aménagement du territoire et attractivité des territoires frontaliers

Territoire

    Territoire vient du latin « territorium » le terme est polysémique : il renvoie à des significations variées qui dépendent de l’angle d’approche, des disciplines qui l’étudient et de l’époque. En géographie plus particulièrement, la notion de territoire a pris une importance croissante, notamment en géographie humaine et politique. En géographie physique, un territoire désigne un espace à métrique topographique (métrique caractérisée par la continuité et la contiguïté). L’une des dimensions du territoire est le milieu physique. En raison de l’existence de différents phénomènes géomorphologiques en action sur la planète, le territoire physique est en perpétuel mouvement. Un territoire est une étendue de terre occupée par un groupe humain ou qui dépend d’une autorité (Etat, province, ville, juridiction, collectivité territoriale etc.) La notion de territoire prend en compte l’espace géographique ainsi que les réalités politiques, économiques, sociales et culturelles. Elle inclut l’existence de frontières, pour un territoire naturel, selon Guy Di Méo (les territoires du quotidien, 1996, p40) qui perçoit : « le territoire est une appropriation à la fois économique, idéologique et politique (social donc) de l’espace par des groupes qui se donnent une représentation particulière d’eux-mêmes et de leur histoire ». En droit on perçoit le territoire une limite de compétence des gouvernants. En géographie politique ; le territoire est défini en se concentrant sur les rapports de pouvoirs et leurs transcriptions dans l’espace. Une partie de la définition peut servir à illustrer l’acception de la notion en géographie politique : « le territoire est un espace borné limité administré ».

Attractivité

   Selon Vincent Gollain « l’attractivité entendu comme la capacité des territoires à capter des personnes des talents est aujourd’hui au cœur des préoccupations des métropoles ». Dans ce cas l’attractivité peut être le corolaire de compétitivité dans la mesure où c’est une notion incontournable mais impensée, dans les projets de développement. Elle ne renvoie pas à une conception Keynésienne et pacifiée du développement mais une certaine représentation du monde. Le premier jeu de compétence renvoie aux rôles premiers des collectivités locales. Selon René KAHN « j’ai au contraire l’intuition aujourd’hui qu’une région est mieux développée si elle pense elle-même son mode de développement ». Quant à Camagni il affirme « qu’un territoire compétitif est celui disposant d’un avantage local à caractère dynamique ». La compétitivité peut désigner une organisation territoriale efficace ou d’un tissu industriel local performant sur lequel l’usage des technologies est maitrisé et les connexions entre les différents agents économiques se réalisent rapidement. Un territoire peut s’inscrire dans une logique de développement à condition qu’il présente un milieu innovant, dynamique, une capacité de réaction et d’adaptation. Cependant l’attractivité composée de deux noms : l’attraction qui s’apparente à une force capable à la fois d’attirer et retenir sur place, et l’attrait qui renvoie à l’idée de séduction. Ainsi pour une ville l’attraction devient un concept mêlant à une capacité à drainer des flux et à fixer durablement les ressources en lieu et la capacité à se rendre désirable, qu’elle qu’en soit la raison : ce qu’on nomme attrait ou attraction potentielle. Toutefois il est évident de souligner que l’attractivité ne se limite seulement pas à ces deux concepts à savoir l’attraction et l’attrait, ce concept a d’autres fonctions comme le souligne Vincent Gollain qui selon lui « l’attractivité ne se résume pas à attirer des hommes, des entreprises ou des revenus il repose sur le développement économique local créateur de richesse et d’emplois ». Dans ce sens c’est le reflet de la performance d’un territoire durant une période donnée. Mais cette notion d’attractivité ne peut s’appréhender sans une approche relevant également du markéting territorial. Ce dernier est « l’effort de valorisation des territoires à des marchés concurrentiels pour influencer en leurs faveurs, le comportement de leurs publics par une offre dont la valeur perçue est durablement supérieure à celle des concurrents ». Cependant l’attractivité d’un territoire ne saurait être perçue comme une réalité absolue, isolée et figée dans le temps mais à laquelle il convient d’introduire une dimension temporelle. Les analyses territoriales manquent souvent d’un regard prospectif sur les évolutions possibles de l’attractivité future de leurs territoires : dans un contexte de mobilité accrue des activités économique comme des hommes ou on ne saurait se contenter d’une vision statique.

Frontière dynamique et échanges marchands

    Initialement construite pour délimiter les limites de souveraineté des Etats, les frontières se sont transformées en ligne de partage. Dans ce contexte, la conception traditionnelle de la frontière a été remise en question à la fois par des impératifs économiques inhérents à la mondialisation, mais aussi par les flux d’individus qui la traversent. En effet, la mondialisation, les partenaires commerciaux, l’intégration économique sont autant d’éléments qui influencent de nos jours les échanges entre les pays et portant les performances économiques de chacun notamment. Ceci permet de capter à travers des capacités des territoires du transfrontalier à tirer le maximum de projet de commerce, et à se doter des moyens d’être autant plus attractifs et compétitifs que possible afin de tirer des avantages de leurs positions stratégiques. Pour promouvoir cette politique d’attraction commerciale, il faut prendre en charge les différentes activités qui sévissent dans le territoire. Il faudrait avant tout assurer la sécurité des personnes et des biens (marchands, banques, marchandises…). Il faudra aussi améliorer les systèmes de transport en bitumant certaines voies de communications stratégique pour faciliter non seulement les déplacements, mais aussi les échanges Sa position stratégique de territoire frontière lui confère certains avantages économiques, traversé par des routes commerciales forts anciennes qui reliaient la région sahélienne aux rivières du Sud. Les tentatives de mainmise sur le commerce de cette région par l’administration coloniale Française avaient pourtant été à l’origine du rattachement de la Casamance au reste de Sénégal mais en vain. Cette pénurie alimentaire au niveau de cette région et cette volonté de détruire le circuit du commerce colonial, et les besoins des régions périphériques des Etats guinéens en guerre civile, ont favorisé dans les années soixante l’émergence de marchés hebdomadaires « loumo ». Le commerce parallèle transfrontalier séculaire organisé, puis après les indépendances, la libéralisation économique a activé les échanges entre le Sénégal méridional et ses voisins. Il est devenu de plus en plus un lieu privilégier d’échange commerciaux de marchandises « provenant des régions écologiques complémentaire, mais aussi pour la contrebande » (S. Francette2001, Pp 91 à 113). Sa rente commerciale et géographique n’a pourtant pas encouragé le gouvernement du Sénégal indépendant à structurer les échanges, et à contrôler les flux commerciaux transfrontaliers. Malgré certaines disparités notées au sein de cet espace, c’est devenu un espace commercial en pleine effervescence. Les échanges commerciaux mouvants, dynamiques et parfois éphémères composé de marché hebdomadaire de taille contrasté. Longtemps joué un rôle primordial, le fleuve gambien a constitué un axe commercial privilégier pour mettre en contexte les régions de l’intérieur de l’Afrique Ouest et de l’atlantique. L’économie de cet espace de par sa position à toujours reposé sur le commerce et cela depuis l’époque précoloniale avec des échanges transfrontaliers. Le statut de cette agglomération fait de lui le lieu privilégié où se gère l’occupation de l’espace commercial, où se concentrent les infrastructures et les supports matériels et financiers des activités marchandes. On devra mettre en place ou accordé un certain statut à ce territoire pour faciliter son accès. Ces échanges déclinent des problématiques spécifiques propres à l’économie de chacun de ces pays. Ces flux transfrontaliers qui animent les échanges commerciaux s’opèrent en général à travers des circuits informels. Les rapports harmonieux entre le territoire de Kolda et les pays frontaliers sont basés d’abord sur les relations d’appartenance au groupe ethnique, d’une identité culturelle et mutuelle. La composition et l’orientation des flux transfrontaliers et, par conséquent l’articulation des réseaux et leurs impacts au niveau local peuvent fluctuer constamment. Cependant ce territoire rencontre d’énormes difficultés dans le secteur du commerce dont les plus récurrents sont entre autres les infrastructures de transports, les taxes et la valorisation des sites de vente tendant à la promotion du secteur du commerce. Pour résoudre certaines difficultés et disparités il faut prendre en charge et améliorer la dynamique du territoire afin de faire face à une certaine compétitivité. Pour prendre en charge ces difficultés il faut nécessairement améliorer les territoires d’activité pour pouvoir non seulement accueillir et maintenir aussi les personnes dans le territoire. Cependant on note une capacité de cette zone dans le contexte des dynamiques marchandes en Afrique de l’Ouest. Elle montre aussi la capacité de certains territoires à capter des flux des territoires voisins. On peut voir que certains marchés dépendent entièrement des flux des grands marchés d’approvisionnement. Au regard de notre territoire d’étude on peut voir exclusivement que le grand marché d’approvisionnement de Kolda sert comme lieu d’approvisionnement de certains marchés à vocation hebdomadaire (loumo). Ce grand marché d’approvisionnement de par son ouverture et sa position de marché frontalier capte et génère des ressources pour l’écoulement des produits du frontalier. En effet la ville de Kolda de par son ouverture et son marché est devenue un lieu d’attraction des marchandises et des services. L’importance de ce grand marché et sa position sert tout simplement à approvisionner certains marchés hebdomadaires (loumo). Parmi ces lieux privilégiés de destination des produits de ce marché on peut citer entre autre des lieux tel que Diaobé, Salikégné, Saré Yoba, Pata et même Vélingara etc. L’importance de son marché lui permet de capter, de concurrencer d’autres marchés d’approvisionnement. De par cette importance on peut voir que Kolda agit selon les marchands enquêtés jusque dans la zone de circulation marchande de d’autres marchés, dépassant même sa limite (zone de circulation). Cette influence est due à la qualité de l’offre territoriale que Kolda propose par rapport à d’autres territoires. On note cependant la dépendance de certains marchés (loumo) par rapport à la qualité que propose le grand marché d’approvisionnement qui est Kolda qui fait de lui un lieu d’attraction et d’approvisionnement pour territoire régional voir même sous régional.

Construction de l’attractivité par ces acteurs

    Son statut de territoire situé à cheval entre trois pays de l’Afrique de l’Ouest à savoir la Gambie, Guinée Bissau et Guinée Conakry et disposant d’une ouverture à l’internationale, Kolda dispose d’une marge socio-éducative en avance par rapport à ces voisins. Toutefois il est important de souligner certains facteurs ne facilite pas une bonne intégration du secteur. L’éducation est depuis des années confrontée à des problèmes liés aux nombres pléthoriques d’abris provisoires. Cette situation ne facilite pas une bonne intégration dans le domaine de l’éducation ou Kolda est en concurrence avec les instituts gambiens. La qualité de la formation pose problème ou selon l’Inspecteur d’Académie (I. Goudiaby. 2019) « le mouvement national ne facilite pas du tout cette qualité, qui diminue considérablement le taux de réussite au niveau de cette localité ». A lui de poursuivre que résoudre définitivement ces problèmes va certainement contribuer à lutter contre cette concurrence. Faisant partie des départements moyens lotis en matière d’infrastructure sanitaire, une politique pour remédier à cette situation en renforçant d’avantage le système sanitaire. Cette politique vise un programme, le SAMU Sud. Ce programme intègre les régions de Sédhiou, Kolda et Ziguinchor, qui s’inscrit dans le cadre du pôle territoire, ou il sera inscrit comme pôle de structure de santé. « Cette politique vise à intervenir de maniéré optimale et d’optimiser les interventions à partir d’une communication depuis la case de santé jusqu’au poste en relation avec l’hôpital » (Dr Y. Baldé, 2019). Le médecin chef de la région de poursuivre que cette politique sera suivie par un renforcement des ressources humaines et accompagné avec les nouveautés comme le système de régulation et de réception des appels pour permettre de rallier les urgences. Parlant de la difficulté des infrastructures liée à la prise en charge des patients étrangers, il note (Dr Y. Baldé, 2019) qu’il y’a un problème lié à l’offre de soin à cause d’un manque de matériels et de personnels qualifiés. Avec seulement un pédiatre, un gynécologue, un apport considérable en ressource humaine a été fait surtout au niveau opérationnel. Un renforcement de la carte sanitaire devrait être mis en valeur pour essayer de faire respirer certaines structures sanitaire possédant une manne de patients importante dépassant de loin la disponibilité du matériel médical. Pour cela une politique est adoptée visant la proximité des infrastructures de transport pour enfin redéfinir la carte sanitaire dont 50% des populations se trouvent entre 30mn et 1h de temps d’une structure sanitaire à cause de l’enclavement. Cette redéfinition permettra une densification des postes sanitaire qui ont doublé en moins de 5ans (Dr Y. Baldé, 2019) pour améliorer l’accessibilité géographique au niveau de la région. A cela s’ajoute également, le renforcement de la logistique roulante pour augmenter la rapidité d’évacuation avec la mobilité notamment par la rénovation des infrastructures routière. Pour résoudre certains manquements, des réunion d’audits sont tenues pour permettre d’identifier les facteurs conduisant au défis, des politiques de sensibilisation pour accroitre le niveau d’information des populations et simuler la demande. La nécessité d’œuvrer en faveur d’une meilleure intégration des différentes politiques sectorielles qui exercent une influence sur le territoire et de renforcer la cohésion économique et sociale. Conscient de tels enjeux, on procède à la valorisation de certain secteur comme la culture. La culture constitue souvent une première étape pour le développement de coopération plus large et plus structurant (I. Diao. 2019). La frontière mettant en contact plusieurs univers nationaux différents, mais aussi parfois deux cultures nationale ou régionale proche (avec des langues souvent semblables ou proche). Lieu de confrontation des pratiques et d’acquisition de compétence interculturelles, le territoire transfrontalier pose la question du multilinguisme, de la production et du partage des connaissances de l’accessibilité au processus de la création de la citoyenneté. La promotion de la culture de cette région est à l’image du Festi-Kolda, qui est un évènement culturel à dimension transfrontalière. Dans ce cas il serait nécessaire de faire de cette activité une activité transnationale tirant pendant une période de l’année des acteurs dans le domaine. C’est dans ce contexte que selon (I. Diao 2019) « l’initiation en 2016 du Festi-Kolda a vocation inter-régionale et transfrontalière ». Toutefois cette activité de rencontre annuelle pose des problèmes à cause d’un manque de local ou elle se tient. Se faisant à l’air libre, il faut mettre en place des espaces (artisanal, théâtre, musée…) ou se tiennent des activités culturelles. Sachant que la culture apporte une contribution essentielle à la cohésion territoriale et au développement durable des territoires transfrontaliers selon les trois piliers suivants :
 L’économie : Avec le développement transfrontalier d’industrie culturelle et créative.
 La cohésion sociale : L’insertion professionnelle et l’inclusion sociale promues par les projets culturels.
 L’environnement ; Des projets portant sur le paysage, le patrimoine naturel et culturel.
La contribution des projets culturels, transfrontaliers à la cohésion territoriale ressort de nombreuses analyses qui ont pu être faites de ces projets. Ils permettent de promouvoir le bilinguisme, la mobilité et des créateurs, transmettre au mieux l’information culturelle au public transfrontalier. Ayant toujours été la partie la plus stable du transfrontalier, Kolda a longtemps été le lieu de refuge de plusieurs nationalités en guerre (gambiennes, et Guinéennes). La sécurité étant un véritable défi pour les territoires frontaliers, à cause notamment de la rébellion, banditisme le terrorisme entre autre, on assiste de plus en plus au renforcement des services sécuritaires, même si c’est insuffisant pour les populations. Une construction de l’image sécuritaire de la ville est devenue une nécessité. Toutefois il serait intéressant de noter que cette image doit être construite en fonction des ressources et réalités fondamentale du territoire. Une politique sécuritaire durable doit être construit en fonction des réalités sociales et économique du territoire ne pas adapter seulement la politique sécuritaire sur le plan national dans un territoire à dimension internationale de par son ouverture. C’est sans doute ce qui a poussé au Sénégal d’introduire le principe autonome de contrôle des frontières qui permet à diffèrent services d’intervenir de maniéré autonome dans la surveillance de celle-ci et de participer en temps de paix aux contrôles à l’entrée et à la sortie de ces frontières. On note aussi une politique de surveillance et d’augmentation des compétences sécuritaires envers les territoires et ville frontalier. De par cette politique on assiste à l’augmentation des postes de contrôle avec un renforcement d’équipement, même si les choses peuvent être plus complexes avec l’accroissement de la corruption de cette zone. L’attractivité étant en parfaite corrélation avec la sécurité des personnes et des biens, Kolda a décidé de faire de ce secteur une priorité. C’est sans doute ce qui a poussé à la mise en place de cellule en charge de la sécurité frontalière avec le programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA/TF) pour le renforcement du maillage sécuritaire. En dépit de cette configuration nouvelle en terme de menace, les modalités de contrôle liés aux frontière demeurant peu ou prou appréhendées dans une optique traditionnelle. Plusieurs raisons peuvent être avancées : l’ampleur des risques et l’immédiateté physique, la longueur des frontières et leurs importances dans ce territoire (Kolda) notamment (« trois pays frontaliers avec le territoire), l’instabilité de certains Etats marqué par des troubles avec le voisinage, car la sécurité n’étant pas une réalité objective mais une construction sociale. Les liens entre frontière et sécurité, processus de construction social de l’espace et certain discours politique transforment les frontières en ligne de démarcation et non en un lieu d’interaction. Les régions frontalières sont confrontées notamment à des tensions vives entre ces régions du fait de leur position stratégique. Même si les relations entre ces deux pays (Guinée Conakry et Sénégal), est de plus en plus favorable pour la paix et la sécurité, il existe des tensions entre ces deux pays, dont la plus récente est la décision de fermeture des frontières de l’autorité sénégalaise pour prévenir de la maladie Ebola. Une telle décision avait causé une certaine tension entre Conakry et Dakar, mais aussi bloqué pendant un certain temps les échanges transfrontaliers entre les deux pays. Les enjeux stratégiques de la région et les tensions historiques, font que la frontière est hautement surveillée et les passagers illégaux de la frontière sont souvent réprimés. Rencontrant des difficultés sécuritaires liées notamment aux banditismes, certains marchands se voient attaquer à chaque fois et se faire cambrioler, ce qui ne facilite pas du tout le rendement de leurs activités. L’insécurité peut influencer notamment le potentiel de renforcement des institutions transfrontalières durables. Il est vrai que l’existence de la rébellion proliférant en Casamance peut avoir un effet préjudiciable sur les échanges transfrontaliers, car elle risque de perturber les réseaux commerciaux et de créer des flux de réfugiés. Le banditisme armé rodant sur les réseaux routiers et traquant les marchands (acheteurs, vendeurs) les soutirant du matériel et des marchandises est devenu un phénomène récurrent et constant conduisant à une insécurité pour les populations qui fréquentent le marché. Ce qui ne favorise pas du tout une bonne activité dans cette région de l’Afrique de l’Ouest.

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Table des matières

INRODUCTION
PROBLEMATIQUE
1) Discussion Conceptuelle
2) Objectifs et Hypothèses
METHODOLOGIE
1) Recherche Bibliographie
2) Revue Documentaire
3) Les enquêtes de Terrain
4) Echantillonnages
5) Traitement des données
6) Difficultés rencontrées
PREMIERE PARTIE : KOLDA DANS LE CONTEXTE TRNSFRONTALIER
CHAPITRE I : CADRE HISTORIQUE DANS LE CONTEXTE TRANSFRONTALIER
1) Domination Mandingue sur la haute Casamance
2) L’avènement d’Alpha Yaya Molo Baldé et la domination Peulh
3) Brassage inter-ethnique et intégration en Haute Casamance
CHAPITRE II : CADRE ECO-GEOGRAPHIQUE ET ADMINISTRATIF
1) Cadre Administratif
2) Cadre éco-géographique
3) Caractéristique Sociodémographique
DEUXIEME PARTIE : ECHANGE DE VIE DE RELATION ET DYNAMIQUE ECONOMIQUE
CHAPITRE III : FLUX SOCIAUX
1) Composition Ethnique
2) Les Flux Culturels
3) Flux Sanitaire et Educatifs
CHAPITRE IV : FLUX ECONOMIQUE
1) Secteurs économiques
2) Transport et Echanges
3) Flux Commerciaux
TROISIEME PARTIE : DEFIS ET PERSPECTIVE DE L’ATTRACTIVITE
CHAPITRE V : LA CONSTRUCTION DE L’ATTRACTIVITE ET PERSPECTIVE D’INTEGRATION REGIONALE
1) Frontières dynamique et échanges marchands
2) Zone de transit du commerce et accès aux infrastructures
3) Attraction et intégration régionale
CHAPITRE VI : TERRITOIRE TRANSFRONTALIER ET PERSPECTIVE DEVELOPPEMENT DURABLE
1) Offre et Défis
2) Construction de l’attractivité par ces acteurs
3) Politique d’ouverture de la ville
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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