ANALYSE DE LA COUVERTURE SANITAIRE DES BOVINS

Le système agropastoral

      Ce système se rencontre principalement dans le bassin arachidier, la vallée du fleuve Sénégal et la zone Sud. Le système agropastoral se fonde sur l’association du pâturage à la complémentation qui est le plus souvent assurée par les résidus des cultures pluviales (mil, arachide, coton, etc.) et irriguées (riz, tomate et oignon). Le bétail est habituellement sédentaire, mais des déplacements s’observent parfois et se font, en général, sur de courtes distances (BA, 2001). En règle générale, l’association agriculture/élevage se traduit par l’utilisation de la fumure animale pour fertiliser les champs et l’exploitation des résidus de récoltes pour nourrir les animaux (DIOUF, 2012). Pendant l’hivernage, pour éviter les dégâts aux cultures, ils sont soit gardés au piquet sur les parcours naturel, soit confiés à un berger collectif. La mise au piquet le matin et l’abreuvement deux à trois fois par jour sont à la charge des femmes. Les animaux passent la nuit sous les toits des cases ou dans des abris le plus souvent couverts (FAUGERE et al. 1990b ; MOULIN et al. 1994).

Exercice illégal de la profession vétérinaire et usurpation de titre

       L’exercice illégale de la profession vétérinaire est assimilée aux personnes qui ne remplissent pas les conditions d’exercice de la médecine vétérinaire et qui l’exerce habituellement ou temporairement :en matière médicale, chirurgicale ou pharmaceutique même en présence d’un vétérinaire, une personne qui consulte, établit des diagnostics ou des expertises, délivre des prescriptions ou certificats, pratique des soins préventifs ou curatifs ou des interventions de convenance, vend des médicaments vétérinaires . L’article 20 de la loi 2008-07 stipule que « Ne sont pas soumises aux dispositions relatives à l’exercice illégal des activités visées à l’article 19 de la présente loi, les interventions faites par :
– Les élèves des écoles recevant un enseignement, en santé animale dans le cadre de la formation ;
– les propriétaires ou les détenteurs d’animaux qui pratiquent personnellement sur leurs propres animaux ou sur ceux dont ils ont la garde, dans le respect des dispositions légales ou réglementaires, et en particulier de celles qui régissent la protection animale, les soins et les actes d’usage courant, nécessaires à la bonne conduite de leur élevage ».

Auxiliaires et législation

     Au Sénégal, malgré le fait que le gouvernement intègre progressivement les auxiliaires dans le système officiel de santé animale (dans la surveillance épidémiologique notamment), la reconnaissance officielle des auxiliaires est une question toujours épineuse. Cependant, l’analyse de la loi n°2008-07 permet d’avoir un aperçu plus net sur le statut des auxiliaires d’élevage au Sénégal qui peuvent être considéré comme des personnes exerçant la profession vétérinaire et non titulaire d’un diplôme vétérinaire. Cette loi stipule en son article 16 que les personnes de nationalité sénégalaise, non titulaires de diplôme vétérinaire peuvent exercer en clientèle privée à condition de ne pas usurper le titre de docteur vétérinaire et de signer un accord de collaboration avec un docteur vétérinaire exerçant dans la zone d’intervention qui est supervisée par l’autorité vétérinaire compétente dans cette zone. « L’accord définit les conditions et les modalités de la collaboration, répartit les fonctions constituant l’exercice de la médecine et de la pharmacie vétérinaires dans le respect des dispositions légales et réglementaires de chaque profession. Les modalités de supervision et de contrôle prévues à l’alinéa 2 du présent article sont fixées par arrêté du Ministre chargé de l’Elevage après avis du Conseil de l’Ordre des Docteurs Vétérinaires du Sénégal et des syndicats des travailleurs de l’Elevage. » Cependant dans certains pays tels que le Tchad, la Guinée et le Cameroun ont des statuts bien définit sur les auxiliaires d’élevage. Selon DIOP et BESSIN (2004), au Tchad, les services publics et les ONG forment des auxiliaires d’élevage qui sont identifiés par des cartes délivrées par le ministère de l’Élevage qui leur permettent de s’approvisionner auprès des officines en médicaments vétérinaires. Le Ministère de l’élevage est doté d’une direction du développement des productions animales et du pastoralisme, au sein de laquelle la division vulgarisation et promotion des organisations professionnelles est chargée du suivi des auxiliaires d’élevage .Ces derniers sont supervisés par les chefs de postes vétérinaires. En Guinée, le statut des auxiliaires est fixé par une décision ministérielle du 20 juillet 1998. Ils doivent être éleveurs et résider dans le milieu éleveur, volontaires, alphabétisés et avoir une activité rémunératrice dans leur localité. La direction nationale de l’élevage approuve le thème de la formation et décline un manuel de formation des auxiliaires. Les auxiliaires sont formés, suivis et évalués par les Services de l’élevage (Centre de formation de l’élevage de Labé), les projets, les ONG et, de plus en plus, par les vétérinaires privés. L’approvisionnement des auxiliaires en médicaments et intrants d’élevage est assuré par les vétérinaires privés. Tous les auxiliaires sont recensés et inscrits à la Direction nationale de l’élevage dans un fichier informatisé (DIOP et BESSIN, 20O4). Selon DIOP et BESSIN (2004), au Cameroun des surveillants d’épizooties choisis parmi la chefferie locale sont chargés uniquement de la surveillance des animaux et non de leur apporter des soins. Les surveillants d’épizooties servent également de relais dans la transmission informations zoo sanitaires. Ils ne reçoivent pas de formation particulière mais leur statut est reconnu parce qu’ils sont intégrés dans la fonction publique comme des agents contractuels.

Les maladies bactériennes

 Les maladies bactériennes à transmission directe :
– La péripneumonie contagieuse bovine (PPCB) est une maladie infectieuse, contagieuse, affectant les bovins et les buffles domestiques, à évolution insidieuse et due à Mycoplasma mycoides. Les mycoplasmoses sont en règle générale des maladies chroniques à haute morbidité mais faible mortalité, et les porteurs sains jouent un rôle prédominant dans l’épidémiologie. Ce sont par excellence des maladies de troupeaux ; il n’y a apparemment pas de différence entre élevages intensifs et extensifs (NICOLET, 2003). La transmission de la PPCB se fait exclusivement par voie aérienne. La PPCB se caractérise sur le plan clinique par une pleuropneumonie aiguë, suraiguë ou subaiguë (SAINT-ALME, 2004). La PPCB est inscrite sur la liste A de l’OIE. Malgré le fait que le Sénégal ne connaisse plus de foyer depuis 1977, la maladie fait toujours l’objet d’une lutte collective via des campagnes de vaccination de masse en partie subventionnées par l’Etat (PAUL ,2005).
 Les maladies d’origine hydro-tellurique :
– La fièvre charbonneuse ou charbon bactéridien est une maladie infectieuse bactérienne, affectant essentiellement les mammifères herbivores, pour lesquels elle est souvent mortelle. Dans certaines conditions épidémiologiques, la maladie peut se transmettre à l’homme ; elle est inscrite sur la liste B de l’OIE. La bactérie charbonneuse ou Bacillus anthracis est un bacille. Le germe se présente sous deux formes : une forme végétative qui se développe dans l’organisme réceptif et des spores, qui se forment hors de l’organisme et constituent la forme de résistance. La maladie est transmise par l’herbe et l’eau souillée par les produits infectieux. L’infection de l’herbivore est presque toujours fatale. La mort de l’animal boucle le cycle : les cadavres, qui contiennent d’innombrables spores, souillent le sol. Trois formes cliniques sont possibles. La forme suraiguë est observée surtout chez les bovins, ovins et caprins. Son apparition est brutale et son évolution très rapidement mortelle. Les animaux présentent des symptômes de congestion cérébrale et meurent en 2 à 3 h. Les formes aiguës et subaiguës sont fréquentes chez les bovins, équins et ovins. On observe de la fièvre, de l’inrumination, un état d’excitation suivi de dépression, des difficultés respiratoires, des déplacements incoordonnés, des convulsions et la mort qui survient en moins de 72 h. La forme chronique, enfin, apparaît surtout chez les espèces moins sensibles comme les porcs, mais on la rencontre aussi chez les bovins, les chevaux et les chiens. Le symptôme principal est l’œdème pharyngé et lingual ; on voit apparaître un jetage mousseux et hémorragique d’origine buccale. Les animaux meurent souvent d’asphyxie. Le traitement généralement recommandé consiste en une première injection de pénicilline suivie quelques heures plus tard d’une injection d’antibiotique retard. En ce qui concerne les méthodes de prophylaxie, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a recommandé de prendre un certain nombre de mesures lors de l’apparition d’un foyer de fièvre charbonneuse. Ces mesures concernent notamment la destruction des cadavres d’animaux et la désinfection, la décontamination et le traitement des matériels contaminés. Quant à la prophylaxie médicale, on utilise un vaccin vivant à usage vétérinaire (SHLYAKHOV et al. 2003).
– Le charbon symptomatique affecte principalement les bovins et ovins, occasionnellement les porcins et chevaux. Il est dû à des bacilles, principalement Clostridium chauvoei seul ou en association avec C. septicum. C’est une maladie du pâturage, d’apparition saisonnière. Les animaux sont contaminés par ingestion de spores sur les pâturages ; ces spores peuvent résister pendant des années dans les sols, en particulier ceux riches en matière organiques et ceux situés autour des points d’eau. Chez les bovins, la maladie affecte principalement les animaux de 4 mois à 3 ans. Elle débute par l’apparition de tuméfactions chaudes et douloureuses dans les muscles de la cuisse ou de la croupe. A la pression, ces tuméfactions sont crépitantes en raison du gaz formé dans les tissus. L’état général est profondément altéré avec des signes généraux : fièvre élevée, anorexie et abattement. Les animaux présentent des boiteries sévères. La mort survient en 24 à 48 h. La prophylaxie est principalement basée sur l’utilisation de vaccins à germes et/ou toxines inactivés (EL-IDRISSI, 2003).
– Le botulisme est une grave intoxication, commune à l’homme et à de nombreuses espèces animales. Elle est due à l’ingestion d’aliments imprégnés de toxine ou de spores de Clostridium botulinum. Sous sa forme végétative ou mycélienne, le bacille possède une faible résistance. Par contre, la spore de C. botulinum est l’une des plus résistantes parmi celles des bactéries sporulées. La maladie se caractérise cliniquement par un syndrome neurologique paralytique, évoluant rapidement vers la mort. La symptomatologie générale est dominée par trois grands types de manifestations : les manifestations paralytiques, sécrétoires et oculaires (AKAKPO, 2003). Le traitement de la maladie fait intervenir un traitement symptomatique cependant inefficace dès lors que les symptômes sont apparus, et un traitement spécifique reposant sur la sérothérapie antitoxique instituée précocement. La prophylaxie médicale repose principalement sur l’utilisation de l’anatoxine botulinique spécifique (AKAKPO, 2003).

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : SITUATION DE L’ELEVAGE LAITIER AU SENEGAL
I.1 CHEPTEL NATIONAL
I.1.1 Les effectifs
I.1.2 Races bovines exploitées au Sénégal
I.1.2.1 Races locales
I.1.2.1.1 Zébu Gobra
I.1.2.1.2 Taurin N’dama
I.1.2.1.3 Zébu Maure
I.I.2.2 Races exotiques
I.1.2.2.1 Montbéliarde
I.1.2.2.2 Holstein
I.1.2.2.3 Jersiaise
I.1.2.2.4 Brune des Alpes
I.1.2.2.5 Guzérat
I.1.2.3 Métis rencontrés au Sénégal
I.2 SYSTEMES DE PRODUCTION
I.2.1 Définition
I.2.2 Le système de production extensif ou système pastoral
I.2.3 Système agropastoral
I.2.4. Système périurbain ou moderne
CHAPITRE II : LE CADRE JURIDICO-INSTITUTIONNEL ET LES PRATIQUES EN SOINS VETERINAIRES AU SENEGAL
II.1 Historique des prestations vétérinaires au Sénégal
II.1.1. Période coloniale
II.1.2 Après 1960
II.1.3 Contexte actuel
II.2 Lois et règlements sur la Médecine vétérinaire au Sénégal
II.2.1 Loi sur la profession vétérinaire
II.2.1.1 Décret du 27 avril 1993 code de déontologie de la médecine vétérinaire
II.2.1.2 Décret du 6 Juillet 1995 sur l’attribution du mandat sanitaire
II.2.1.3 Loi n°2008-07 organisant la profession vétérinaire
II.2.1.3.1 Exercice de la profession vétérinaire
II.2.1.3.2 Exercice illégal de la profession vétérinaire et usurpation de titre
II.2.2 Auxiliaires et législation
II.2.3 Lois sur la pharmacie vétérinaire
II.2.3.1 Détention, vente et distribution au détail des médicaments vétérinaires
II.2.3.2 Importation des médicaments vétérinaires
II.3 AXES DE PRIVATISATION
II.4 Les Mandats sanitaires
CHAPITRE III : SITUATION SANITAIRE DES BOVINS AU SENEGAL
III.1 Les principales maladies affectant les bovins
III.1.1 Les maladies bactériennes
III.I.2 Les maladies virales
III.1.3 Les maladies parasitaires
III.2 Actions sanitaires
III.2.1 Les acteurs du service public
III.2.2 Prestataires privés
III.2.2.1 Les docteurs vétérinaires
III.2.2.2 Les para professionnels vétérinaires
III.2.2.3 Les acteurs extra-légaux
III.2.2.4 Les praticiens traditionnels
III.2.3 Les pratiques vétérinaires autochtones des éleveurs
III.2.3.1 Les éleveurs
III.2.3.2 Les groupements d’éleveurs
III.2.3.3 Auxiliaires d’élevage
III.2.3.4 L’art vétérinaire des éleveurs
III.2.3.4.1 Appréciation du pâturage
III.2.3.4.2 Complémentation alimentaire
III.2.3.4.3 Technique de traite
III.2.3.4.4 Sevrage
III.2.3.4.5 Intervention obstétrical
III.2.3.4.6 Soins à la femelle parturiente
III.2.3.4.7 Pathologies de la femelle reproductrice
III.2.3.4.8 Pathologie commune du bétail
III.2.3.4.9 Pathologie spécifique bovine
III.3 Distribution des médicaments vétérinaires
III.3.1 Le marché du médicament vétérinaire
III.3.2 Le Circuit de distribution des médicaments vétérinaires
III.3.3 Les vaccinations obligatoires
III.3.4 Surveillance épidémiologique
DEUXIEME PARTIE : SYSTEME DE SANTE DANS LE DEPARTEMENT DE DAGANA
CHAPITRE I : CADRE D’ETUDE
I.1 La zone d’enquête
I.1.1 La population
I.1.2 Les services de base
I.1.3 Hydrologie
I.1.4 Pédologie
I.1.5 Le climat
I.1.6 Les activités
I.2 CHOIX DES SITES D’ETUDES
I.3 MATERIEL D’ETUDE
I.3.1 Matériel de collecte des informations
I.3.2 Matériel d’exploitation des données
I.4 METHODOLOGIE D’ETUDE
I.4.1 Revue documentaire
I.4.2 Echantillonnage
I.4.3 Enquête
I.4.3.1 Phase de pré-enquête
I.4.3.2 Phase de l’enquête proprement dite
I.4.3.2.1 Enquête au niveau des éleveurs
I.4.3.2.2 Enquête auprès des vétérinaires privés
I.4.3.2.3 Enquête auprès des auxiliaires d’élevage
I.4.3.2.4 Enquête auprès des agents de l’Etat
I.4.4 L’analyse des données
CHAPITRE II RESULTAT ET DISCUSSION
II.1 Résultat
II.1.1 Caractéristiques des élevages
II.1.1.1 Le statut des éleveurs
II.1.1.2 Statut du cheptel
II.1.1.3 Alimentation du cheptel
II.1.2 Les maladies présentes dans la zone
II.1.3 Les pratiques vétérinaires faites par les éleveurs
II.1.3.1 Précaution et alertes
II.1.3.2 Mortalité et maladie des animaux
II.1.3.3 Affections soignées par les éleveurs
II.1.3.4 Méthodes de prises en charge des maladies par les éleveurs
II.1.3.5 Médicaments vétérinaires
II.1.3.5.1 Lieux d’achat des médicaments
II.1.3.5.2 Types de médicament achetés
II.1.3.5.3 Doses et voies d’administrations des médicaments
II.1.3.5.4 Coût des pratiques vétérinaires des éleveurs
II.1.4 EVALUATION DU NIVEAU DE PRISE EN CHARGE DES MALADIES
II.1.4.1 NIVEAU DE PRISE EN CHARGE PAR LES VETERINAIRES PRIVES
II.1.4.1.1 Moyens et logistiques
II.1.4.1.2 Maladies les plus fréquentes selon les vétérinaires
II.1.4.1.3 Méthodes de prise en charge des maladies par les vétérinaires privés
II.1.4.1.3.1 Fréquences de consultation
II.1.4.1.3.2 Motifs de consultation dans des villages
II.1.4.1.3.3 Périodes de traitement des animaux
II.1.4.1.3.4 Traitement
II.1.4.1.3.5 Vaccination
II.1.4.1.4 Distribution des Médicaments
II.1.4.1.5 Coût de la prise en charge des maladies par les vétérinaires privés
II.1.4.2 NIVEAU DE PRISE EN CHARGE DE CES MALADIES PAR LES AUXILIAIRES
II.1.4.2.1 Structures et durée de formation des auxiliaires
II.1.4.2.2 Domaines de formation
II.1.4.2.3 Activités des auxiliaires
II.1.4.2.3.1 Traitement des maladies
II.1.4.2.3.2 PROPHYLAXE
II.1.4.2.3.3 Coût de la prise en charge des maladies par les auxiliaires d’élevage
II.1.4.3 NIVEAU DE PRISE EN CHARGE DE CES MALADIES PAR LES AGENTS DE L’ETAT
II.1.4.3.1 Police sanitaire
II.1.4.3.2 Traitement
II.1.4.3.3 Vaccination
II.1.4.3.4 Distribution de médicaments vétérinaire
II.1.4.3.5 Coût de la prise en charge des maladies par les AGENTS DE L’ETAT
II.1.5 BESOINS EN SOINS VETERINAIRES DES ELEVEURS
II.I.6 EVALUATION DU COUT DES BESOINS EN SOINS VETERINAIRES DES ELEVEURS
II.1.6.1 Coût Moyen du traitement des maladies par les différents acteurs
II.1.6.2 Coût Moyen de prévention des maladies par les différents acteurs
II.2 DISCUSSION
II.2.1 Situation zoo sanitaire des bovins laitier du département de Dagana
II.2.2 Pratiques vétérinaires des éleveurs
II.2.2.1 Caractéristiques générales de l’exploitation
II.2.2.1.1 Statut des éleveurs
II.2.2.1.2 Races exploitées
II.2.2.1.3 Complémentation
II.2.2.2 Précautions et alertes
II.2.2.3 Soins vétérinaires
II.2.2.3.1 Méthodes de prise en charge des maladies
II.2.2.3.2 Utilisations de médicaments vétérinaires
II.2.3 Service des vétérinaires privés
II.2.4 Services des Agents de l’Etat
II.2.5 Services des Auxiliaires
II.2.5.1 Statut des auxiliaires
II.2.5.2 Formation des auxiliaires
II.2.6 Analyse comparative des coûts moyens des pratiques vétérinaires des différents acteurs
II.2.6.1 Coût moyen des traitements des maladies
II.2.6.2 Coût des préventions des maladies
II.2.7 Les limites de l’étude
CHAPITRE III: Recommandation
III.1 Recommandation aux éleveurs
III.2 Recommandation aux vétérinaires privés
III.3 Recommandation aux auxiliaires d’élevage
III.4 Recommandation à l’Etat
III.5 Recommandation aux projets d’appui à l’élevage
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *