Analyse de la réponse de Thomson et des objections de Finnis 

Le droit à la vie comme droit naturel

Dans l’analyse précédente, on critique la Position extrême dans laquelle la vie de la femme est en danger. Or, il y a certaines femmes qui veulent avoir accès à l’avortement alors que leurs vies ne sont pas en danger. Thomson propose une analyse différente pour ces situations, car elles sont plus controversées que celles que l’on rencontre dans la Position extrême et requièrent une analyse plus approfondie. Son analyse s’ appuie sur une conception du droit dans laquelle le droit de décider ce qu’ il advient de son corps et le droit à la vie sont fondamentaux.
Bien que Thomson ne présente pas sa position dans ces termes, l’analyse qu’elle propose montre de manière évidente une distinction entre ce que l’on nomme «un droit naturel» (ou un droit négatif) et un droit positif. Pour présenter ceux-ci brièvement, un droit naturel est un droit qui implique que l’on doit s’abstenir de poser des gestes qui causent un préjudice à ce que le droit protège. Par exemple, puisqu’une personne a un droit à la vie, on n’a pas le droit de poser des gestes qui peuvent provoquer la mort de cette personne comme lui tirer dessus avec une arme à feu ou lui trancher la gorge. Alors qu’un droit positif implique que l’on doit poser des gestes pour garantir à une personne ce que le droit protège. Par exemple, si le droit à la vie est un droit positif, on peut avoir le devoir d’intervenir pour donner à une personne qui possède ce droit, les choses dont elle a besoin pour vivre comme de la nourriture, des soins, un logement etc. Thomson considère que le droit à la vie n’est pas un droit positif et elle propose une autre expérience de pensée pour justifier sa position. Il s’agit de l’expérience de pensée avec Henry Fonda qui est la suivante:
Si je suis très gravement malade et que la seule chose qui sauvera ma vie est que Henry Fonda touche mon front fiévreux de sa main apaisante, alors tout cela ne change rien . Je n’ ai aucun droit à obtenir qu’Henry Fonda pose sa main apaisante sur mon front fiévreux. Il serait vraiment adorable s’il se déplaçait de la côte Ouest pour le faire. Ce serait moins gentil, mais sans doute bien intentionné, si mes amis partaient sur la côte Ouest pour ramener Henry Fonda avec eux. Mais je n ‘ ai pas de droit qui m’autorise à exiger d’un individu qu’ il fasse cela pour moi .
Thomson soutient que l’on ne peut pas réclamer de droit l’aide d’une autre personne. Selon elle, il serait exagéré que le droit à la vie d’une personne implique que nous soyons tous contraints de venir en aide à une autre personne lorsque celle-ci est en détresse, même si lui venir en aide demande des sacrifices importants. Comme l’ont défendu bien des philosophes dans l’ histoire occidentale, Thomson considère que le droit à la vie est un droit naturel. Un droit naturel signifie qu’il est interdit de causer un préjudice à ce que le droit protège. Le fait d’avoir un droit à la vie ne permet pas de justifier que l’on utilise le corps d’une autre personne délibérément si cette personne
n’a pas préalablement donné son consentement. Donc, le droit à la vie du foetus ne lui permet pas d’utiliser le corps de la femme contre son gré. Par ailleurs, le droit de décider ce qu’il advient de son corps est aussi un droit naturel et obliger une femme à venir en aide au foetus contre son gré va à l’encontre de ce droit.
Selon Thomson, une injustice est commIse lorsque le droit d’une personne n’ est pas respecté. Elle illustre sa position dans l’exemple suivant: on donne une boîte de chocolat à deux enfants, cependant l’ainé refuse de partager avec son petit frère. Dans ce cas, l’ainé est injuste envers son petit frère puisque les deux enfants ont tous les deux le droit de réclamer une partie de la boîte de chocolat.23 Par ailleurs, si l’on considère que le foetus n’a pas le droit d’utiliser le corps de la femme sans son consentement, on ne peut pas soutenir que d’ arrêter de venir en aide au foetus Nest une atteinte à son droit à la vie. Pour Thomson, le droit à la vie n’implique pas que l’on ne puisse pas tuer quelqu’un mais bien que l’on ne puisse pas tuer INJUSTEMENT quelqu’un. Pour s’opposer à l’avortement, il faut donc montrer que l’avortement tue injustement le foetus.24 Le fait d’avoir recours à l’avortement n’est pas une pratique injuste, car même si la vie de quelqu ‘un dépend de votre aide en particulier, cela ne lui donne pas le droit d’utiliser votre corps sans votre consentement. De plus, une personne qui utilise votre corps sans votre consentement est injuste, car vous avez le droit de décider ce qui advient de votre corps.

La question de la responsabilité

Pour qu’une personne ait le droit d’utiliser le corps d’une autre personne, il faut que celle ci  lui en ait donné le droit et il est évident que ce n’est pas le cas lorsqu’une femme tombe enceinte à la suite d’un viol. L’expérience de pensée du violoniste proposée par Thomson ressemble l’on ne doit pas tuer INJUSTEMENT quelqu’ un. Comme Thomson utilise l’exemple de l’ autodéfense dans la première partie de son analyse, il est intéressant de voir que dans ce cas, on considère qu’ il est permis de tuer quelqu’un pour sauver sa propre vie. De surcroit, il n’ est pas injuste de tuer quelqu’un pour se protéger dans certaines circonstances et l’action de tuer est acceptable dans certaines circonstances: tuer quelqu’un n’ est pas toujours injuste.
davantage à une situation dans laquelle une femme est tombée enceinte à la suite d’un viol et dans cette situation, il est outrageant que la femme soit forcée de venir en aide au foetus contre son gré, comme il est outrageant que le sauveteur soit forcé de venir en aide au violoniste contre son gré.
Par conséquent, l’expérience de pensée du violoniste permet de soutenir que l’avortement est une pratique moralement acceptable à la suite d’un viol. Cependant, elle ne permet pas de soutenir que l’avortement est une pratique moralement acceptable lorsque la grossesse est le résultat de rapports sexuels consentis.
Certaines critiques s’appuient sur le principe de la responsabilité pour soutenir que puisque la grossesse est le résultat de rapports sexuels consentis, cela permet de justifier que la femme est responsable de la situation du foetus qu’elle porte. De plus, certaines critiques considèrent que puisque la femme sait qu’il est possible de tomber enceinte en ayant des rapports sexuels, cela permet d’établir que la femme a donné au foetus le droit d’ utiliser son corps. Si l’on accepte cette thèse, l’avortement pourrait être considéré immoral (dans le sens du droit de Thomson), puisque le foetus a le droit d’utiliser le corps de la femme enceinte. Thomson anticipe cette critique et afflrme que ce raisonnement permet aussi de soutenir une position un peu plus radicale dans laquelle bien que la vie de la femme soit en danger, elle a tout de même donné le droit au foetus d’utiliser son corps. Par conséquent, le foetus a le droit d’utiliser le corps de la femme enceinte et il ne peut pas être permis d’avorter, même si la vie de la femme est enjeu. Selon cette position, l’avortement est seulement acceptable lorsque la grossesse est le résultat d’un viol.
Thomson utilise d’autres expériences de pensée pour répondre à cette critique. La première expérience de pensée qu’elle présente est la suivante :
Si la pièce est mal ventilée et que j’ouvre la fenêtre pour l’ aérer, et qu’un cambrioleur y pénètre, il serait absurde de dire : «Ah! Maintenant il peut rester! Elle lui a donné le droit d’utiliser sa maison – puisqu’elle est en partie responsable de sa présence à l’intérieur, ayant accompli volontairement ce qui lui a permis d’y pénétrer, en pleine connaissance du Bfait qu’il existe des choses telles que les cambrioleurs, et que les cambrioleurs cambriolent.
Dans cette expérience de pensée, le raisonnement est le suivant: si l’on admet que lorsqu’une femme a des rapports sexuels, elle donne implicitement au foetus le droit d’ utiliser son corps; il faut aussi admettre que lorsque l’on laisse la porte de sa maison ouverte, on donne implicitement à un voleur le droit d’entrer. Or, on n’a pas l’intuition de donner à un voleur le droit d’ entrer lorsque l’on laisse la porte de sa maison ouverte. La deuxième expérience de pensée qu’elle présente est celle des personnes-plantes:
Supposons encore une fois que le monde soit ainsi. Les graines de personnes flottent en l’ air comme le pollen et si vous ouvrez vos fenêtres, l’une d’eUes peut entrer chez vous et prendre racine dans vos moquettes ou vos tapisseries. Comme vous ne voulez pas d’ enfant, vous installez sur vos fenêtres des écrans de filtrages à mailles très fines de la meilleure qualité que vous puissiez vous offrir. Il se peut cependant qu’à de très très rares occasions, l’un de ces écrans soit défectueux et qu’une graine pénètre chez vous et prenne racine. La personne-plante qui pousse maintenant chez vous a-t-elle le droit d’utiliser votre maison?
Selon Thomson, on n’a pas l’intuition que cette personne-plante a le droit d’utiliser votre maison dans cette situation. Un autre exemple marquant qu’ elle donne est celui d’une femme qui a subi un viol. Si l’on soutient qu’une femme est responsable de la situation du foetus lorsqu’elle tombe enceinte à la suite de rapports sexuels consentis, on peut aussi soutenir qu’une femme est responsable de la situation du foetus si celle-ci tombe enceinte à la suite d’un viol, car elle aurait pu avoir recours à l’hystérectomie pour prévenir le risque de tomber enceinte à la suite d’un viol.
Or, il est absurde selon Thomson que l’on puisse tenir une femme responsable de la situation du foetus lorsque la grossesse est le résultat d’un viol. Selon elle, la seule manière d’être responsable envers une autre personne c’est d’avoir donné explicitement le droit à cette personne (au foetus dans le cas d’une grossesse), d’utiliser son corps et qu’il est hasardeux de juger de la valeur implicite des actes d’une personne pour attribuer une responsabilité à celle-ci. Cette position s’appuie essentiellement sur la doctrine du double-effet présentée par Philippa Foote selon laquelle la valeur morale d’un acte est attribuée à l’ intention première de l’acte et non aux autres conséquences que l’on peut anticiper. Par conséquent, puisque l’intention de la femme est d’avoir du plaisir et qu’elle ne veut pas tomber enceinte, elle n’a pas donné au foetus le droit d’ utiliser son corps. En somme, Thomson soutient qu’il est fallacieux d’affirmer qu’une femme donne implicitement au foetus le droit d’utiliser son corps lorsqu’ elle a des rapports sexuels consentis.

Bon samaritain et Samaritain minimalement décent

Par ailleurs, Thomson nuance sa position sur l’avortement et soutient que dans certaines circonstances, il est possible que l’avortement ne soit pas une pratique moralement acceptable. Elle propose une autre version de l’expérience de pensée du violoniste dans laquelle celui-ci a besoin d’être branché sur vous pour une durée moins significative, c’est-à-dire pour une durée d’une heure.27 Pour Thomson, il est indécent de refuser de lui venir en aide dans ce cas. Par analogie, elle soutient que la femme a le devoir de venir en aide au foetus lorsque la grossesse ne nécessite aucuns sacrifices importants. Son analyse permet de préciser comment on doit utiliser la notion de «droit» et de <~ustice» dans une situation. Elle utilise à nouveau l’exemple des enfants avec la boîte de chocolat que j’ai présenté précédemment. Il y a deux enfants avec une boîte de chocolat et l’ainé «Supposons que vous appreniez que ce dont le violoniste a besoin ce n ‘ est pas neuf ans de votre vie, mais seulement une heure: tout ce que vous avez à faire pour lui sauver la vie c’est passer une heure avec lui dans ce lit. Supposons aussi que le fait de lui laisser utiliser vos reins durant cette heure n’affectera pas votre santé de la moindre manière.
Bien sûr, vous avez été kidnappé, bien sûr, vous n’avez pas donné votre permission à personne de le brancher sur vous.
Il reste qu’il me semble clair que vous devez lui permettre d’utiliser vos reins durant cette heure, il serait indécent de refuser.»; ibid p. 16. refuse de partager avec son petit frère, cependant dans cette version de l’exemple, c’est l’ainé qui a reçu la boîte de chocolat et donc, le contenu de la boîte lui appartient de droit. Dans cette circonstance, s’ il refuse de partager avec son frère, il n’est pas injuste envers lui. On peut utiliser un tout autre langage pour illustrer son comportement, par exemple : «gourmand», «avare» ou «impitoyable», mais «injuste» ne peut pas être approprié puisque son petit frère n’a aucun droit sur le contenu de la boîte de chocolat.28 De plus, Thomson utilise à nouveau l’expérience de pensée avec Henry Fonda pour illustrer cette interprétation du droit. Dans cette version de l’expérience de pensée avec Henry Fonda, celui-ci est dans la même pièce que vous plutôt que d’être sur la côte Ouest. D’après Thomson, Fonda n’est pas injuste s’ il refuse de venir poser sa main apaisante sur mon front fiévreux. Cependant, on peut considérer qu’il est indécent de refuser puisque cela ne lui demande qu’un petit effort.29 Thomson soutient qu’il serait absurde que la notion de «droit» dépende de la facilité avec laquelle un geste peut être posé, alors qu’ il existe d’autres qualités morales qui permettent de qualifier le comportement que l’on doit adopter dans certaines circonstances.
Dans les exemples précédents, soit l’enfant qui ne partage pas avec son petit frère, Fonda qui refuse de venir poser sa main apaisante sur mon front fiévreux alors qu’il est dans la même pièce et le sauveteur qui refuse d’aider le violoniste pour une heure, sont des exemples de comportements qui peuvent être considérés comme indécents, mais pas injustes selon Thomson.
Ces exemples permettent de faire la distinction entre un «Bon samaritain» et un «Samaritain minimalement décent». Le Bon samaritain est celui qui prend la peine d’aider les autres au prix de grands sacrifices et de risques pour soi, comme c’est le cas du Bon samaritain dans les écrits de la bible.3o Alors qu’un Samaritain minimalement décent est quelqu’un qui prend la peine de faire un geste simple pour aider les autres quand l’occasion se présente à lui. Un exemple utilisé par Thomson pour illustrer cette distinction est l’histoire de Kitty Genovese aux États-Unis. Celle-ci a été assassinée en pleine rue sous le regard de trente-huit personnes et aucune d’entre elles n’a pris la peine d’appeler la police. 31 Thomson soutient qu’un Bon samaritain aurait pu essayer de lui en venir en aide, mais qu’un Samaritain minimalement décent aurait au moins pris la peine d’appeler la police.

Les conclusions de Thomson

Dans son ensemble, Thomson défend une thèse selon laquelle le foetus a un droit à la vie, et elle arrive quand même à la conclusion qu’ il peut être juste de pratiquer un avortement. Par Bailleurs, elle en profite pour répondre à l’avance à une autre critique de sa thèse sur la base de la responsabilité. On peut soutenir que le lien entre Henry Fonda et vous et que le lien entre le violoniste et vous, ne sont pas du même ordre que la relation entre une mère et son enfant: c’est la raison pour laquelle les parents ont des devoirs envers leurs enfants. Or, Thomson répond à cette critique que la responsabilité parentale découle essentiellement du fait que l’on assume explicitement ou implicitement le rôle de parent. Par exemple, si une femme tombe enceinte, qu’ elle ne pratique pas d’avortement, qu’ elle ne met pas l’enfant en adoption à sa naissance et qu’elle l’ apporte chez elle: on peut en conclure qu’elle vient d’accepter implicitement d’être responsable de cet enfant et de bénéficier du même coup, des avantages et des fardeaux de la charge parentale.
Thomson propose une défense de l’avortement qui est suffisamment nuancée pour accepter et rejeter dans certaines circonstances l’avortement. Par exemple, on peut dire que dans la situation «[d’]une collégienne de 14 ans, malade et terrifiée et dont la grossesse est due à un viol, peut évidemment choisir d’avorter et que toute loi qui l’en empêche est une loi insensée». 33 Alors que «[c]e serait indécent pour une femme de demander un avortement et indécent pour un médecin de le pratiquer, si elle se trouve dans son septième mois de grossesse et qu’ elle désire avorter simplement pour éviter le dérangement de reporter un voyage à l’ étranger». propose permet d’ établir un cadre à l’avortement dans lequel on peut obliger les individus à être des Samaritains minimalement décents mais que l’on ne peut pas obliger les individus à être de Bons samaritains. De plus, sa position permet que l’on pratique l’avortement, mais cela ne permet pas de garantir à la femme qui a recours à l’avortement que le foetus qu’ elle porte soit effectivement mort. Dans l’ expérience de pensée du violoniste, si par miracle le violoniste survit au fait qu’ il ne soit plus branché sur vous, en aucun cas vous aurez le droit de vous assurer de sa mort, en vous permettant de lui trancher la gorge. Comme on ne peut pas assurer à la femme qui avorte, une garantit de la mort du foetus qu’elle porte.

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Table des matières

INTRODUCTION 
Comment faire l’analyse d’une expérience de pensée
La division des chapitres de mon mémoire
CHAPITRE 1 – Une défense de l’avortement, par Judith 1. Thomson
1.1. Une défense de l’avortement
1.2. Une critique de la Position extrême
1.3. Le droit à la vie comme droit naturel
1.4. La question de la responsabilité
1.5. Bon samaritain et Samaritain minimalement décent
1.6. Les conclusions de Thomson
1.7. Conclusion
CHAPITRE 2 – Analyse de la critique de John Finnis 
2.1. La critique de John Finnis
2.2. La réponse de Thomson
2.3. Analyse de la réponse de Thomson et des objections de Finnis
2.4. Conclusion
CHAPITRE 3 – Analyse de l’argument du geste volontaire
3.1. L’argument du geste volontaire
3.2. La réponse de Thomson
3.3. L’objection du consentement implicite
3.3.1. Évaluation de la réponse de Thomson
3.3.2. Analyse de l’objection du consentement implicite
3.4. Analyse de l’objection de la responsabilité
3.4.1. Évaluation du consentement comme critère de la responsabilité
3.4.2. Analyse des obligations d’une personne tenue responsable
3.5. Conclusion
CHAPITRE 4 – Analyse de la critique de Michael Davis
4.1. La critique de Michael Davis
4.1.1. Les relations de Dépendance et de Reliance
4.1.2. L’absence de similitude
4.2. Analyse de la critique de Davis
4.2.1. La distinction entre une Dépendance et une Reliance au sens large
4.2.2. Le cas de la Reliance au sens étroit
4.3. Conclusion
CHAPITRE 5 – Analyse de la critique de David B. Hershenov
5.1. La critique de Hershenov
5.1.1 . La Séparation projective et le Regroupement projectif
5.1.2. L’expérience de pensée du violoniste
5.2. Analyse de la critique de Hershenov
5.2.1. La Séparation projective dans l’expérience de pensée du violoniste
5.2.2. La première condition: l’Éloignement
5.2.3. La deuxième condition: la Fatalité
5.3. Conclusion
CONCLUSION 
L’objectif de mon mémoire 
BIBLIOGRAPHIE

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