ANALYSE DE LA THEORIE DE L’ENDETTEMENT DANS LA THEORIE DU DEVELOPPEMENT

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ADAM SMITH

L’accroissement de la dette anglaise a poussé Smith à croire que la dette est nuisible à l’économie et ne devraient pas être encouragée. Il affirme que ce n’est que du gaspillage car elle enlève à l’industrie et au commerce les capitaux dont ils ont besoin pour faire progresser la production et le commerce. En outre, l’emprunt public encourage le souverain à des dépenses inutiles et favorise son irresponsabilité. Cet auteur conclut donc que : « l’industrie du pays déclinera nécessairement avec le départ des capitaux qui la soutenaient ; la ruine du commerce et des manufactures suivra nécessairement le déclin de l’agriculture »(3).

JEAN BAPTISTE SAY

Suite à l’accroissement de la dette française, Say pense que la dette alimente la consommation publique qui, tout comme la consommation individuelle, est destructrice de richesse et de valeur. Celui-ci préconise donc la limitation de l’emprunt public à la limite du problème de paiement des intérêts. « Il serait mieux pour le public que les capitaux restent inactifs, ou cachés ; puisque, si le public en perdait l’utilisation, au moins, il n’aurait pas à en payer les intérêts »(4). Donc, d’après lui, même si l’emprunt sert au financement des travaux d’intérêt général, il présente encore des dangers et on lui préférera à un capital inactif.

RICARDO

La dette anglaise a poussé Ricardo a considéré la dette comme : « l’un des plus grands fléaux qui ait jamais été inventé pour affliger une nation »(5). Quoique, plus tard, il demande à ce qu’on compare les situations de différents pays et on tienne compte de la manière dont sont utilisés les revenus nets des transferts annuels des intérêts du débiteur au créancier. Il s’agit à ce moment-là de savoir si la situation interne du pays ne subit pas de préjudice. S’il n’y a pas d’effet négatif grave, on pourra considérer que l’économie n’a rien perdu. Ricardo semble soutenir que l’existence de la dette ne suffit pas à elle seule à placer la nation dans une position particulièrement désavantageuse par rapport aux autres pays, et le vrai problème pour lui reste celui de la nature du transfert. Il affirme également que « même s’il n’y a pas de perte de capitaux au niveau global, les impôts qui seront éventuellement levés pour payer les intérêts encourageront chaque contribuable individuel à se décharger du fardeau et la tentation de partir, lui et ses capitaux, dans un autre pays, où il sera exempté de telles tâches, devient irrésistible, et vaine la répugnance naturelle que ressent tout homme à quitter l’endroit où il est né et la scène de ses premières fréquentations…ce qui est sage pour un individu est aussi sage pour une nation »(6).

STUART MILL

Pour Mill, il s’agit de déterminer un indice permettant de dire si un emprunt de l’Etat a eu ou non des conséquences nuisibles. L’emprunt est nuisible dès lors qu’il détruit des capitaux qui autrement auraient pu être utilisés d’une manière productive. Il précise donc les conditions dans lesquelles l’emprunt n’est pas nocif. Il en est ainsi lorsque « l’emprunt consiste en des capitaux étrangers, puisqu’il y a une énorme accumulation des capitaux dans le monde, ou lorsque ce sont des capitaux qui soit n’auraient pas été épargnés si ce mode d’investissement n’avait pas été possible, soit auraient été gaspillés, après avoir été épargnés dans les entreprises improductives, ou qui auraient cherché à s’employer à l’étranger »(7).

LA THEORIE DES TRANSFERTS INTERATIONAUX

L’analyse de l’emprunt chez les libéraux résulte de la préoccupation de ceux-ci des règlements de la dette de guerre allemande envers la France en 1919. Ils remarquent en fait que les transferts correspondent à un flux additionnel sans contrepartie qui provoque des déséquilibres de la balance des paiements.
Dans ce chapitre, nous allons montrer que les transferts internationaux provoquent des déséquilibres de la balance des paiements. Ainsi, on verra dans les sections qui suivent ce que les auteurs tels que Rist, Keynes et Ohlin en pensent.

RIST

Rist écrit : « les dettes internationales sont réglées par des produits »(8). Pour Rist, l’apparition du flux additionnel sans contrepartie, résultant du règlement de la dette, provoque un déséquilibre de la balance des paiements tant chez le créancier que chez le débiteur. Il faudra dès lors compenser ce déséquilibre par un flux réel. L’Allemagne devra donc exporter plus en direction de la France. Donc, pour Rist, le transfert doit être bilatéral pour que la balance des paiements soit en équilibre.

CONTROVERSE KEYNES-OHLIN

La controverse Keynes-Ohlin concerne l’analyse des transferts internationaux de revenu. Les prêts internationaux ne font pas tout à fait partie des transferts internationaux de revenu parce que ceux-ci nécessitent une contrepartie de remboursement. Toutefois, cette analyse de transferts internationaux est nécessaire pour comprendre les effets des prêts internationaux parce qu’ils ont les mêmes effets. Les transferts de revenu affectent la structure de production et de consommation tant chez le débiteur que chez le créancier et ainsi au terme de l’échange. Les deux auteurs tentent donc de savoir par quel mécanisme le flux réel sera suscité. Donc, face au déséquilibre de la balance des paiements, Ohlin propose un mécanisme d’adaptation des flux qui sera contesté par Keynes qui propose un mécanisme d’adaptation des prix.
John Maynard Keynes préconise un effet de transfert(9) c’est-à-dire accroître les exportations et réduire les importations. Ainsi, l’Allemagne pourra payer sa dette. Pourtant, cet effet de transfert engendre une détérioration du terme de l’échange. Ce qui pourrait accentuer encore plus les charges de l’Allemagne. Keynes s’intéresse plus à la capacité de l’Allemagne à rembourser sa dette. A partir de ses analyses, il constate que l’insuffisance des ressources de l’Allemagne est le principal problème de celle-ci et l’empêche de payer sa dette. Il recommande donc trois moyens(10) pour faire face à cette difficulté :
-la cession immédiate de richesses sous l’espèce d’or, de navires et de placement à l’étranger : cette solution représente tout de même des risques à savoir la destruction de la valeur du mark sur les places étrangères ou encore la ruine du système circulatoire allemande ;
-la cession de la valeur des biens situés dans les territoires cédés ou évacués depuis l’armistice : celle-ci permet de mobiliser des ressources afin de se procurer des produits alimentaires et des matières premières pour sa survie ;
-les versements annuels répartis sur plusieurs années, en espèce ou en matières telles que la houille, la potasse, les produits colorants : cela suppose la promotion du commerce extérieur.
En effet, l’Allemagne pourra payer sa dette grâce à ses exportations. Toutefois, il est nécessaire qu’elle diminue ses importations au profit de ses exportations.
Toutefois, Keynes reste sceptique face à la situation de la balance de paiements de l’Allemagne avant la guerre. Il préconise donc une modification de la dépense globale, notamment la consommation et la production. C’est cette réduction qui agira ensuite sur le prix et les termes de l’échange.
Bertil Ohlin, de son côté, affirme que le règlement de la dette entrainera une augmentation du pouvoir d’achat du créancier et donc d’une diminution de celui-ci chez le débiteur. De ce fait, le surplus de pouvoir d’achat du créancier lui permettra d’acheter des marchandises non consommées chez le débiteur. La dégradation du terme de l’échange serait donc limitée parce qu’Ohlin proposait de renforcer ce mécanisme par un accord commercial international. Cet accord autorise l’Allemagne à accroître temporairement ses tarifs douaniers tout en abaissant ceux des autres pays. Il ne s’agit donc, selon lui, que d’une substitution de demande. Ce qui, selon Keynes induira à une baisse de prix. Mais Ohlin, de son point de vue, affirme qu’il n’y a point une variation de l’offre. La baisse des importations permettra de dégager un surplus d’exportation qui à son tour permettra l’apparition du surplus dans la balance des paiements du débiteur et la dette sera ainsi payée(11).

ANALYSE DE LA THEORIE DE L’ENDETTEMENT DANS LA THEORIE DU DEVELOPPEMENT

Dans ce chapitre, nous allons montrer que le phénomène d’endettement est lié au développement. Ainsi, on verra dans la première section le contexte d’analyse de la théorie de l’endettement dans la théorie du développement, dans la deuxième section, on verra l’appréciation de cette analyse et enfin dans la dernière section, on verra la conclusion de l’analyse.

Contexte d’analyse

Cette analyse théorique s’intéresse surtout à l’économie des colonies après la Deuxième Guerre Mondiale c’est-à-dire comment intégrer au mieux les colonies à la métropole et en faire bénéficier leur croissance économique ? Il s’agit ici d’analyser les causes des retards et blocages des économies sous-développés pour ensuite proposer des politiques économiques de développement.
Dans cette perspective, Boeke et François Perroux définissent les caractéristiques d’une économie sous-développée. Boeke, en s’intéressant aux problèmes économiques des Indes néerlandaises, établi un concept de dualisme(12). En effet, l’existence d’un secteur à la fois traditionnel et moderne caractérise une économie sous-développée. François Perroux, de son côté, explique l’économie sous-développée comme une économie désarticulée(13) : existence d’un secteur moderne capitalistique et d’un secteur traditionnel pré capitalistique où il y a absence de flux monétaires et de relations de prix entre ceux-ci. On ne verra pas les détails mais il est à préciser que c’est ainsi qu’apparaît l’économie de développement. Celle-ci s’intéresse surtout au décalage croissant de la situation économique des pays développés et celle des pays en développement. C’est le cas de l’Europe dont l’économie n’a cessé de croître alors que celle des colonies stagnait.

Le modèle de QUARYUM : l’emprunt est générateur de capital

Ce modèle se base sur la théorie des écarts ou gap approach(14) : combler l’écart qui existe entre besoin d’investissements et épargne locale afin de soutenir par la suite une croissance économique. La théorie des écarts est telle que l’épargne intérieure est insuffisante voire inexistante face aux besoins d’investissements. Selon cet auteur, le rôle du capital extérieur est de combler cet écart qui existe entre épargne interne et besoin d’investissements mais en même temps d’aider à la croissance économique. Mais deux conditions s’imposent. D’une part, il est nécessaire d’évaluer le déficit à combler de manière à ce que le volume de l’emprunt corresponde à la capacité d’absorption de l’emprunteur. D’autre part, il faut que le déficit soit complémentaire aux ressources internes de façon à ce que le capital emprunté aide au développement du capital interne. En gros, il faut que les emprunts soient complémentaires à l’épargne interne. En effet, le capital emprunté entrainera par son effet sur la croissance, l’accroissement de l’épargne interne. Cette croissance se substitue petit à petit à la dette jusqu’à ce que celle-ci devienne nulle. Le modèle de Quaryum estime donc le rôle de la dette extérieure comme générateur du capital interne. Il montre que la dette a un caractère ambivalent : elle peut être un instrument pour développer l’épargne interne mais également un facteur de blocage de la formation du capital interne. Un effet positif d’une politique d’investissement serait donc similaire à un rendement optimal des flux financiers résultant des emprunts.

Le modèle LOSER-PELTIER

C’est un modèle de gestion de la dette sous la contrainte de l’équilibre extérieur. Le modèle de Loser montre le rôle de l’emprunt extérieur comme facteur de stimulation de la croissance et la manière dont la politique d’endettement doit se combiner aux autres mesures de politique économique pour assurer le développement économique du débiteur. Il analyse comment assurer la croissance économique d’un pays tout en assurant le service de la dette.
Loser élabore alors une stratégie de croissance de l’économie débitrice à savoir le développement de l’exportation et la substitution des importations. Le financement extérieur pouvant être fait de deux façons possibles(15) : soit le débiteur emprunte indéfiniment, soit il emprunte sous contraintes notamment la limitation du volume des emprunts ou encore les conditions d’emprunt. Dans tous les cas, la balance des paiements s’ajustera aisément. En ce qui concerne les emprunts illimités, il est nécessaire de bien déterminer l’allocation des ressources : investissement, consommation ou autres financements domestiques. Sinon la balance des paiements ne s’équilibrera pas. En bref, ce sont les flux de capitaux venant de l’extérieur qui compensent la détérioration de la balance des paiements. D’une manière générale, d’après Loser, plus grande est la proportion du transfert utilisée pour l’accroissement de l’investissement, plus grande aussi sera la croissance du revenu national. Mais pour cela, il faudra que la productivité du capital emprunté excède les charges de l’emprunt et que seule une faible partie du revenu serait consacrée au remboursement des emprunts.

ANALYSE HISTORIQUE DE L’ENDETTEMENT EXTERIEUR

Dans cette deuxième partie, nous allons démontrer que l’endettement extérieur constitue une charge pour les pays en développement. Ainsi, nous verrons d’abord dans le premier chapitre l’origine de l’endettement extérieur. Ensuite, on verra l’histoire de l’endettement de Madagascar dans le second chapitre.

ORIGINE DE L’ENDETTEMENT EXTERIEUR

Dans ce chapitre, nous allons montrer les origines de l’endettement extérieur et les problèmes liés à celui-ci. Ainsi, on verra dans la première section la genèse de l’endettement extérieur. Ensuite, on verra dans la deuxième section les facteurs de l’endettement des pays en développement. Enfin, les problèmes de l’endettement seront évoqués dans la troisième et dernière section.

Genèse de l’endettement extérieur

Le phénomène d’endettement a généralement débuté dans les pays développés. Il se développa petit à petit en Europe au XVIème siècle, notamment avec l’afflux d’or en Amérique Latine.
Au XIXème siècle, ce même phénomène est lié à l’expansion industrielle de la Grande Bretagne. La Grande Bretagne, qui, à cette époque, était la première puissance industrielle. C’est ainsi que se développent les places financières notamment la Place Londres(16), l’apparition des Bourses, l’émission de titres étrangers garantis par l’Etat et l’accélération du processus d’investissement international. En effet, l’Angleterre détenait des créances sous forme de titres publics garantis par l’Etat sur d’autres pays européens et certains pays de l’Amérique. Ce mouvement de prêts internationaux favorise le développement des chemins de fer et l’exploitation des pays neufs.
Au XXème siècle, notamment après la Première Guerre Mondiale, on observe des mouvements d’emprunts des pays européens sur le marché américain. On note particulièrement la dette de guerre allemande, emprunt pour financer la reconstruction de l’Allemagne après la guerre.
Après la crise de 1929, l’apparition du marché international de capitaux favorise le phénomène d’endettement. Le marché international des capitaux est le lieu où on prête et emprunte des devises. Dans ce sens, on note des prêts accordés aux européens par les Etats-Unis dans le cadre du Plan Marshall. Le mouvement s’étend ensuite dans les pays de l’Est.
A cette époque, l’endettement ne posait pas de problèmes particuliers. En général les dettes contractées par les pays débiteurs ont servi à financer l’après-guerre. Par contre, c’est l’endettement des pays en développement qui pose problème. Y aurait-il une différence de nature entre la dette extérieure des pays développés et celle des pays en développement.

Facteurs de l’endettement dans les pays en développement

C’est à partir de la Deuxième Guerre Mondiale que l’endettement des pays en développement s’évolue. A force d’accumuler des emprunts, ces pays sacrifient leur objectif de développement. Et pourtant, malgré les risques liés à ces emprunts, on observe toujours des mouvements de capitaux vers ces pays. Ainsi, les prêts nouvellement octroyés servent à rembourser les dettes antérieures. Or, ce phénomène va au-delà de la théorie de l’endettement qui affirme que les flux de capitaux vers les pays en développement ont une incidence positive sur les économies débitrices : aider à la croissance et au développement de l’épargne interne.
On peut ainsi observer une contradiction entre théorie et faits.
Il faut donc préciser que la situation d’endettement des pays en développement ne peut être comparée à celle des pays développés au XIXème siècle.
Dans cette section, nous allons démonter les causes de l’endettement dans les pays en développement. Ainsi, on verra que les causes de cet endettement sont l’expansion industrielle du XIXème siècle et le désir de modernisation des pays en développement, l’expansion coloniale du XIXème siècle et le choc pétrolier de 1973.
 Expansion industrielle en Europe au XIXème siècle et désir de modernisation des pays en développement :
Au XIXème siècle, l’endettement des pays en développement est d’abord lié à l’expansion industrielle en Europe. En effet, pour leur industrialisation, les pays d’Europe avaient besoin de matières premières. Ces matières premières, on ne les retrouvait que dans les pays en développement. De ce fait, les européens dirigeaient des flux vers les pays en développement afin d’assurer la continuité de l’approvisionnement en matières premières, utiles aux industries européennes. C’est ainsi que se développa les chemins de de fer, les équipements portuaires et routiers nécessaires à l’écoulement des produits.
Par ailleurs, l’endettement des pays en développement est également lié au désir de modernisation de ces derniers.
Exemples :
-Les emprunts latino-américains qui furent les premiers emprunts en 1820. Ces emprunts étaient utilisés pour mettre en place des infrastructures de base, pour les activités minières et pour les exportations agricoles. Dès 1825, l’encours global de la dette latino-américaine s’élève à 21 Millions de Livre en ce qui concerne le Brésil, l’Argentine, le Mexique, le Chili, le Pérou et le Guatemala. Cet encours s’accroît jusqu’à 200 Millions de Livre entre 1870 et 1875(17).
-Les emprunts de l’Egypte qui s’élèvent à 50 Millions de Marks entre 1845 et 1853 pour financer les travaux de barrage de Saliouths destiné à l’irrigation. Sa dette s’accroît jusqu’à 340 Millions de Marks en 1863(17).
-Les emprunts de la Turquie d’un montant 5 Millions de Livres Turques en 1858 si ils étaient de 218 Millions de Livres Turques en 1875 en vue de la construction du réseau ferroviaire turc(17).

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : ANALYSE THEORIQUE DE LA DETTE EXTERIEURE DANS LA PENSEE ECONOMIQUE
CHAPITRE I : ANALYSE DES CLASSIQUES
Section 1 : ADAM SMITH
Section 2 : JEAN BAPTISTE SAY
Section 3 : RICARDO
Section 4 : STUART MILL
CHAPITRE II : LA THEORIE DES TRANSFERTS INTERATIONAUX
Section 1 : RIST
Section 2 : CONTROVERSE KEYNES-OHLIN
CHAPITRE III : ANALYSE DE LA THEORIE DE L’ENDETTEMENT DANS LA THEORIE DU DEVELOPPEMENT
Section 1 : Contexte d’analyse
Section 2 : Appréciation de l’analyse
Section 3 : Conclusion
CHAPITRE IV : QUELQUES MODELES
Section 1 : Le modèle de QUARYUM : l’emprunt est générateur de capital
Section 2 : Le modèle LOSER-PELTIER
PARTIE II : ANALYSE HISTORIQUE DE L’ENDETTEMENT EXTERIEUR
CHAPITRE I : ORIGINE DE L’ENDETTEMENT EXTERIEUR
SECTION 1 : GENESE DE L’ENDETTEMENT EXTERIEUR
SECTION 2 : FACTEURS DE L’ENDETTEMENT DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT
SECTION 3 : PROBLEMES DE L’ENDETTEMENT
CHAPITRE II: HISTOIRE DE L’ENDETTEMENT DE MADAGASCAR
Section 1 : Les origines de l’endettement de Madagascar
Section 2 : Les résultats de la politique d’endettement
Section 3 : Les alternatives à l’endettement
CONCLUSION

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