Agrégation en ligne

Agrégation en ligne

Le terme « Web 2.0 » est la « plate forme de données partagées via le développement d’applications qui viennent architecturer les réseaux sociaux issus de la contribution essentielle des usagers à la création des contenus et des formats de publication » (blogs, wikis…). La clef du succès dans cette nouvelle étape de l’évolution du web réside dans l’intelligence collective. Le Web 2.0 repose sur un ensemble de modèles de conception : des systèmes architecturaux plus intelligents qui permettent aux gens de les utiliser, des modèles d’affaires légers qui rendent possible la syndication et la coopération des données et des services. Le Web 2.0 c’est le moment où les gens réalisent que ce n’est pas le logiciel qui fait le web, mais les services .

Parmi les services du Web 2.0, nous avons pris en considération les agrégateurs des réseaux sociaux (Netvibes,..) qui permettent à son utilisateur de retrouver sur la même interface un ensemble de réseaux sociaux. Cela évite à l’utilisateur de se connecter à chaque réseau social et d’être au courant de ce qui se passe dans tel ou tel réseau avec la seule interface de l’agrégateur, donc avec un seul coup d’œil, vous pouvez faire le tour de vos contacts.

Mais ces derniers ne donne pas la pertinence des informations agrégées, ce qui nous à ramener à les développés pour obtenir des agrégateurs évolués qui indique l’importance du besoin de l’utilisateur pour chaque réseaux sociaux.

Web 2.0

Le Web 2.0 était annoncé comme une véritable révolution de l’Internet, une mutation qui allait influencer notre mode de vie, notre manière de communiquer et de travailler. Aujourd’hui, il commence à faire tomber son masque et le mythe est devenu un concept banal qui n’a finalement rien d’exceptionnel. Le changement n’a pas été aussi brusque que le mot « révolution » pourrait laisser croire. La mutation s’est faite lentement, que ce soit pour la technologie, pour la pratique sociale et pour l’économie. Le Web 2.0 a déjà été pratiqué avant qu’il ne soit appelé ainsi. Le basculement technique a commencé depuis la démocratisation des outils de gestion de contenus pour créer et pour gérer des sites Web dynamiques. Cela a donné à tous, le moyen d’avoir une présence sur Internet. En quelques clics, on peut avoir non simplement un support Web mais aussi la possibilité de faire une mise à jour des contenus. Les autres outils de mise en relation existaient déjà mais le changement se trouve dans la possibilité de faire de l’agrégation et du partage de contenus et de services. Cette réorganisation de l’information respecte une certaine sémantique .

Définition

Pour le concept de « Web 2.0 » il existe plusieurs définitions : L’expression « Web 2.0 » désigne certaines technologies et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du Web, en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s’approprier les nouvelles fonctionnalités du Web [2]. Considéré comme l’évolution naturelle du web actuel, le Web 2.0 est un concept d’utilisation d’internet qui a pour but de valoriser l’utilisateur et ses relations avec les autres. Le Web 2.0 était annoncé comme une véritable révolution de l’Internet, une mutation qui allait influencer notre mode de vie, notre manière de communiquer et de travailler [3]. Le terme Web 2.0 est généralement utilisé pour désigner une évolution d’un Web statique et unidirectionnel vers un réseau dynamique et interactif, caractérisé par une large participation des usagers à la création et à l’échange de contenus. En d’autres mots, nous pourrions dire que c’est un synonyme du Web participatif. Il est souvent associé à l’utilisation de logiciels sociaux en ligne, tels que les blogues, wikis, micro blogues ou autres réseaux sociaux [4].

Origine du terme

L’expression a été médiatisée en août 2003 par Dale Dougherty de la société O’Reilly Media lors d’une conversation avec Craig Cline de MediaLive en vue de préparer une conférence. Il a suggéré que le Web était dans une période de renaissance ou mutation, avec un changement de paradigmes et une évolution des modèles d’entreprise. Dougherty a donné des exemples au lieu de définitions : « Double Click, c’était le Web 1.0. Google AdSense, c’est le Web 2.0. Ofoto, c’était le Web 1.0. Flickr, c’est le Web 2.0.», et recruté John Battelle. Puis, O’Reilly Media, Battelle et MediaLive ont lancé la première conférence Web 2.0 en octobre 2004. La seconde conférence annuelle a eu lieu en octobre 2005. Cette dernière réalise les aspects suivants :
◆ Le Web comme plate-forme ;
◆ Les données comme « connaissances implicites » ;
◆ Les effets de réseau entraînés par une « architecture de participation », l’innovation comme l’assemblage de systèmes et de sites distribués et indépendants ;
◆ Des modèles d’entreprise poids plument grâce à la syndication de contenus et de services .

Limites ergonomiques du Web 1.0 :
• Pour chaque action : effacement de la page HTML en cours, réalisation d’une requête synchrone vers le serveur et affichage de la nouvelle page HTML.
• Ne permet pas de concurrencer les applications clients lourds en termes d’ergonomie. Mais les applications clients lourds ont d’autres inconvénients (déploiement, maintenance, sécurité, etc…)

Web 2.0 : un nouveau modèle de développement :
Amélioration de l’ergonomie en déplaçant une partie de la logique applicative vers le navigateur. Les outils et termes « Web 2.0 » sont pour certains bien connus du grand public, parfois sans pour autant être rattachés à la catégorie Web 2.0. D’autres ont une diffusion plus confidentielle. Wikipédia, un des outils les plus emblématiques du Web 2.0, donne la définition de nombreux termes du Web 2.0 .

Les concepts de base

Un blog ou blogue :
Est un site Web constitué par la réunion d’un ensemble de billets classés par ordre chronologique. Chaque billet (appelé aussi note ou article) est à l’image d’un journal de bord ou d’un journal intime, un ajout au blog ; le blogueur (celui qui tient le blog) y porte un texte, souvent enrichi d’hyperliens et d’éléments multimédias, sur lequel chaque lecteur peut généralement apporter des commentaires .

Un wiki :
Est un système de gestion de contenu de site Web qui rend les pages Web librement et également modifiables par tous les visiteurs autorisés. On utilise les wikis pour faciliter l’écriture collaborative de documents avec un minimum de contraintes. Au milieu des années 2000, les wikis ont atteint un bon niveau de maturité ; ils sont depuis lors associés au Web 2.0. Créée en 2001, l’encyclopédie Wikipédia est devenue le wiki le plus visité au monde .

Really Simple Syndication :
Souscription vraiment simple ou le Rich Site Summary (sommaire développé de site), encore appelé flux RSS, fil RSS ou RSS feed en anglais, sous forme de sigles, est un format de syndication de contenu web, codé sous forme XML. Ce système est habituellement utilisé pour diffuser les mises à jour de sites dont le contenu change fréquemment, typiquement les sites d’information ou des blogs. L’utilisateur peut s’abonner aux flux, ce qui lui permet de consulter rapidement les dernières mises à jour sans avoir à se rendre sur le site .

Un réseau social :
Quand peut aussi le qualifié de réseau humain est un ensemble de relations entre des individus. L’analyse des réseaux sociaux est l’approche scientifique en sciences sociales pour étudier les réseaux sociaux. Les réseaux sociaux sont aussi simplement considérés comme étant la mise en relation de gens pour des fins amicales ou professionnelles. Il existe des applications internet aidant à se créer un cercle d’amis, de partenaires commerciaux ou autres .

Conclusions générales 

Le travail réalisé dans ce PFE sert à évoluer le mécanisme classique des agrégateurs des réseaux sociaux afin d’orienter l’utilisateur vers la bonne source d’information qui répond a son besoin. Notre mémoire est articulé autours de deux partie ; la première est théorique, il s’agit de l’état de l’art et elle contient trois chapitres , le premier introduit le Web depuis le Web 2.0 jusqu’au le web social , le seconde parle de la fouille de textes qui consiste a extraire les connaissances pertinentes selon un ensemble de méthodologies et le troisième présente les agrégateurs qui ont comme objectif de proposer a l’utilisateur un large choix de sources d’information et pour cela nous avons étudié quelque agrégateurs de réseaux sociaux comme Netvibes, Spokeo , FiendFeed, Seesmic,… La seconde partie de notre mémoire est la partie pratique ou l’application du projet dans laquelle nous avons appliqué tous ce que nous avons déjà étudié dans la phase précédente (la phase théorique). Notre application est une application Web qui est basée sur l’utilisation des JSP et encore l’utilisation de deux types de parsers HTML ; le premier qui a comme objectif de parser le contenu de l’agrégateur « Netvibes » et tester si la requête utilisateur existe (nous avons appliquer la recherche d’information « RI ») et le deuxième qui a comme objectif de parser le code source de l’agrégateurs pour extraire la bonne information de chaque réseau social (nous avons appliquer la fouille de textes ou l’extraction d’information « EI » ) et en fin le résultat de notre travail est visualiser a l’utilisateur pour lui dirigé vers le réseau social qui répond le mieux à son besoin. Comme perspective de ce travail, il serait intéressant de tester notre application sur n’importe contenu web afin d’extraire l’information pertinente selon le besoin de l’utilisateur. Aussi une amélioration possible serait intéressante dans le cadre du web sémantique.

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Table des matières

Introduction générale
1. Motivations
2. Contribution
3. L’organisation de notre travail
Chapitre I : Introduction du Web
1. Web 2.0
1.1. Introduction
1.2. Définition
1.3. Origine du terme
1.4. Les limites ergonomiques du Web 1.0
1.5. Le Web 2.0 : un nouveau modèle de développement
1.6. Les concepts de base
1.6.1. Un blog ou blogue
1.6.2. Un wiki
1.6.3. Really Simple Syndication
1.6.4. Un réseau social
1.6.5. L’intelligence collective
1.6.6. Mashup
1.7. Comparaison du web 1.0 et du web 2.0
1.8. Les composants du web 2.0
1.8.1. Interface « centrée » utilisateur
1.8.2. Standards et API ouvertes
1.8.3. Première catégorie d’application Web 2.0 : L’environnement de
productivité personnelle
1.8.4. Deuxième catégorie d’applications web 2.0 : La constitution
de réseaux d’intérêt
1.8.5. Troisième catégorie d’applications web 2.0
Les plateformes applicatives
1.9. Les Lacunes du web 2.0
2. Web sémantique
2.1. Introduction
2.2. Définition
2.3. Principe général
2.4. Les langages pour le web sémantique
2.4.1. W3C
2.4.2. RDF
2.4.3. Topic Maps
2.4.4. UDDI
2.4.5. WSDL
2.4.6. DAML-S
2.4.7. XL
3.Web social
3.1. Introduction
3.2. Définition
3.3. Historique
3.4. Objectif
3.5. Les aspects techniques du Web 3.0
4.Conclusion
Chapitre II : La fouille de texte
1.Introduction
2. Définition
3. Objectif de fouille de texte
4. Etape de la fouille
4.1. Analyse
4.2. Interprétation de l’analyse
5. La différence fondamentale entre la Recherche d’Informations (RI) et
l’Extraction d’Information (EI))
6. Applications
6.1. Recherche d’information
6.2. Applications biomédicales
6.3 Filtrage des communications
6.4. Applications de sécurité
6.5. Gestion des connaissances
6.6. Analyse du sentiment
7. Disciplines connexes
8. Processus globale de fouille de textes
8.1. Etape 1 : Le nettoyage
8.2. Etape 2 : Etiquetage
8.3. Etape 3 : Extraction de termes
8.4. Etrape 4 : détection des traces de concepts
8.5. Etape 5 : Extraction d’informations
9. Conclusion
Chapitre III: Les agrégateurs des réseaux sociaux
1. Introduction
2. Définition
3. Présentation générale des flux RSS
4. Principe
5.Usages
6. Interface d’accès aux services d’agrégations
7. Les types d’agrégateurs
7.1. Agrégation en ligne
7.2. Agrégation en local (lecture)
8. Quelques agrégateurs
8.1. FriendFeed
8.1.1.Historique
8.1.2. L’objectif
8.2. Spokeo
8.3. Netvibes
8.3.1. Présentation
8.3.2. Historique
8.3.3. Utilisations documentaires
8.4. Seesmic
9. Conclusion
Chapitre IV : Approche retenue
1. Introduction
2. Schéma de notre application
3.Résultat de l’application
3.1.L’interface homme machine (IHM)
3.2. Le test d’existante de la requête utilisateur
3.3 : Le résultat final de notre application
4.Conclusion
5.Annexes
5.1.Annexe A
5.1.Annexe B
Conclusion

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