Analyse du combat de coqs comme divertissement culturel vers les enjeux économiques

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Présentation des lieux

A Madagascar, surtout à Antananarivo la capitale, l e combat de coqs s’inscrit dans les annales de la vie courante malgache. On ignore le nombre exact de terrains de combats, mais Il y a plusieurs gallodromes, c’est à dire des lieux où l’on pratique les combats de coqs. Ces lieux peuvent accueillir jusqu’à 500 personnes, entre aut res, on peut citer les endroits suivants :
· Ambatoroka.
· Atsofonondry.
· Ambohibao.
· Anosisoa.
· Ambanilalana.
· Andrady Itaosy.
· Ambilanibe.
· By Pass/ Ambohimanga kely.
· Anosizato.
Ces gallodromes8 ont chacun des caractéristiques spécifiques, maiscependant ils ont des points communs : ils se trouvent tous dans les zones populaires, disposant des lieux espacés, aérés, ombragés, au milieu desquels les coqs se trouvent à l’aise, et peuvent circuler librement.
Entre autre, le ring n’a pas de formes fixes propres tantôt il est rectangulaire, tantôt il est circulaire il dépend de la surface disponible surle lieu. Mais en général, les dimensions sont de l’ordre 7×7 m 2 avec ou sans clôture, en barbelés ou en corde.
Les rendez-vous en ces lieux s’organisent régulièrement le mercredi, le jeudi, le vendredi, les week-ends, les jours fériés, et les jours de fête.
Les lieux sus-cités sont tous réputés pour le combat de coqs, mais le plus professionnel, muni d’équipements perfectionnés, c’est le gallodrome d’Anosisoa . En effet, il dispose des infrastructures adéquates comme la clôture, la toiture, des bancs pour les spectateurs, des parkings de voitures, des gargotes. Le cliché numéro 2, illustre nos propos.

La vie de l’animal

Le coq est un oiseau domestique, mâle de la poule, gallinacée originaire de l’Inde, du genre Gallus, ordre de galliformes, famille des phasianidés. Il est constitué d’un bec (robuste, volumineux, pointu),d’une crête(triple, moins développée ), d’un barbillon ou margelle (mince et moins développé ),d’ oreillons (rudimentaires), dedeux yeux (provocants), de cous(musclés, souples ),d’une poitrine (musclée ),d’ ailes (serrées, musclées, solides),d’ écailles, d’ ergots ou éperons, des pattes, d’un bassin, d’un abdomen, d’un dos, d’une queue (massive), de plumes (fines et moins nombreuses).
La vie de l’animal ressemble à celle d’une personne, il a besoin de nourritures , de logement, d’entretien, d’exercice, d’affection, et apte de se reproduire. Mais par contre, lorsqu’ils sont morts, ils sont consommés et non enterrés comme les êtres humains.
Les coqs vivent seuls mâles p armi des groupes de quelques poules. Les coqs ne tolèrent aucun concurrent sur leur territoire et si l’un d’eux s’y aventure, il s’en suit immanquablement un combat mortel. L’intrus vient avec l’intention de supplanter le mâle en place il vient donc pour se battre. Le coq agressé sait que son adversaire s’il était mis en fuite reviendrait plus tard, aussi lorsqu’un combat s’eng age il ne se termine jamais avant la mort. Cette agressivité du coq s’explique notamment par le fait que contrairement à beaucoup d’animaux les accouplements de ces volailles ont lieu toute l’année, sans.
A part cela, la durée d’utilisation du combat de coq peut se définir comme étant la période entre l’âge au premier combat et le moment ou il cesse de combattre (de 2 à 3 ans)
Le poids peut varier de 1à 7 kg et comme n’importe quel combat, il y a différentes catégories :
· Petit.
· Moyen.
· Mi-lourd.
· gros.
Chaque éleveur, amateur a ses propres façons d’élever son coq combattant, selon ses moyens et ses possibilités. Cependant, il y a un trait commun pour tous les professionnels : les coqs et les poules ne sont pas mis dans la même loge. Les coqs adultes combattants ont leur propre loge, il y a un abri collectif pour les poules et les poussins et aussi des loges pour les poules entrant en couvaison. Ces loges sont toutes ombragées avec des accès faciles, des terrains espacés, ensoleillés pour faire prendre de l’exercice, et pour offrir un bain de soleil.
L’élevage de coqs est une véritable passion et sedifférencie avec celui des simples poulets de chair ou de races rustiques destinés à la consommation.

Sélection des reproducteurs

Le coq sous le nom scientifique ‘’Gallus’’ est un oiseau terrestre car ses ailes lui donnent une petite capacité de vol, ses pattes font de luiun bon coureur. Il existe trois sortes de coqs ; d’une part les coqs de combat qui pèsent entre 1,5 kilogramme à plus de cinq kilogrammes, et d’autre part les coqs domestiques qui pèsent en moyenne entre trois à quatre kilogrammes. Enfin, les poulets de chairs qui sont destinés à la consommation.
Pour le choix des reproducteurs, le coqueleur sélectionne le coq adulte ayant eu des bons résultats, de bonnes performances physiques, du courage et habilité à résister aux des coups lors des combats .Ainsi, ce coq sera le géniteur mâle. Parfois, les coqueleurs font des croisements avec des coqs d’importation (venant de l’ile de La Réunion et de l’ile Maurice) et des coqs locaux, et aussi les pintades.
Pour le choix des poules, soit le coqueleur conserve quelques poulettes ayant la même race et la même couvée que le coq, soit il fait deséchanges ou emprunts auprès des autres coqueleurs de confiance, et de préférence, des poulettes acquises hors d’Antananarivo. Pour d’autres cas, il achète des œufs dont ils connaissa ient l’origine et les qualités.
Ici, la concurrence oblige, à pousser les coqueleur s à faire tous leurs moyens possibles pour obtenir un vrai combattant, un coq de race (c’est-à-dire un coq ayant son pedigree 11, un pur sang, ayant de la chair rouge). De ce fait, ils osent acheter un coq vainqueur à 2 500 000 mille (500 000 ariary) voire même plus, et avec une poule de 100 000 mille (20 000 ariary) et plus.
Puisqu’ un vrai combattant est un coq de très belle race qui se caractérise par ses capacités de vol, par la conservation de son équilibre, par son courage (il ne fuit jamais son adversaire même s’il est sérieusement et gravement blessé), par son style, et par sa rapidité.
Enfin, jamais un bon coqueleur ne dira ses propres critères de sélection de reproducteurs. Ceci étant un grand secret, donc un moyen de défens contre les adversaires potentiels. Le secret est un élément caractérisant la communauté des coqueleurs. Il permet à la fois de maintenir une cohésion et de tenir à l’écart l’ensemble du corps social menaçant.

La couvaison, l’éclosion

La poule pond environ une dizaine d’œufs, les couve œufs sont placés dans un endroit sec ou à l’abri de malintentionnées, des rats, des chiens pendant (21) vingt et un jours. Les l’humidité, loin des personnes.
Lors des couvaisons, on les met dans une « soubique » ou dans un incubateur pour que les œufs soient chauds et ne deviennent pas des «lamokany».
Apres vingt et un jours, l’éclosion se fait petit à petit, et les poussins sont mis au chaud, soit dans une couveuse soit avec leur mère puisqu’ils sont sensibles au froid et aux animaux tels que les chats, les oiseaux, qui les effraient et parfois les capturent. Lorsqu’ ils commencent à avoir des plumes, au bout de quelques mois, ces plumes sont complètes et on aperçoit déjà leurs différentes couleurs c’est-à-dire que : les plumes commencent à pousser à partir de quelques mois, et on peut apercevoir,
Les couleurs « Masira» c’est-à-dire qu’il y a troi s couleurs (jaune, blanche,).
Les couleurs « Volombohirana» c’est-à-dire de coule ur à base gris .
Les couleurs rouges, puis il y a aussi les couleurs noires .
Les couleurs « Tsatsaka» c’est-à-dire les plumes so nt blanches avec des taches rouges .
Les couleurs « Mavolamba» c’est-à-dire de couleur jaune .
Enfin diverses couleurs peuvent être rencontrées etdivers type de plumes aussi (exemples de coloris : Acajou, Barré, barré crayonné doré, blanc, blanc herminé noir, bleu, caille, chamois, coucou, doré liseré noir, gris perle, fauve à queueargenté , tricolore, doré saumoné blanc ou pile, porcelaine……. ).
En général, les coqs emplumés sont des coqs de vitesse alors que les coqs à plumes courtes et proches du corps sont des coqs d’endurance.

La préparation au combat

La saison de combat se situe en général entre le mois d’avril et le mois d’octobre, soit entre le début de la saison froide et sèche et celui de la saison chaude et humide. Mais avant de livrer le coq au combat, le coqueleur va lui prodiguer et imposer des soins nécessaires et des exercices qui feront de lui un véritable athlète combattant.

La préparation loyale

Cette préparation destinée au coq se fait par étapes. En premier lieu, lorsque le coq est plumé ou ‘’tonga volo’’, le propriétaire le livre à un combat à essai qui dure 20 minutes afin de voir s’ils sont capables de mener une carrière complète. Après 21 jours, il subit de nouveau un second essai dit ‘’Tsapaina’’ dont la duré est de 30 à 45 minutes. Chaque combat d’entrainement verra sa durée augmenté petit à petit, pour que le coq puisse mieux gérer ses efforts, et pour ses occasions les ergots sont mouchetés pour éviter les blessures. Une semaine après, on enlève les cicatrices, et puis tous lessoirs, le coq est massé et frictionné.
Pendant cette préparation, le coq subit des entrainements et des exercices afin d’en faire un combattant aguerri. Tous les matins, ces exercices durent entre dix à vingt minutes. L’éleveur cherche principalement à développer la force des jambes, le sens de l’équilibre, et le souffle. Ainsi, le coq doit parvenir à faire 15 kilomètres de marche par jour. Et selon nos informateurs, il existe huit exercices obligatoires pour chaque coq, notamment :
1- Exercices d’assouplissement, balloter le coq de gauche à droite et de l’avant vers arrière (100 fois).
2- Une série de pompes.
3- Assouplissement du cou, c’est à dire secouer la tête de haut en bas et de gauche à droite.
4- Le travail de choc – c’est-à-dire gifler passablement la tête.
– c’est-à-dire tapoter la poitrine.
5- Le travail de combat avec une série de griffades.
6- Le travail de résistance – tenir le coq par ses ailes pendant quelques minutes.

La préparation déloyale

Bien des trafics déloyaux se font durant la préparation ou pendant le match même.
D’une part, il y a le dopage, un fait qui consiste à doter le coq d’une énergie supplémentaire. Le plus utilisé c’est la vitamine omplexec B, la vitamine K1anti hémorragie qui s’injecte quatre jours avant le match.
D’autre part, il y a l’empoisonnement, c’est-à-dire que les coqueleurs vont chez les sorciers ou ‘’mpisikidy’’ pour essayer de trouver des substance s volatiles afin d’enivrer et d’étourdir son adversaire lors du combat, de réussir les attaques, de prévenir les mauvais sort c’est-à-dire les contré. Parfois, ils mettent des poudres blanches ous l’aisselle du coq, les plumes sont aspergés d’eau sacré, faire absorber aux coqs une infusion de « somorona » (lycopode) 13 . Ainsi, le coqueleur cache le système rituel au moment ou ils venaient assister au combat.

Manifestation de la vie sociale

· Akoholahy nitelin-koto: mahay mitelina, tohan’nyaina; tsy mahay, singotry ny lela.
Un coq sachant bien avaler de l’étoupe, s’en nourrira, mais s’il ne peut l’avaler, elle lui fera tourner la langue.
· Akoholahy sy masoandro: mifamotoan-tsamy lavitra.
Le coq et le soleil, se donnent rendez-vous, quoique bien éloignés l’un de l’autre.
· Akoholahy tokana an-tanambe : ny miady tsy anina fa ny kopakopaka elatra tsy azo avela. Un seul coq dans un village n’a pas d’adversaire à combattre mais ses instincts, ses comportements et ses gestes habituels se traduisant par des battements d’ailes.

Manifestation de la vie sexuelle

· Akoholahy mikohokoho vavy : tsy hanin-kahavoky fa voninahitra ifanomezana Ceci montre le comportement et les gestes affectéespar le coq lorsqu’il voit une poule, et à ceci, on insinue la galenterie.
· « Akoholahy fahavaratra : rebarebany ihany ».
En été, la nourriture est difficile à trouver et lecoq ne peut pas aller trop loin pour en chercher. D’où, la chute de poids et même du pouvoir fécondant des spermes du coq, quoique son comportement social reste bien exprimé par le chant. Ceci exprime une certaine vanité.

Manifestation du comportement des coqs (poules, poussin)

« Sakafon’akoho ka vitan’ny tsindroka ihany».
Ce proverbe marque la forme traditionnelle de l’élevage des poules qui se contente des aliments picorés dans la nature comme habitude alimentaire.
« Tsy vantotr’akoho Baranahiny aho, fa Vorombazaha misy mpiandry » , Je ne suis pas un poulet qu’on laisse libre sans soin dans la nature, mais un canard qui a un gardien. Se dit en général des jeunes filles, femmes qui, demandées enpariage à l’insu des parents (ou courtisées), répondent assez farouchement. « Ny akoho no tsy mba nanidina, tsy nahandry ny andro zoma ».
Ce qui explique le caractère impatient du coq.
Les Malgache pensent qu’on ne doit pas cuire dans une même marmite la tête et les pattes d’un coq (poulet) car ceci porte malheur. Au fait, un adage Malgache dit « Mahandro iray vilany loha sy tongotr’akoho mahafaty tanora ».

Les vocabulaires et expressions empruntées au coq

Au chant du coq: au point du jour.
Comme un coq en pâte : être choyé, à l’aise, sans souci.
Passer du coq à l’âne : passer sans raison d’un suj et à l’autre.
Coq du village : c’est l’homme le plus admiré des femmes.
Etre fier comme un coq : être très fier.
Coq au vin : un plat préparé à partir de ce volatile, cuit avec du vin rouge.
Coq gaulois : un des emblèmes de la nation française, en référence aux Gaulois redoutables guerriers pendant la période de l’Antiquité.
Le poids coq est une des catégories de boxe, sportde combat.
Coq est un cuisinier sur un bateau.
Coq est aussi une constellation de l’hémisphère sud.
Coq est enfin un logiciel assistant de preuve.

Approche symbolique et fonctionnelle du coq et du coq guerrier

Aux yeux des humains, beaucoup de plantes et d’animaux ont en plus de leur identité ordinaire une riche signification symbolique. Ainsi, dans ce deuxième chapitre, quatre grands points vont être développé.

La consommation

Dans tous les cas, plusieurs interprétations sont données à la consommation du coq :
Premièrement, dans la vie sociale Malgache, le repas en famille autour d’un petit feu est sans doute l’évènement le plus important. Et lorsqu’il y a un évènement à fêter où il y a un invité, la famille n’hésite pas à tuer un coq ou une poule afin de rendre hommage aux invités et de resserrer les liens familiaux. Ainsi, le croupion est toujours destiné au père de famille ou aux ainés aux vieillards parce que c’est un signe de respect et d’honneur , la tête est par contre destinée aux orateurs, les pattes et le cou reviennent aux ‘’mpanandro’’ ou devin
Deuxièmement, les coqs morts lors d’un combat sont aussi destinés à la consommation, et dans ce cas, c’est la famille du coqueleur qui les mange et non le coqueleur. Ainsi, il resserre les liens familiaux (Le combat de coq est une activitépratiquée en famille car même si c’est le père de famille qui pari au combat, c’est toute la famil le qui prend soin quotidiennement).
Troisièmement, une mère qui vient d’accoucher a besoin d’un régime spécial pour se récupérer rapidement. Selon Louis Mollet ’’ elle reçoit une nourriture abondante de riz appelé ‘’solon-jaza’’, destinée à remplir, en elle, le vid e laissé par la naissance, ainsi que du bouillon de ‘’patsa’’, crevettes d’eau douce séchées, cuites dans beaucoup d’eau, qui ont la réputation de provoquer une abondante lactation, du bouillon de poulet, des kitoza, mais pas de légumes verts’’ 25.
En quatrième lieu, il est aussi indispensable de noter dans cette étude anthropologique que, depuis longtemps : « on peut aussi utiliser les coqs pour empoisonner quelqu’un, ou cibler quelqu’un a une maladie quelconque voire même la mort » (c’est-à-dire faire absorber aux coqs des graines, des feuilles prescrites par les sorciers, soit on masse le coq avec le foie du « tarondro26 Vato ». quelques minutes après qu’on ait avalé la chair on devient malade ou en meurt). En général, la mauvaise foi se cache sous uiseg de cadeau ou de donation. En effet, faire don d’un coq signifie un souhait de bon rétablissement, ou juste comme simple une habitude, ceci est observé dans les hautes terres et les Betsileo 27.
Enfin, pour le cas des enfants âgés de trois mois, la première personne à laquelle un enfant rit doit lui faire cadeau d’une poule, un coq, en signe de reconnaissance : le sourire de l’enfant est un peu partout de bon présage. Seulement il ne faut pas qu’il y ait la moindre contestation possible. En certains endroits, on exige même, avant d’accepter le cadeau, qu’il y ait eu trois sourires successifs.
Le don fait par la personne favorisée des bonnes grâces de l’enfant est en même temps destiné à l’empêcher d’être inconstant dans ses affections. C’est un vrai lien établi entre le donateur et celui qui reçoit l’offrande. Pour certa ines personnes riches, ils ne se contentent pas, d’ailleurs, de donner simplement une poule, un coq, on apporte un mouton, un bœu.

Les sacrifices ou les rites

Le coq n’est pas seulement une richesse facilement convertible en argent, il est surtout un animal sacré. Le coq a un sens symbolique profond,il annonce l’aube donc l’arrivée de la lumière. Par extension, il est celui qui annonce la libération, le passage des ténèbres à la clarté.

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Table des matières

Première partie : contexte socio-historique
Chapitre 1 : les éléments historiques
1-1 Le combat de coqs dans le monde
1-2 La diffusion du combat de coqs à Madagascar
Chapitre 2 : La manifestation du combat de coqs
2-1 La présentation des lieux
2-2 La vie de l’animal
2-2-1 L’alimentation
2-2-2 Les soins
2-3 La sélection des reproducteurs
2-4 La couvaison, l’éclosion
2-5 La préparation au combat
2-5-1 La préparation loyale
2-5-2 La préparation déloyale
2-6 Etude comparative « combat de coqs en République Dominicaine et à l’ile de la réunion »
2-7 Les proverbes relatifs aux coqs
2-7-1 Manifestation du combat de coqs
2-7-2 Manifestation de la vie sociale
2-7-3 Manifestation de la vie sexuelle
2-7-4 Manifestation du comportement des coqs en général
2-7-5 Les vocabulaires et expressions
Deuxième partie : Le combat de coqs
Chapitre 4 : Analyse du combat de coqs comme divertissement culturel vers les enjeux économiques
4-1 Le jeu et le spectacle
4-2 Le déroulement du combat
4-3 Le coq comme axe des échanges
4-4 Les paris
Chapitre 5 : Approche symbolique et fonctionnelle du coq
5-1 La consommation
5-2 Les sacrifices
5-3 L’équipe de France et le coq rouge
5-4 Le coq, le reflet de l’homme
Troisième partie : L’avenir su combat de coqs
Chapitre 6 : Situations et perspectives ..
6-1 L’homme et le coq
6-2 Le combat de coqs comme compétition nationale
6-3 Les nouvelles formes du combat de coqs
6-4 Les perspectives
Conclusion général
Bibliographie

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