Amélioration du réseau d’information interne et externe

Amélioration du réseau d’information interne et externe

INTRODUCTION

ace à la mondialisation, les Technologies de l’Information et de Communication sont devenues nécessaires tant sur le plan économique, environnemental que social.
Le besoin en information de chaque organisation s’accroît de jour en jour, elle est nécessaire pour s’ouvrir sur le monde. Or, informer nécessite un plan bien défini allant de la recherche de l’information à la diffusion de celle ci à un canal choisi.
L’information constitue un outil fondamental non seulement pour les entreprises mais aussi pour l’environnement auquel elles sont confrontées.
Aussi, pour les administrations publiques, ces informations sont très importantes car c’est un outil d’aide tant pour son environnement interne que pour les organismes externes.
La communication est aussi un outil fondamental pour mieux informer le public or, on rencontre parfois quelques problèmes dus aux manques de communication entre des entités ou organes devant travailler ensemble.

RENFORCEMENT DU RESEAU D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION PAR LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (NTIC)

Cas Ministère du Commerce et de la Consommation Par l’intermédiaire de ce renforcement du réseau d’information et de communication, notre objectif est d’essayer d’aider le Ministère à mieux gérer ses réseaux d’information et de communication qui aura comme répercussion une meilleure organisation au sein du Ministère et de pouvoir assouvir les besoins en information des publics du Ministère du Commerce et de la Consommation.
On a pris les NTIC comme principaux outils dans l’élaboration de ce programme vu l’évolution dont Madagascar fait preuve en matière de technologie de l’information et de la Communication et, comme les NTIC sont en train de bouleverser les relations qui existent entre les différentes entités.
Le Ministère du Commerce et de la Consommation a été choisi pour l’accomplissement de ce mémoire car, c’est un organe qui participe activement au développement du pays par l’intermédiaire des actions qu’il entreprend.
On aurait pu prendre un établissement privé, mais, le résultat qu’on aurait pris n’aurait pas profité à plusieurs organismes mais à la seule société. Aussi, le Ministère du Commerce et de la Consommation peut être pris comme exemple.
Le fruit de ce travail peut aussi être appliqué dans d’autres Ministères, mais pourquoi pas aussi dans toutes les sociétés et entreprises qu’elles soient à but lucratif ou non.

– Consultation de documents dans des centres de documentation (CITE, CCAC, Banque Mondiale).
– Entretien avec les divers responsables au sein du Ministère du Commerce et de la Consommation.
– Enquêtes au sein de plusieurs médias de la capitale : TVM, RTA, MATV, MIDI MADAGASIKARA, GAZETIKO, TRIBUNE, L’EXPRESS DE MADAGASCAR, MA-FM.
– Enquête auprès d’autres organismes privées locales : BLUE LINE, DTS, CBL REPRO MADA, Entreprise PAPYRUS, SAGA (Société d’Arts Graphiques d’Antananarivo), MICRO’STYLE Computer Discount).
– Visite du salon E-BIT pour les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication.
– Consultation d’informations sur INTERNET Dans la première partie de ce mémoire, nous essayerons d’identifier le Ministère du Commerce et de la Consommation ; dans la seconde partie, une analyse des problèmes rencontrés ; dans la troisième partie essayerons d’apporter quelques suggestions de solutions et enfin, dans la dernière partie,
nous énoncerons les solutions retenues pour le renforcement du réseau d’information et de communication du Ministère.

 COORDONATEUR GENERAL DES PROJETS (COORDOGEP)
 Service de Programmation et de Suivi Exécution (SPS)

3 – SECRETARIAT GENERAL
3.1- Direction Financière et Logistique (DFL)
3.1.1- Service Financier et de la Comptabilité (SEC)
3.1.2 – Service Logistique et Patrimoine (SLOG)
3.1.3 – Sous ordonnancement (SousOrdo)
3.2- Direction des Affaires Juridiques (DAJ)
3.2.1 – Service Législation et Etudes Juridiques (SLEJ)
3.2.2 – Service du Contentieux Economiques (SCE)
3.3- Services rattachés
3.3.1 – Service des Ressources Humaines (SRH)
3.3.2 – Service des Approvisionnements (SA)
3.3.3 – Service des Organismes Rattachés (SOR)
3.3.4 – Service médico-social (SMS)
3.3.5 – Service des Relations Internationales (SRI)

3.3.6 – Service d’Appui aux services extérieurs (SASE)
3.3.7 – Service des Systèmes d’information (SSI)
4 – DIRECTION GENERALE
4.1- Direction Appui aux Opérateurs (DAOPE)
4.1.1 – Service d’Appui aux Manifestations Commerciales (SAMC)
4.1.2 – Service d’Appui aux Groupements Professionnels et Filières (SAGPF)
4.1.3 – Service de la Communication (SCOM)
4.2- Direction de la Normalisation et de la Qualité (DNQ)
4.2.1 – Service Qualité Inspection et Certification (SquIC)
4.2.2 – Service Normalisation et Réglementation (SNR)
4.2.3 – Service de la Métrologie Légale (METROLEG)
4.3- Direction de la Protection des Consommateurs (DPC)
4.3.1 – Service Informations et Formations des Consommateurs (SHEC)
4.3.2 – Service Suivi et Contrôle des Biens et Services (SSC)
4.4- Brigade de Vérification (BV)
4.5- Service Appui à la Commercialisation (SAC)
4.6- Service des Relations Internationales (SRI)

 Activités, Organisations et Objectifs

Le Directeur de Cabinet est le collaborateur politique immédiat du Ministre.
En cas d’empêchement du Ministre, il peut recevoir délégation pour le remplacer dans les cérémonies officielles, ou pour signer des décisions à caractère politique n’engageant pas l’Etat. Il est responsable du fonctionnement de l’ensemble du Cabinet. A ce titre, il organise et coordonne leur programme de travail, et assure le suivi de son exécution. Il peut être chargé des missions particulières, notamment dans les relations avec les autres Institutions de la République, et ce, sur mandat du Ministre.
Le Coordonnateur Général des Projets rattaché directement au Ministre, élabore les programmes, coordonne et suivi tous les Projets du Ministère et des organismes rattachés, financés par les bailleurs de Fonds (multilatéraux et bilatéraux) et le Budget Général.
Le Secrétaire Général est le numéro deux du Ministère. Il seconde le Ministre dans l’exercice de ses attributions. Il assure la coordination, l’animation et le suivi des activités de la Direction Générale, des Directions Centrales, des Services centraux et extérieurs du Ministère, ainsi que des organismes rattachés au Ministère du Commerce et de la Consommation.
A ces fins, il reçoit délégation pour signer au nom du Ministre, tous les actes administratifs et correspondances relevant de ses attributions, à l’exclusion des arrêtés et correspondances engageant l’Etat à l’échelon international.
Le Secrétaire Général supervisera directement :
 LA DIRECTION FINANCIERE ET DE LA LOGISTIQUE (DFL)
Elle est chargée de la Gestion des Finances, du Budget et du Patrimoine (Comptabilité Matière, Maintenance du Ministère).
 LA DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES (DAJ)
Elle est chargée de l’élaboration des règles du jeu du Commerce des biens et services, de la concurrence, de la protection de l’intérêt générale des consommateurs, des mécanismes d’appui aux opérateurs du Secteur du Commerce, de concert avec le Secteur Privé et les autres départements ministériels concernés. Elle traitera également tous les contentieux Economiques (infractions …) en matière de Commerce.
La direction des affaires juridiques comporte deux services : le service de la législation et le service du contentieux.
¨ Le service de la législation et des études juridiques, assure tous travaux de recherche en matière législative ainsi que toute étude à caractère juridique touchant l’économie et le commerce  comprend .
– une division du Conseil
– une division des études
– une division de la documentation information
– une division de la traduction
¨ Le service du Contentieux général a pour mission de :
– proposer après études des Procès Verbaux des solutions de règlement des affaires aux instances supérieures.
– procéder à l’exécution des décisions prises au niveau des poursuites administratives ou judiciaires jusqu’à apurement des dossiers.
– coordonner toutes les actions des services provinciaux du commerce et des autres services collaborant sur la procédure des poursuites des infractions en matière économique.
comporte 4 divisions, en l’occurrence 
· la division des instructions
· la division des poursuites administratives
· la division des poursuites judiciaires
· la division des apurements
plus un bureau de secrétariat

 Les Objectifs

Les objectifs qui s’accommodent avec ceux des directions concernées ont surtout pour but de :
– protéger les consommateurs contre l’exercice injuste d’une puissance sur le marché ;
– promouvoir l’efficience économique, d’un point de vue aussi bien stratégique que dynamique ;
– promouvoir le commerce et l’intégration dans une union économique ou une zone de libre échange ;
– faciliter la libéralisation économique, y compris la privatisation, la déréglementation et la réduction des obstacles au commerce extérieur ;
– préserver et promouvoir le développement de l’économie de marché dans de bonnes conditions ;
– assurer l’équité des transactions sur le marché ;
– protéger l’intérêt public en prenant compte – dans certains cas – des considérations liées à la compétitivité et à l’emploi sectoriel ;
– réduire au minimum la nécessité de prévoir des formes de réglementation ou d’intervention politique plus agressives dans une économie de marché ;
– protéger les possibilités offertes aux petites et moyennes entreprises.

LES SERVICES RATTACHES 

Ressources Humaines, Approvisionnements, Organismes rattachés, Service médico-social, Appui aux Services Extérieurs, Systèmes d’Information

AU NIVEAU DES FARITANY 

Les activités du Ministère sont déléguées à des Directions Provinciales et Services Régionaux. Pour des raisons de commodité et d’efficacité, ces entités déconcentrées auront comme interlocuteur administratif au niveau, le Service d’Appui aux Services Extérieurs.
Le Directeur Général est chargé de la mise en oeuvre de la politique du Commerce des biens et services. A travers ses directions, il assure un appui aux opérateurs, veille au respect des règles du jeu de la concurrence dans le cadre de la libéralisation, la mondialisation des échanges commerciaux et des accords régionaux, bilatéraux et multilatéraux auxquels Madagascar a souscrit.
Dans sa mission, il dispose du pouvoir de contrôle et de rappel à l’ordre dans l’application des règles du jeu du commerce et des normes.
La Direction Générale comprend :

 LA DIRECTION D’APPUI AUX OPERATEURS (DAOPE)

Elle est chargée :
¨ D’appuyer les opérateurs à se structurer professionnellement et par filière ;

¨ de soutenir l’initiative privée à travers les diverses manifestations commerciales

 LA DIRECTION DE LA PROTECTION DES CONSOMMATEURS (DLPC) 

Elle veille à l’intérêt général des consommateurs (respect des normes, salubrité des produits et marchandises offerts, qualité et profession de commerçant) La Direction de la Protection des Consommateurs est érigée au niveau du Ministère du Commerce et de la Consommation suivant le Décret n° 97-202 du 28/03/97 Elle a à cet effet pour :

 Rôles et attributions

· La définition et la mise en oeuvre de la “politique de consommation”, ellemême figurant au rang des priorités absolues en tant que “composante de la politique de développement durable” et de la “lutte contre la pauvreté”.
· Corollairement, la consolidation et le renforcement des capacités des organisations des mouvements des consommateurs, ainsi que par voie de conséquence, la responsabilisation des professionnels en terme de qualité des produits et services.
Et est dotée d’une ORGANISATION définie comme suit :
– service d’appui technique lequel est chargé :
· d’élaborer un cadre législatif, institutionnel et technologique propre à la protection des consommateurs ;
· d’élaborer des projets dans le cadre d’une exploration d’une quelconque assistance financière et technique.
· Collaborer avec les départements ministériels et organisations concernés par la mise en oeuvre de la politique de consommation : participation en ce sens aux séminaires, colloques, échanges d’information initiées par ces derniers ;

· Prospecter les recueils des dispositifs concernant la protection des consommateurs en vigueur dans les pays africains et européens afin d’y puiser des sources d’inspiration.
– service d’information et de formation Il est conçu pour :
· appuyer sinon assurer la viabilité et la promotion des activités des organisations des consommateurs ;
· Autrement dit, son rôle converge dans les trois missions classiques, d’information, d’éducation et de communication à l’endroit de ces derniers d’où la nécessité primordiale d’élaborer et d’éditer un «guide des consommateurs», tâche à laquelle ledit service doit s’atteler en priorité ;
· harmoniser et coordonner les efforts entrepris en matière de protection des consommateurs au niveau de tous les départements ministériels oeuvrant en ce sens ;
· Contribuer à la fluidité des informations au niveau des organisations des consommateurs concernant les échanges des biens et services.
– Le service des investigations : a pour attribution principale.
· d’assurer l’effectivité des dispositions normatives d’ordre public, économique en terme de sécurisation des consommateurs et parallèlement de dynamiser les professionnels en vue de rechercher et préserver la qualité des produits et des services dans leurs relations avec ces derniers (mesures de prévention des fraudes et falsifications à l’endroit des denrées alimentaires importées notamment). Telle est la justification des autorisations délivrées pour non-radioactivité par la Direction ;
Celles-ci résultent de la collaboration étroite entre l’INSTN, l’Administration des Douanes et le Ministère du Commerce et de la consommation, compte tenu des attributions dévolues à la Direction.

 o bjectifs

Ceux-ci visent entre autres priorités à :
· l’adoption et la promulgation du projet de Loi sur la protection des Consommateurs,

· La promotion et le renforcement des mouvements des Consommateurs ;
· la professionnalisation des opérateurs et partant à la sécurisation des droits des consommateurs ;
· L’harmonisation des produits /consommation.

LA DIRECTION DE LA NORMALISATION ET DE LA QUALITE (DNQ)

Elle est chargée de la promotion de la démarche qualité et du Label Madagascar de la normalisation des biens et services destinés au marché national et à l’exportation du contrôle de qualité, et de la métrologie légale. Au niveau des 6 Faritany, la DNQ est représentée par un Service Spécialisé inclus dans la Direction Provinciale.

 LA BRIGADE DE VERIFICATION (BV)

Elle est directement rattachée au Directeur Général aura un double rôle.
D’une part, elle vérifie sur site la régularité des opérateurs du Secteur et des opérations commerciales qu’ils effectuent, contrôle la conformité des biens et services par rapport à la législation et aux normes en vigueur. D’autre part, elle effectue un Suivi/Evaluation des résultats. La Brigade a rang de Direction.
De par ces attributions, la Brigade de vérification défend donc l’opérateur légal face à l’opérateur du secteur informel. Elle veille également au respect des règles en matière de concurrence pour qu’une saine et loyale concurrence soit.
Les 3 services composant la Brigade de Vérification sont donc appelés à mener à bien la politique du Ministère du Commerce et de la Consommation, en matière de vérification de la régularité des opérateurs économiques. Ils sont aussi chargés de coordonner les informations et effectuer un suivi et évaluation.
Ils mènent des enquêtes et sont en relations étroites avec les autres départements et services qui sont à même de leur fournir les renseignements nécessaires. En ce qui concerne les enquêtes externes, ils sont en relation de travail avec l’Institut National des Statistiques, les Douanes, ainsi que les médias pour faire passer un message.

La Brigade de vérification joue donc un rôle prépondérant dans la nécessité de la politique commerciale à Madagascar.

 LE SERVICE APPUI A LA COMMERCIALISATION (SAC) 

Il veille à la régularité des opérations de commercialisation, à la libre circulation des flux physiques de produits locaux d’origine agricole et industrielle, et leur mise à disposition pour la consommation locale et/ou à l’exportation. Il en est de même pour les produits importés. L’objectif étant la sécurisation des marchés et leurs approvisionnements continus sans entrave.
Le Service suit également le Commerce des autres Filières (Mines, Forêts, Bovidés…) en coopération avec les autres départements ministériels concernés.

 LE SERVICE DES RELATIONS INTERNATIONALES (SRI) 

Il traite les questions relatives aux Accords Internationaux (Multilatéraux et Bilatéraux) touchant le Commerce des biens et Services, et leurs incidences sur le plan macro-économique. Afin d’éviter les interférences et la duplication, le Service fera périodiquement des mises au point avec les Services concernés du Secrétariat d’Etat à la Promotion du Commerce Extérieur.
Dans le cadre de l’Organisation Générale définie ci-dessus, les attributions des services centraux et décentralisés, celles des organes rattachés sont déterminés respectivement par arrêté ministériel.
On a vu dans ce premier chapitre les différentes Directions et Services du Ministère du Commerce et de la Consommation, on va maintenant essayer d’expliquer ce que sont les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication.

 Les Modes de Communication

Le travail dans une organisation est presque essentiellement une activité de communication. Le personnel doit alors connaître l’organisation du réseau de communication dans l’entreprise ou l’administration.

 Le Processus de Communication

La communication est essentielle à l’entreprise ou à l’administration :
– elle donne un visage à l’entreprise et à l’administration (image de marque).
– elle matérialise l’accueil et le rend tangible (service).
– elle facilite sa participation à la production, à la consommation ou aux services donnés.
– elle renforce le sentiment de fierté et d’existence du personnel Tout message émis reflète l’image de celui qui l’a envoyé, elle permet de relier l’émetteur (celui qui envoie le message) au récepteur (celui qui reçoit le message).Pour communiquer efficacement, il faut comprendre les différents éléments du processus de communication.

CONCLUSION

es administrations publiques font leur entrée dans les Nouvelles Technologies ,de l’Information et de la Communication. Ceci dans le but de fournir des services qui satisfont à leur usagers, qui sont en grande partie les citoyens.
Compte tenu des facteurs organisationnels et environnementaux, nous avons retenus deux solutions :
 Dotation en matériel informatique pour tous les services au sein du Ministère du Commerce et de la Consommation
 Mise en place d’un site WEB du Ministère Ces propositions de solutions de renforcement du système d’information et de communication devraient permettre de renforcer au maximum le réseau d’information et de communication au sein du Ministère du Commerce et de la Consommation.

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Table des matières

Introduction
1ère Partie : Présentation générale du Ministère du Commerce et de la
Consommation (M.C.C)
Chapitre 1 – Identification du Ministère du Commerce et de la consommation
Section 1 – Historique et Identité
Section 2 – Organigramme
Section 3 – Activités, Organisations, Objectifs
Chapitre 2 – Théorie générale sur les N.T.I.C
Section 1 – Le cadre théorique des réseaux d’information et de communication
1.1 – Le réseau d’information
1.1.1 – Définitions et objectifs
1.1.2 – Les sources d’information
1.1.2.1 – Les sources internes
1.1.2.2 – Les sources externes
1.2 – Les modes de communication
1.2.1 – Le processus de communication
1.2.2 – Les éléments de la communication
1.2.3 – Choix du mode de communication
1.2.4 – L’élaboration de l’action de communication
1.2.5 – Fiabilité à vérifier
Section 2 – Marketing dans les Services publics
Section 3 – Formulation des N.T.I.C
3.1 – Définition
3.2 – Les éléments constituants
3.2.1 – Les ordinateurs
3.2.2 – Les logiciels
3.2.3 – Les réseaux de télécommunication
3.2.4 – Les stations de travail
3.2.5 – La robotique
3.2.6 – Les puces intelligentes
3.3 – L’enjeu des N.T.I.C
3.4 – Les secteurs d’application des NTIC
3.5 – Pourquoi utiliser l’internet ?
3.5.1 – Pour communiquer
3.5.2 – Pour s’informer
3.5.3 – Pour consulter sans se déplacer
3.5.6 – Pour faire des affaires
2ème Partie : Problématiques
Chapitre 1 – Contraintes liées à la structure organisationnelle
Section 1 – Lenteur dans la circulation des informations
1.1 – Perturbation au niveau de la circulation interne des informations
1.1.1 – L’information descendante
1.1.2 – Exemple
1.21 – Perturbation externe de la circulation des informations
Section 2 – Manque de communication
2.1 – Manque de communication interne du Ministère
2.1.1 – Evaluation des modes de communication
2.1.2 – Evaluation de la durée de transmission des informations
2.2– Insuffisance de communication du Ministère avec les organes externes
2.2.1 – Relation du Ministère avec les secteurs privés
2.2.2 – Relation du Ministère avec les Organismes internationales
2.2.3 – Relation du Ministère avec les Départements publics
2.2.4 – Relation du Ministère avec les autres Ministères
Chapitre 2 – Contraintes liées à l’environnement
Section 1 – Manque d’entretien des locaux
1.1 – Vieillissement des infrastructures
1.2 – Impact sur le budget alloué à l’évaluation des besoins
Section 2 – Manque de matériel
2.1 – Retard dans l’exécution des tâches
2.2 – Inadaptabilité du niveau du personnel sur les matériels requis
3ème Partie : Propositions et suggestions de solutions
Chapitre 1 – Solutions concernant la structure organisationnelle
Section 1 – Amélioration du réseau d’information interne et externe
1.1 – Mise en place d’un système interne de suivi des informations
1.2 – Mise en place d’un site WEB du Ministère
1.2.1 – Formation de masse du public
1.2.2 – Mise en place du site WEB
Section 2 – Amélioration du système de communication interne et externe
2.1 – Mise en réseau des services au sein du Ministère (intranet)
2.2 – Utilisation des médias publics
2.2.1 – Choix des médias
Chapitre 2 – Solutions liées à l’environnement
Section 1 – Réhabilitation des locaux
1.1 – Réhabilitation des locaux
1.2 – Inscription au budget des acquisitions matérielles
Section 2 – Dotation de matériels informatiques pour tous les services
2.1 – Revue et achat de matériels adéquats pour tous les services
2.2 – Formation du personnel
3ème Partie : Propositions et suggestions de solutions
Chapitre 1 – Solutions retenues
Section 1 – Dotation en matériel informatique pour tous les services
Section 2 – Mise en place de site WEB du Ministère
Chapitre 2 – Résultats attendus et recommandations
Section 1 – Résultats attendus
1.1 – Résultat social
1.2 – Résultat interne
Section 2 – Recommandations générales
2.1 – Formation du personnel
2.2 – Achat de matériel adéquat
CONCLUSION
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