Actions anti-diarrhéique et ulcéro-protectrice

Habitat et distribution géographique

Distribution géographique

Le Nger se trouve dans les domaines phytogéographiques sahéliens et soudanais dont la végétation est la savane.
L’aire géographique du nger s’étaleparallèlement à l’équateur du Sénégal aux frontières de l’Ethiopie. Elle se superpose aux zones climatiques sahéliennes et soudano-guinéennes.
Il est commun dans tout le Sénégal, du fleuve jusqu’à la limite de la foret guinéenne, en Casamance maritime (ENDA, 1993 ; SEHUINE, 1997).
On rencontre la plante dans les pays suivants : Guinée, Sénégal, Mauritanie, Mali, Côte-d’Ivoire, Burkina Faso, Ghana, Togo, Benin, Niger, Nigéria, Cameroun, Tchad, Ethiopie, Soudan (BACOUM, 2002).

L’Habitat

Le nger est surtout rencontré dans les jachères, les sols lessivés, les terrains défrichés épuisés et abondants, les sols sablonneux ou argilo-sablonneux, ferrugineux et légers, dans les endroits très secs ; dans le sous-bois des fourrésgris-vert indiquant souvent le surpâturage.Il est résistant à la sècheresse et aux maladies et forme des peuplements mono spécifiquestrès étendus et denses(KERHARO et al, 1974 ; OUOBA, 1983).
Il se rencontre aussi dans les limons des vallées passagèrement inondées(affluents de la Gambie).

Définition de la drogue

La drogue de Guiera senegalensis est essentiellement constituée par les feuilles séchées à la température ambiante et réduites en poudre.

USAGES EN MEDICINE TRADITIONNELLE DE GUIERA SENEGALENSIS

G.senegalensisencore appelé Guiéra du Sénégal est un arbuste appartenant à la famille des combretaceae. Guiera senegalensis est prescrit d’une manière générale par les guérisseurs dans diverses affections.
Il est considéré par ces mêmes guérisseurs au Burkina Faso, au Mali, au Sénégal comme une panacée tant ses propriétés médicinales sont importantes et variées (KERHARO, 1948).
On reconnait aux feuilles des propriétés béchiques, eupnéiques et fébrifuges d’où leur prescription contre la toux, les états dyspnéiques (respirations difficiles), les maladies des bronches et des poumons. On les administre fréquemment en association avec des feuilles de Combretum micranthum et de C. glutinosum (BOSISIO et al, 1996 ; FORTIN et al, 2000).
Pour ses propriétés vermifuges et anti-diarrhéiques, il est utilisé dans le traitement des diarrhées dysentériformes, des coliques et comme ténifuge.
L’association des racines et des feuilles est très efficace pour les hémorroïdes.
Les rameaux s’utilisent pour traiter les troubles nerveux (épilepsie, folie) ; les fièvres avec vomissements et l’asthénie sexuelle. Les feuilles sont de très bons stimulants del’appétit et permettent de traiter aussi l’eczéma, les maladies parasitaires (paludisme, parasitoses intestinales,bilharziose, éléphantiasis, gales filariennes), l’asthme, la carie dentaire, les gingivites (FORTIN et al, 2000 ; KERHARO et al, 1974).
La poudre de feuilles délayée dans de l’eau peut être prise en breuvage comme anti-inflammatoire (DIOP, 2009).
En usage externe, sous forme de cataplasme, les feuilles de Guiera senegalensis sont considérées comme antiseptique, calmantes et cicatrisantes et sont employées dans le traitement des blessures, des piqures d’insectes, des chancres syphilitiques. Les guérisseurs reconnaissent au cataplasme des feuilles le pouvoir de percer les tumeurs et d’expulser le ver de Guinée.
Le décocté aqueux des racines est utilisé pour le traitement des conjonctivites.
Les rameaux feuillés sont utilisés sous forme de tisane chez la femme qui allaite.
Les Peulhs et Toucouleurs l’utilisent en médicine populaire vétérinaire en association avec Heeria insignis et Crossopteryx febrifuga pour augmenter le poids, les capacités reproductrices et la sécrétion lactée des animaux.
Au Burkina Faso, le décocté aqueux est utilisé contre les insomnies (ENDA, 1993 ; BERHAUT, 1967).
Ses feuilles sont utilisées contre l’hypotension. Les peuls et les paysans du Nigéria appliquent la poudre de feuilles broyées sur des incisions faites au site de morsures de serpents pour détoxifier du venin (ABUBAKAR et al, 2000).
Le Guiera senegalenis est aussi prescrit par les guérisseurs sénégalais comme diurétiques dans le cas d’oligurie et d’anurie.
Au Burkina Faso, le Père DELA PRADILLA indique le macéré des feuilles pour arrêter les vomissements (FORTIN et al, 2000).
La poudre de fruits grillée, additionnée de sel pour masquer le gout amer, est considérée à dose minime, comme un remède souverain de hoquet (KERHARO et al, 1950).
Les galles définie comme étant une déformation d’un organe végétal provoquée par une prolifération tumorale des tissus, elle-même engendrée en règle générale par des organismes pathogènes ou ravageurs des plantes (insectes, agents phyto pathogènes, champignons) sont aussi utilisées pour leurs propriétés diurétiques, dépuratif, antispasmodique, antiseptique, antifongique et antivirale.
Elles sont utilisées dans le traitement des accès pernicieux, du hoquet, de la hernie inguinale, du muguet, des démangeaisons, de la varicelle, de la variole et de la rougeole. En usage externe, il leur est reconnu les propriétés antibactériennes et elles sont utilisées dans le traitement des éruptions prurigineuses (NACOULMA, 1996 ; LAMIEN, 2005).
Autres utilisations : Dans les campements des nomades Peul, on brule régulièrement l’arbuste pour écarter les mouches. Son bois sert en milieu rural à la confection des toits des cases. Ses feuilles sont mises à tremper dans les réserves d’eau pour purifier et parfumer ladite boisson. Elle est très prisée par les fournis qu’on retrouve très souvent accrochées aux feuilles. En pays Mossi, la racine est utilisée comme frotte-dents.

Les tanins

On a deux groupes de tanins, les tanins hydrolysables et les tanins condensés, non hydrolysables ou tanins catéchiques. Les tanins rencontrés dans Guiera senegalensis sont principalement des dérives de l’acide galliques. Il s’agit de l’acide gallique lui-même et des acides 3-O ; 5-O ; 1,3-di-O ; 3,4-di-O ; 4,5-di-O ; 1, 3, 4-tri-O ; 3, 4, 5-tri-O et 1, 3, 4, 5-tetra-O-galloylquinique ainsi que l’épicactéchine et l’épigallocatéchine 3-O-gallate rencontrés dans les feuilles, les racines et les écorces des tiges (figure n°7) (BOUCHET et al, 1998 ;
BAYE, 2002).

Autres composés chimiques

Des saponosides ont été retrouvés dans la plante, de même que des dérivés anthracéniques sous forme de génines ou aglycones, quinones libres.
Les stérols et les tri terpènes de Guiera senegalensis sont les caroténoïdes, coumarines, la guieranone ont été isolés dans les feuilles. Des composés cardiotoniques et des composés réducteurs tels que les oses, holosides, mucilages ont été détectés (SOMBORA et al, 2011).

ACTIONS PHARMACOLOGIQUES DE LA PLANTE

Pouvoir antitussif

La première étude réalisée est celle de KOUMARE (1968). Il a démontré l’activité antitussive de Guiera senegalensis sur des chats anesthésiés au phénobarbital à la dose de 35mg/kg. L’extrait aqueux des feuilles, administré par voie intraveineuse possède une action antitussive très nette, la toux étant provoquée chez l’animal par des excitations mécaniques et électriques. Par ailleurs, il note que l’action antitussive du Nger est centrale et peut être liée à une dépression du centre de la toux. Le même effet a été observé sur le porc en Guinée en utilisant l’acide citrique (FIOT et al, 2004).
La dose de 500mg/kg de Nger serait identique à celle de 3mg/kg de codéine par voie intraveineuse. L’activité est proportionnelle à la concentration de feuilles dans l’extrait aqueux.
Cette étude a été reprise par FAYE et al (1980) qui a confirmé l’action antitussive chez des cobayes, dont la toux est déclenchée par inhalation d’air chargé de vapeurs d’ammoniaque. Les cobayes reçoivent par gavage un extrait lyophilisé rédissous dans un peu d’eau à raison de 1g/kg. A cette dose, le Nguer entraine une protection contre l’agent tussigène des vapeurs d’ammoniaque.
La comparaison avec la codéine indique que cette dose par voie orale, le Nguer entraine approximativement le même effet que 50mg/kg de codéine par voie orale.
A la suite des travaux de DIATTA et al (2007), les doses d’alcaloïdes totaux de 15mg/kg, 25mg/kg et de 30mg/kg de poids corporel, administrées par voie orale, ont montré une activité antitussive réelle sur la toux provoquée chez le cobaye éveillé, par inhalation de vapeurs d’ammoniac. En effet une diminution significative du nombre des accès de toux par rapport au témoin est notée avec ces différentes doses dès la deuxième heure de mesure et cette différence est restée significative aux troisième, quatrième et cinquième heures. Les pourcentages d’inhibition des accès de toux par rapport au témoin de la première à la cinquième heure varient entre 42,8 et 72,5%.
Ce qui permet de conclure que les alcaloïdes totaux sont très probablement les principes antitussifs de Guiera senegalensis . Cependant, l’intervention d’autres principes actifs dans l’effet antitussif ne peut être exclue étant donné la présencede tanins galliques dans les feuilles et les effets des dérivés de l’acide gallique.

Actions physiologiques

KOUMARE(1968) a démontré que les extraits aqueux de Guiera senegalensis présentent un effet chronotrope négatif et inotrope négatif sur un cœur isolé. Les extraits, sur le ventricule isolé de Rana temporaria se comportent, même à grande dilution comme des dépresseurs, tandis qu’à concentration suffisante ils déterminent l’arrêt du cœur en diastole. Chez le chien, ils déterminent une hypotension brutale mais brève, par mécanisme centrale.
Dans cette étude, il a observé que les extraits de feuilles étaient plus actifs que ceux des racines.
AMOS et al (2001) ont étudié les effets de l’extrait aqueux sur le système nerveux central chez la souris et le rat. Les résultats ont révélé que l’extrait réduit de façon spontanée l’activité motrice chez la souris et prolonge le sommeil induit le phénobarbital chez le rat.

Action anti-diarrhéique et ulcéro-protectrice

KOUMARE (1968) n’a pas obtenu des résultats positifs au cours de ses essais sur l’intestin isolé de cobaye et de rat, ni sur l’animal entier. Par contre les résultats obtenus sur des rats parasités par Strongyloides ratti, de même que les observations cliniques faites en Haute-Volta actuelle Burkina Faso montrent que la drogue possède une activité anti-diarrhéique certaine.
Dans une étude menée au Nigéria, une forte activité anti-diarrhéique a été observée. Lorsque Guiera senegalensis (extrait aqueux des racines) a été testé chez des souris, la fréquence de la défécation ainsi que l’humidité des selles étaient significativement réduites chez la souris. Une dose de 200mg/kg de l’extrait aqueux produit à 100% l’inhibition de la diarrhée induite par l’huile de ricin (ANIAGU et al, 2005).
Les tanins présents dans l’extrait aqueux sont responsables de l’activité par leurs propriétés astringentes et toniques.
Dans la même étude, il a été démontré que l’extrait aqueux possède des propriétés remarquables de protection de l’ulcère induite par l’éthanol chez le rat à 100 et 200mg/kg. Les lésions de la muqueuse induites par l’éthanol ne sont pas inhibées par des agents anti-sécrétoires comme la cimétidine et la ranitidine, mais sont principalement inhibées par des agents qui améliorent les facteurs défensifs de la muqueuse.
Le fait que Guiera senegalensis protège la muqueuse gastrique du rat contre les lésions induites par l’éthanol avec une réduction de l’ulcère indique qu’il pourrait être un moyen efficace de protection gastrique.
Une dose de 100mg/kg produit l’effet maximal (53, 1% d’inhibition de l’ulcère) alors que le médicament standard (cimétidine) n’a donné qu’une protection de 35, 4%.

Action antiplasmodiale

L’activité antiplasmodiale des extraits de feuilles et de racines fut testée in vitro. L’extrait aqueux de feuilles est administré à deux souches de Plasmodium falciparum durant 24 à 72 heures. L’activité a été déterminée par une méthode utilisant le 3H- hypo xanthine (FIOT et al, 2004). L’extrait chloroformique des feuilles de Guiera senegalensis a montré une activité antiparasitaire contre Plasmodium falciparum (souche D6 et W2) avec une concentration inhibitrice 50% (IC ) inférieure à 25ug / ml.
L’harmane et la tetrahydroharmane isolés de l’extrait chloriformique des feuilles ont montré un fort pouvoir antiplasmodique avec des IC50 inférieures à 4ug/ml (ANCOLIO et al, 2002).

Action détoxifiante

L’extrait des feuilles de Guiera senegalensis a été testé comme détoxifiant (in vitro) le venin de deux espèces de serpents du nord du Nigéria : Echis carinatus et Naja nigricollis dans des expériences séparées. Il y’avait une réduction remarquable de la mortalité des souris albinos après administration intrapéritonéale de venin reconstitué avec l’extrait comparativement à ceux traité avec le venin seulement. Une quantité de 10mg a assuré une protection à 80% contre le venin de Echis carinatus et une forte rémission des signes neurotoxiques dans le cas du venin de Naja nigricollis . (ABUBAKAR et al 2000)

Action anti-oxydante

BOUCHET et al (1998) ont examiné les propriétés anti-oxydante et antiradicalaire des tanins de Guiera senegalensis . A partir de l’activité du radical fixe et les propriétés anti-oxydantes des extraits, ces chercheurs ont évalué ces propriétés sur 9 tanins isolés et caractérisés des différentes parties de la plante. Sept gallo tanins avec un noyau d’acide quinique et deux tanins condensés (épicatéchine et gallate d’épicatéchine) sont isolés et caractérisés à partir des galles de la plante.
L’extrait tannique a été obtenu par le mélange acétone-eau (20/80). Les tanins sont ensuite séparés sur colonne de SEPHADEX LH-20. On utilise des microsomes du foie de rats pour déterminer l’activité anti-oxydante.
Les tests évaluent deux propriétés de ces composés : activité anti-oxydante résultant de l’induction de la peroxydation lipidique des microsomes et l’effet anti- radical libre exercé sur un radical stable comme le DPPH (1,1-diphényl-2-picrilhydrazyl). L’acide quinique qui a quatre groupes d’hydroxyde sur le cycle saturé, ne montre aucune activité anti-oxydante, à l’opposé de l’acide galliquequi a un cycle aromatique.
Ces résultats soutiennent le concept que l’activité anti-oxydante est associée au nombre de groupes hydroxylés, à l’exception du gallate d’épicatéchine qui est moins actif que l’épicatéchine.
L’étude produit une preuve que ces gallo tanins et deux tanins condensés ont des propriétés anti-oxydantes intéressantes exprimée soit par leur effet inhibiteur de la peroxydation lipidique induite par le Fe2+ des microsomes du foie de rat, soit par la capacité de piéger des radicaux libres.

DONNEES SUR LA SECURITE D’UTILISATION

L’étude de la toxicité des extraits aqueux de feuilles et racines du Nguer menée par CAUJOLLE et al (1966), a porté sur l’intoxication aigue et sur l’intoxication à doses réitérées sur plusieurs espèces animales.
Pour l’intoxication aigue, aucun signe d’intoxication apparent n’a été observé chez les sujets traités (rats, souris et cobaye) par voie orale. Chez le chien et le lapin, on note après administration intraveineuse, une baisse progressive de la tension artérielle, puis elle se maintient à un niveau très bas jusqu’à la mort de l’animal. Une dépression respiratoire intense accompagne celle de la pression artérielle. Chez les lapins, la vitesse de perfusion adoptée (22,5 ; 45 ; 60 ; 90 ; 120ml/h) n’a pas d’influence sur la valeur de la dose létale qui est de 5g/kg pour les racines et 3,7g/kg pour les feuilles. Quant aux chiens, les doses létales sont voisines de 13g/kg pour les racines et 10g/kg pour les feuilles.
En ce qui concerne les intoxications à doses réitérées, les extraits aqueux ont été administrés quotidiennement pendant 4semaines à des souris et à des rats par voie orale et intrapéritonéale. Tous les sujets ont survécu, un fléchissement précoce de leur courbe pondérale par rapport à celle des témoins est le seul signe apparent de l’intoxication chronique.
KOUMARE(1968), mentionne que les extraits aqueux se révèlent dans l’ensemble peu toxique, l’extrait de feuilles étant légèrement plus actif que l’extrait de racines chez le cobaye, le lapin, le chien et moins actif chez la souris et le rat. L’embryotoxicité chez les rates est nulle par voie intrapéritonéale, chez la lapine, elle s’affirme très précocement et avec une intensité par voie intraveineuse. Il n’a pas révélé de pouvoir tératogène à l’égarddes espèces animales éprouvées. La dose létale 50 (DL50) chez le cobaye est obtenue par voie intrapéritonéale à raison de 1 à 1,5g/kg.
A la suite des travaux de DIOUF et al (2000), il apparait que la teinture des feuilles de Guiera senegalensis à 13,5% renfermant 0,032g d’extrait sec,administré à des rats WISTAR par gavage quotidien à raison de 2g/kg de poids corporel pendant 6mois, n’a pas montré de toxicité significative.
D’après une étude réalisée par ANIAGU et al (2005), l’extrait aqueux de racine administré en intrapéritonéale chez la souris produit une létalité de 100% à 1600mg/kg et 0% de létalité à 1000mg/kg.
Ainsi la DL50 a été estimée à 1264,9mg/kg en intrapéritonéale. Aucun mort n’a été observé chez les souris et les rats par administration orale mêmeà des doses aussi élevée que 5000mg/kg ce qui signifie que la DL orale est supérieure à 5000mg/kg. En dehors de la sédation, aucun signe clinique majeur de toxicité n’a été décelé.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
I. Noms attribués à la plante
1. Noms scientifique
2. Famille
3. Synonymes
4. Place systématique
5. Noms en langues locales
II. Description de la plante
1. Plante entière
2. Numéros d’herbiers
3. Habitat et distribution géographique
3.1. Distribution géographique
3.2. Habitat
4. Définition de la drogue
III. Usages en médicine traditionnelle
IV. Composition chimique
1. Matières hydrominérales
2. Les alcaloïdes
3. Les tanins
4. Les flavonoïdes
5. Autres composés chimiques
V. Actions pharmacologiques
1. Pouvoir antitussif
2. Actions physiologiques
3. Actions anti-diarrhéique et ulcéro-protectrice
4. Action antibactérienne
5. Action anti-inflammatoire
6.Action antivirale
7. Action antiplasmodiale
8. Action détoxifiante
9. Action anti-oxydante
10. Action antalgique
11. Autres actions
VI. Données sur la sécurité d’utilisation
VII. Les indications thérapeutiques
VIII. Données cliniques
1. Evaluation de l’efficacité
2. Contre-indications
3. Précautions d’emploi
4. Effets adverses
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE 
I. Matériels et méthodes
I.1. Matériels
I.1.1. Matériel végétal
I.1.2. Liste des matériels
I.2. Méthodes
I.2.1. Dosages
I.2.1.1. Dosage de l’eau
I.2.1.2. Dosage des cendres
I.2.1.3. Dosage du calcium et du magnésium
I.2.1.4. Dosage des extractibles à l’eau
I.2.1.5. Préparation de l’extrait sec pour les essais physico-chimiques
I.2.2. Réactions de caractérisation
I.2.2.1. Flavonoïdes
I.2.2.2. Les tanins
I.2.2.3. Dérivés anthracéniques
I.2.2.4. Saponosides
I.2.2.5. Alcaloïdes
I.2.2.6. Hétérosides cardiotoniques
I.2.3.Chromatographie sur couche mince
II. Résultats
II.1. Dosages
II.1.1. Dosage de l’eau
II.1.2. Dosage des cendres
II.1.3. Dosage des extractibles
II.1.4. Dosage de l’extrait sec
II.1.5. Dosage du calcium et du magnésium
II.2. Réactions de caractérisation
II.2.1. Flavonoïdes
II.2.2. Tanins
II.2.3. Hétérosides anthracéniques
II.2.4. Les saponosides
II.2.5. Les alcaloïdes
II.2.6. Hétérosides cardiotoniques
II.3. Chromatographie sur couche mince
II.3.1. CCM des tanins
II.3.2. CCM des alcaloïdes
II.3.3. CCM des flavonoïdes
III. Discussion
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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