi être intermittent et n’apparaitre que lors d’un effort intense, auquel cas il faudra utiliser l’endoscopie à l’effort pour le visualiser.
– Un défaut d’abduction d’un ou des deux cartilage(s) aryténoïde(s) (Figure 46b)
Le défaut du 4e arc branchial est souvent sous-diagnostiqué lorsqu’il se manifeste par un défaut d’abduction d’un cartilage aryténoïde (surtout le gauche), car confondu la plupart du temps avec la neuropathie laryngée récurrente qui reste une affection de fréquence plus élevée. En revanche, un défaut d’abduction du cartilage aryténoïde droit est le plus souvent dû à un défaut du 4e arc branchial (Lane, 2007).
Chez certains chevaux, il peut ne pas y avoir d’anomalie à l’endoscopie au repos et une endoscopie à l’effort sera nécessaire pour visualiser un déplacement rostral de l’arc palato-pharyngien dynamique, un collapsus du cartilage aryténoïde et/ou de corde vocale droits ou bilatéral, une déviation des replis ary-épiglottiques associée à un déplacement dorsal du voile du palais ou encore une déviation du repli ary-épiglottique droit (Barakzai, 2007).
Examen radiographique L’examen radiographique est une aide au diagnostic de cette affection seulement dans le cas où le défaut du 4e arc branchial se manifeste par un déplacement rostral de l’arc palato-pharyngien. Dans la plupart des cas, en l’absence du sphincter œsophagien proximal, il est possible d’observer une colonne d’air anormale dans l’œsophage cervical proximal, ainsi qu’un tissu opaque (« dew drop ») faisant intrusion dans cette colonne d’air dorso-rostralement aux cartilages aryténoïdes, comme présenté sur la Figure 47 (Barakzai, 2006 ; Smith et al., 2009).
Notons cependant que cette image radiographique peut ne pas être objectivable lors d’un déplacement rostral de l’arc palato-pharyngien intermittent.
La radiographie avec produit de contraste est aussi utile pour étudier l’impact d’un défaut du 4e arc branchial sur la déglutition (Lane, 2007).
Examen échographique L’échographie du larynx est un outil extrêmement utile qui devrait être réalisé dans tous les cas de suspicion d’une dysplasie laryngée puisqu’il permet de visualiser des anomalies de structures auparavant suspectées, mais certifiées seulement après autopsie. Sur la coupe transversale (Figure 48), Garrett et al. (2009) montrent l’absence d’articulation crico-thyroïdienne et l’extension dorsale (vers la gauche de l’image) du cartilage thyroïde vers le processus musculaire du cartilage aryténoïde ipsilatéral (pointé par la flèche). Sur la coupe longitudinale (Figure 49), le muscle crico-aryténoïdien latéral a une échogénicité normale, mais il est situé dans un espace anormal entre le cartilage thyroïde et le cartilage cricoïde (encadré par les flèches).
Examen IRM Dans cette même étude, Garrett et al. (2009) ont évalué l’intérêt de l’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) dans le diagnostic de la dysplasie laryngée. Les anomalies caractéristiques de la dysplasie laryngée sont effectivement visibles sur les images obtenues : absence d’articulation cricothyroïdienne du fait de l’absence de la corne caudale du cartilage thyroïde (Figure 50a), extension anormale de la lame droite du cartilage thyroïde dorsalement au processus musculaire du cartilage aryténoïde (Figure 50b), modifications de la forme et de l’axe du cartilage cricoïde à l’origine d’une rotation des cartilages aryténoïdes et d’une modification des attaches des muscles cricoaryténoïdiens dorsaux (Figure 51b), atrophie voire absence du muscle crico-pharyngien droit (et parfois aussi du gauche) (Figure 51b), défaut de positionnement du muscle crico-aryténoïdien latéral dans un espace anormal entre les cartilages thyroïde et cricoïde.
Figure 50 : a) Image IRM d’une tête de cheval en STIR TSE dorsale, au niveau de l’articulation crico-thyroïdienne : absence d’articulation crico-thyroïdienne droite du fait d’un raccourcissement de la corne caudale droite du cartilage thyroïde. b) Image IRM d’une tête de cheval en densité de proton TSE transverse, au niveau des cartilages aryténoïdes : extension de la lame du cartilage thyroïde dorsalement au processus musculaire du cartilage aryténoïde droit (flèche blanche). Le côté gauche du cheval est à droite de l’image ; TC = cartilage thyroïde, AC = cartilage aryténoïde, CC = cartilage (d’après Garrett et al., 2009)
Examen post mortem L’examen de choix est bien sûr l’examen post mortem, qui a permis de décrire davantage d’anomalies. La plus fréquente est, comme vu précédemment, l’absence de corne caudale du cartilage thyroïde et donc l’absence d’articulation crico-thyroïdienne. En voici d’autres un peu plus anecdotiques : absence du muscle crico-thyroïdien (Goulden et al., 1976), hypertrophie du muscle crico-aryténoïdien dorsal (Goulden et al., 1976 ; Dixon et al., 1993), atrophie du muscle cricoaryténoïdien dorsal (Klein et al., 1989), atrophie du muscle aryténoïdien transverse (Klein et al., 1989), hypertrophie du muscle crico-thyroïdien (Dixon et al., 1993) ou encore hypertrophie du muscle thyro-pharyngien (Wilson et al., 1986).
 

Chondrite des cartilages aryténoïdes

La chondrite des cartilages aryténoïdes (ACh) consiste en un épaississement et une perte de mobilité des aryténoïdes, associés à une inflammation chronique récurrente, qui peut être caractérisée par une distorsion, une minéralisation ou la formation de protubérances ou de tissu de granulation. Il s’agit d’une affection progressive, le plus souvent unilatérale.
 Etiologie L’origine de cette affection est inconnue, mais des causes traumatiques, inflammatoires ou infectieuses ont été citées comme causes potentielles (Ainsworth et al., 2004 ; Parente, 2010) ; une contamination virale ou bactérienne suite à un traumatisme serait l’hypothèse la plus probable (Garrett et al., 2013).
Notons que la chirurgie réparatrice du larynx (accrochement de l’épiglotte, laryngoplastie) serait un potentiel facteur de risque, de part le traumatisme ou l’inflammation générés (Garrett et al., 2013).
 Signes cliniques La chondrite des aryténoïdes est à l’origine d’une obstruction des voies respiratoires, du fait de l’épaississement et éventuellement du déplacement axial d’un ou des deux cartilage(s) aryténoïde(s) (Garrett et al., 2013). Bien que l’affection soit souvent unilatérale, elle devient progressivement bilatérale du fait du contact entre les deux cartilages aryténoïdes (Haynes et al., 1980).
Cette obstruction des voies respiratoires s’exprime par une intolérance à l’effort et un bruit inspiratoire de type sifflement (Haynes et al., 1980), s’expliquant par le rétrécissement parfois marqué de la rima glottidis, laissant alors passer un mince filet d’air. D’autres signes cliniques sont rapportés, tels qu’une toux provoquée par compression de la trachée, ou un larynx plus souple à la palpation. Dans les cas plus graves, de la dyspnée voire un bruit de sifflement au repos seront observés (Barakzai, 2006). L’apparition de ces signes peut être soudaine et marquée ou insidieuse et progressive (Rush et al., 2004).
 Diagnostic Examen endoscopique L’endoscopie au repos est l’examen de choix pour mettre en évidence une chondrite des aryténoïdes .
Une atteinte modérée est caractérisée par une distorsion et un épaississement du cartilage, associée ou non à des ulcérations du corps du cartilage ou à des granulomes faisant protrusion dans la lumière du larynx. Une atteinte plus importante est marquée par un cartilage immobile et dévié axialement ; il est facile de confondre ces cas de chondrite des aryténoïdes avec une neuropathie laryngée récurrente, mais la plupart du temps, la chondrite est associée à des granulomes, ulcérations ou déformations majeures du processus corniculé atteint. Il est fréquent d’observer cette anomalie associée à un déplacement rostral de l’arc palato

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Table des matières

TABLE DES FIGURES
TABLE DES TABLEAUX
TABLE DES ANNEXES
LISTE DES ABREVIATIONS
INTRODUCTION
1E PARTIE : ANATOMIE ET PHYSIOPATHOLOGIE DE L’APPAREIL PHARYNGO-LARYNGE CHEZ LE CHEVAL DE COURSE
1.1 Anatomie de l’appareil pharyngo-laryngé chez le cheval
1.1.1 Le pharynx
1.1.1.1 Situation anatomique et conformation externe
1.1.1.2 Conformation interne
1.1.1.2.1 Le nasopharynx
1.1.1.2.2 L’oropharynx
1.1.1.2.3 Le laryngopharynx
1.1.1.3 Musculature
1.1.1.3.1 Musculature intrinsèque
1.1.1.3.1.1 Musculature pharyngée dorsale
1.1.1.3.1.2 Musculature du voile du palais
1.1.1.3.2 Musculature extrinsèque
1.1.1.3.2.1 Musculature de la langue
1.1.1.3.2.2 Musculature de l’appareil hyoïdien
1.1.1.3.3 Musculature du pharynx dans son ensemble
1.1.1.4 Structures lymphatiques
1.1.1.5 Innervation et irrigation
1.1.1.5.1 Système nerveux
1.1.1.5.2 Système artériel et veineux
1.1.2 Le larynx
1.1.2.1 Situation anatomique et conformation externe
1.1.2.2 Conformation interne
1.1.2.3 Squelette cartilagineux
1.1.2.4 Musculature
1.1.2.4.1 Musculature intrinsèque
1.1.2.4.2 Musculature extrinsèque
1.1.2.5 Innervation et irrigation
1.1.2.5.1 Système nerveux
1.1.2.5.2 Système artériel et veineux
1.2 Physiopathologie de l’appareil pharyngo-laryngé chez le cheval de course
1.2.1 Contraintes respiratoires de l’effort fourni par le cheval de course
1.2.2 Adaptations respiratoires de l’appareil pharyngo-laryngé
1.2.2.1 Adaptation mécanique de la respiration
1.2.2.1.1 Adaptation de la mécanique ventilatoire
1.2.2.1.2 Adaptation aux variations de pressions respiratoires
1.2.2.1.3 Influence de la position de la tête et de l’encolure
1.2.2.2 Importance de la charpente musculaire
1.2.2.3 Contrôles neuromusculaires de la respiration
2E PARTIE : AFFECTIONS PHARYNGEES ET LARYNGEES FREQUEMMENT RENCONTREES CHEZ LE CHEVAL DE COURSE
2.1 Méthodes diagnostiques des affections pharyngées et laryngées chez le cheval
2.1.1 Anamnèse et examen clinique
2.1.2 Analyse auditive
2.1.2.1 Quelques clés pour l’analyse auditive
2.1.2.2 Intérêt de l’analyse spectrométrique
2.1.3 Endoscopie respiratoire
2.1.3.1 Au repos
2.1.3.2 A l’effort
2.1.3.2.1 Endoscopie sur tapis roulant
2.1.3.2.2 Endoscopie embarquée
2.1.3.2.3 Comparaison de ces deux techniques d’examen
2.1.4 Echographie laryngée
2.1.5 Radiographie
2.2 Principales affections pharyngées et laryngées rencontrées chez le cheval de course
2.2.1 Affections statiques
2.2.1.1 Déplacement dorsal permanent du voile du palais
2.2.1.2 Neuropathie laryngée récurrente
2.2.1.3 Dysplasie laryngée ou défaut du 4e arc branchial
2.2.1.4 Chondrite des cartilages aryténoïdes
2.2.1.5 Affections de l’épiglotte
2.2.1.5.1 Hypoplasie de l’épiglotte
2.2.1.5.2 Flaccidité de l’épiglotte
2.2.1.5.3 Kystes sous-épiglottiques
2.2.1.5.4 Frein sous-épiglottique
2.2.1.5.5 Epiglottite
2.2.1.5.6 Accrochement permanent de l’épiglotte
2.2.1.6 Hyperplasie lymphoïde pharyngée
2.2.2 Affections dynamiques
2.2.2.1 Déplacement dorsal intermittent du voile du palais
2.2.2.2 Instabilité palatine
2.2.2.3 Collapsus des cartilages aryténoïdes et des cordes vocales = Collapsus laryngé dynamique
2.2.2.4 Déviation axiale des replis ary-épiglottiques
2.2.2.5 Accrochement intermittent de l’épiglotte
2.2.2.6 Rétroversion de l’épiglotte
2.2.2.7 Collapsus pharyngé
3E PARTIE : ETUDE DE PREVALENCE DES AFFECTIONS PHARYNGEES ET LARYNGEES CHEZ LE CHEVAL DE COURSE ET IMPACT SUR LES PERFORMANCES
3.1 Etude de prévalence des affections pharyngées et laryngées chez le cheval de course
3.1.1 Prévalences comparées des affections pharyngées et laryngées selon diverses études
3.1.1.1 Prévalences comparées des affections au repos
3.1.1.2 Prévalences comparées des affections à l’effort
3.1.2 Etude de prévalence des affections pharyngées
3.1.2.1 Prévalence des différents grades d’hyperplasie lymphoïde
3.1.2.2 Prévalence du DDSP au repos et à l’effort
3.1.2.3 Prévalence des différents grades de collapsus pharyngé
3.1.3 Etude de prévalence des affections laryngées
3.1.3.1 Prévalence de la RLN
3.1.3.1.1 Prévalence des différents grades de RLN au repos
3.1.3.1.2 Prévalence des différents grades de RLN à l’effort
3.1.3.1.3 Impact du grade de RLN au repos sur la prévalence du grade de RLN à l’effort
3.1.3.1.3.1 Impact du grade de RLN au repos sur la prévalence du collapsus laryngé à l’effort
3.1.3.1.3.2 Impact du grade de RLN sur la prévalence du VCC
3.1.3.2 Prévalence des différents grades d’ADAF
3.1.3.3 Prévalence des différents grades de flaccidité de l’épiglotte
3.1.4 Etude de prévalence des affections multiples
3.1.4.1 Associations d’affections pharyngées
3.1.4.1.1 Association entre instabilité palatine et DDSP
3.1.4.1.2 Associations impliquant le collapsus pharyngé
3.1.4.2 Associations d’affections laryngées
3.1.4.2.1 Association entre l’ADAF et la conformation de l’épiglotte
3.1.4.2.2 Associations impliquant le collapsus laryngé dynamique
3.1.4.3 Associations d’affections pharyngo-laryngées
3.1.4.3.1 Associations entre la conformation de l’épiglotte et les affections palatines
3.1.4.3.2 Association entre l’ADAF et les affections palatines
3.1.4.4 Bilan des affections multiples
3.2 Etude des facteurs de risque des affections pharyngo-laryngées
3.2.1 Influence des paramètres individuels
3.2.1.1 Influence de la discipline
3.2.1.2 Influence de la race et prédispositions génétiques
3.2.1.3 Influence de l’âge
3.2.1.3.1 Catégories d’âge chez les chevaux de course
3.2.1.3.2 Impact de l’âge sur la prévalence des affections pharyngo-laryngées
3.2.1.3.3 Evolution de la RLN en fonction de l’âge
3.2.1.3.3.1 Evolution entre l’âge de poulain et de yearling
3.2.1.3.3.2 Evolution entre l’âge de yearling et l’âge de 2 ans
3.2.1.3.3.3 Evolution chez l’adulte
3.2.2 Influence de l’effort demandé
3.2.2.1 Impact du type d’exercice demandé lors de l’examen
3.2.2.1.1 Endoscopie embarquée ou sur tapis roulant ?
3.2.2.1.1.1 Comparaison par étude de prévalences
3.2.2.1.1.2 Comparaison par étude du motif de consultation .
3.2.2.1.2 Intérêt des études réalisées en course qualificative
3.2.2.2 Impact de la vitesse et de la distance
3.2.2.3 Effet de la position de la tête et de l’encolure
3.3 Manifestations cliniques des affections pharyngo-laryngées à l’effort et impact sur les performances
3.3.1 Etude des manifestations cliniques des affections pharyngo-laryngées
3.3.1.1 Lien entre les manifestations cliniques et la prévalence des différentes affections
3.3.1.2 Lien entre les manifestations cliniques et la prévalence des affections multiples
3.3.2 Manifestation des affections pharyngo-laryngées par l’apparition d’un bruit respiratoire anormal à l’effort
3.3.2.1.1 Bruit respiratoire anormal à l’effort et affections palatines
3.3.2.1.2 Bruit respiratoire anormal à l’effort et collapsus laryngé
3.3.3 Impact des affections pharyngo-laryngées sur les performances du cheval de course
3.3.3.1 Impact d’une affection pharyngée sur les performances
3.3.3.1.1 Impact d’une affection palatine
3.3.3.1.1.1 Impact sur les performances évalué par l’analyse des paramètres de course
3.3.3.1.1.2 Impact sur les performances évalué suite à une chirurgie correctrice
3.3.3.1.2 Impact d’un collapsus pharyngé
3.3.3.2 Impact d’une affection laryngée sur les performances
3.3.3.2.1 Impact d’une RLN
3.3.3.2.1.1 Impact sur les performances évalué par l’analyse des paramètres de course
3.3.3.2.1.2 Impact sur les performances évalué suite à une chirurgie correctrice
3.3.3.2.2 Impact d’une anomalie de l’épiglotte
3.3.3.2.2.1 Impact d’une hypoplasie de l’épiglotte
3.3.3.2.2.2 Impact d’une flaccidité de l’épiglotte
3.3.3.2.2.3 Impact d’un accrochement de l’épiglotte
3.3.3.2.2.4 Impact d’une rétroversion de l’épiglotte
3.3.3.2.3 Impact d’une ADAF
3.3.3.2.4 Impact d’autres affections laryngées
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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